par Gilbert Guingant
Ce qui est trop flagrant, habituel, routinier, nous est devenu le moins compréhensible. La société fait tout pour que nous ne comprenions rien. Que nos vraies vies nous échappent au réel. Leur escroquerie dure donc le temps que nous ne la comprenions pas. Nous pouvons, de ce fait, y remédier… Parce qu’il y a des chantages commerciaux ? Vous ne vous en étiez pas aperçu ? À qu’à cela ne tienne… Première chose à savoir ?
L’appropriation anormale du calendrier par le commercial.
Ce qui n’est pas, en soi, un mal. Et ne le devient extrêmement que par les moyens de coercitions immoraux employés. Nos comportements deviennent ceux d’un troupeau houspillé par qui ne méritent aucun respect, d’en manquer envers tout le monde. Limitant le langage à juste « donner des ordres » (sic) l’ex-doux commerce en devient hyper violent. Et, eux, se comportent en dangereux et sournois ennemis de ceux qui refusent, désormais, d’être leurs…clients corvéables à merci. Ah non, plus jamais… Ils ne veulent pas que nous disposions de nos vies. Tu vois bien que ce n’est pas nous qui n’allons pas bien, mais eux qui ne vont pas bien du tout. Leurs comportements en sont devenus détraqués et désaxés. Et ceci dès le tournant des années 1990… C’est contre eux qu’il faut réagir. Il en va de la santé mentale collective…
Examinons. L’année civile (sic) n’est plus scandée que par les « évènements » commerciaux. Seulement et exclusivement. Des évènements qui n’existent pas du tout : il n’y a rien que les harcèlements des propagandes pour nous faire acheter ce dont nous n’avons pas besoin et ce dont nous ne voulons pas. Afin de parvenir à cette fin, si douteuse et peu recommandable, ils doivent vider nos vies de tout autre but. Le harcèlement doit donc être permanent. Et envahir des domaines et espaces qui ne sont surtout pas les leurs (des documents joints l’attestent et la loi devrait les « réguler » et limiter fermement. Puisque ces déréglés ont perdu tout contrôle sur leurs propres avidités. Un peu, comme s’ils pissaient partout, tu sens !). Pas une minute de paix chez ces dangereux excités. Dans le texte ni verrons jusqu’à quel comble de ridicule parviennent ces insupportables maniaques. Proposer des services c’est bien, les imposer, voire derrière des cordons de Crs, c’est infiniment moins bien.
Le centre de l’argument de la « malveillance » commerciale c’est « si vous n’achetez pas, c’est que vous n’aimez pas ! » Oui aussi simplet et niais que ça : sauf que cette accusation cruelle (qui peut faire tant de mal à certains !) n’est jamais prouvée. Ils le répètent et répètent jusqu’à l’écœurement – ce qui tendrait même à prouver qu’eux seuls soient si dénués d’amour. Ainsi Saint Valentin, fêtes des mères et pères, fêtes unilatérales de ci et dissymétriques de ça et ; pour le gros morceau, Noël (qu’il ne faut plus appeler noël !), partout font mal les piques de « les obligations non législatives mais que de pressions très déloyales » de tu dois faire des cadeaux, multiplications des cadeaux … tu dois faire des cadeaux … tu « dois » sans cesse et sans interruption. Sauf que – au final – qui va ne faire que ces cadeaux n’en reçoit jamais aucun. Tous les cadeaux, tous, vont directement dans les mains peu équitables du grand commerce. Il saisit et agrippe tout apparemment sans grand amour. Où vibre donc l’anomalie grandiose ? C’est seulement du harcèlement irrespectueux qui frise l’extorsion. Qui manquerait d’« amour » se fait surtout déplumer et personne Ne Verrait rien ? L’hébété « tu achètes « donc » tu aimes vraiment » est surtout inepte… Oui, tu l’as dit, c’est clairement immature, infantile, puéril. Si ce grand commerce s’adressait à des adultes, clair de ces superstitions ne passeraient plus. Un service = un paiement, mais sans intrusions abusives dans nos vies. Et c’est tout ! Il nous faut donc nous… extirper du vénéneux « si vous n’achetez pas, c’est que vous n’aimez pas, que vous ne savez même pas aimer ! ». C’est très inexact, complètement faux et ce sont celles/ceux qui osent ce mensonge antisocial qui savent surtout de pas aimer. L’expression « foutez-nous la paix » souligne, judicieusement, la guerre affolée qu’est « ce » commerce. Là où il a atteint un niveau de grande mal sanité… Soit le début, enfin, de sa triste fin ?
Ce exactement pourquoi la consommation obsolète n’est que pour des esprits immatures complètement irresponsables, immensément imprévoyants, jamais sérieux, hyper égoïstes, follement inconscients, irréfléchis, et n’ayant que peu (ou pas du tout) d’amour pour les autres. Et que l’escroquerie malsaine du « nouveau monde », des inhumains néolibéraux, aura juste été le durcissement malsain de cette stupide consommation, ou bien la dictature insensée du grand commerce qui ne sait surtout pas… où il va. Et qu’il s’agit fermement de ne plus suivre nulle part à noter que la réponse à « qui la plus alimente l’inflation » ? C’est le secteur des égoïstes et des mauvais citoyens (selon, les définitions hyper dévoyées des égarés macroniens…) oui c’est ce grand commerce, réduisant les quantités, augmentant unilatéralement les prix sans de vrais motifs, et autres prédations que seuls des irresponsables commettent. Au point que « leurs clients ne sont plus rois donc plus des clients ». Des assauts de Mesquineries (tout faire pour « tromper le client ») ont mis définitivement fin au « pacte de confiance ». Devant ces esprits simplets, qui Fuient l’avenir commun, il s’agit simplement à la société de Se Passer de tous ces usurpateurs sans plan B. Ni sans plan A. En France, le macronisme se révélant seulement un étroit commerce de tromperies généralisées, plus aucun pacte de confiance ne peut plus avoir lieu… ils ont trahi, eh bien, ils ont perdu…
Encore des questions qui brisent les glaciations des routines ?
- Oui le harcèlement langagier et imagier qu’ils nous « imposent » chaque jour est très retors. Nous sommes en plein dans les nocives perversions. La société « que commerciale » c’est l’accusation permanente des honnêtes citoyens de commettre ce qu’ils ne commettent pas… Ces commerces durcis se prennent pour nos juges inflexibles alors que ce sont, limpidement, eux qui devraient passer en justice. Et y être fermement condamnés pour pratiques déloyales des…échanges.
Encore ? Comment appuyer et aider ces ex-clients tuméfiés par les cruautés commerciales ? Oui ils savent aimer. Et ils aiment bien. Leurs amours sont authentiques. Et de valeurs évidentes. Qu’ils ne craignent donc plus de dénoncer les « brutales prises en otages » lors de la Saint Valentin. Et autres… S’ils préfèrent passer par d’autres circuits que ceux trop irrespectueux du grand commerce, ils ont fortement raison. Genre, aller vers les créatifs, vers eux-mêmes s’œuvrant, vers des talents libres et sans concessions, vers les diversités existantes actuellement. Rien n’OBLIGE à acheter les produits des publicités discourtoises. Faut se tirer cela de la tête : ces publicités de corrompus ne « méritent vraiment pas » les humains (voir les arguments en fin de texte !) La plus sympathique preuve en reste les nonchalances. Nonchalances bienvenues dans ce monde trop brutal. « Nonchalance » vient de non chalands, qui de promènent pas comme des clients, mais bien des humains matures, libres et attentifs. Chalance (comme dans zone de chalandise) achalande la clientèle (dite le chaland qui achète !). C’est un bien que plus personne ne puisse faire de nous un troupeau, troupeau ennemi de ses propres existences. D’autres réponses vont surgir dans d’autres textes.
Les incompréhensibles Durcissements actuels du grand commerce ??
Ici, surgissent les dommages centraux et collatéraux de la maniaquerie commerciale d’avoir « le monopole complet du calendrier commercial ».
• Faut-il-faire-une-croix-sur-noël-?
« Noël », « Jésus » : pourquoi ces mots disparaissent au moment de Noël ?
« Que restera-t-il de « Noël » à Noël ? Début octobre, le sang des adeptes du traditionnel Christkindelsmärik de Strasbourg, « marché de l’enfant Jésus » en alsacien, n’a fait qu’un tour. Dans un courriel adressé aux commerçants de l’événement, créé en 1570, mentionnant la liste des produits interdits et autorisés sur les étals pour l’édition 2022, la municipalité émettait une «réserve» quant à la vente de « croix de JC » (sic), au même titre que les tapis de souris, les paninis, les loukoums, la bière chaude, et autres produits qui ne respecteraient pas l’esprit de Noël. (esprit qui n’a même plus aucun droit de se dire de Noël ?? Et qui sont les « inquisiteurs clergés » qui nous disent cet esprit ? Bingo, les trop abusifs grands commerçants !) Traduction de cette novlangue strasbourgeoise : pas de crucifix à Noël (ah oui, le jour de la naissance…).
Mais là n’est pas la raison de la colère. La vente de crucifix sur le marché étant assez rare, de l’aveu de Bernard Xibaut, chancelier de l’archevêché de Strasbourg, ce qui est mis en cause est avant tout l’utilisation d’une périphrase grotesque pour désigner cet objet symbolique de la chrétienté. « Il ne faudrait plus nommer celui qui est à l’origine de la fête de Noël », ironisait l’élu d’opposition Jean-Philippe Vetter (LR) avant que la mairie, représentée par Jeanne Barseghian (EELV), n’admette une erreur de communication (et d’Information !). Y aurait-il donc une volonté de faire une croix sur « Noël » ? ». « Il ne faudrait plus nommer celui qui est à l’origine de la fête de Noël ».
Pareillement nous ne devons plus nommer nos mères mères et nos pères pères. Puisque nul ne nous a fait naître. Nous n’appartenons qu’aux délires commerciaux qui veulent vider toute l’Histoire la précédant de ses contenus réels. Plus rien n’existe que l’évènement commercial (soit une étiquette avec rien en-dessous !). Nous l’avons « récupéré » ce Noël (comme ils disent du fond de leurs poubelles !). Faire une croix sur « Noël » ? Aussi et surtout. La réponse éclairante est bien oui. Le commerce outrancier envahit tout, se monopolise tout, pour le plus grand malheur du monde. Vole tout et diffame périlleusement le reste, tout en nous aspergeant de ses immenses vulgarités. En politique « effondrée », c’est en appeler à la « Fraternité » mais sans plus rien de fraternel dedans. Fraternité vide de contenu concret, juste une étiquette pour vendre. Vendre quoi au fait ? Vendre la destruction systématique des solidarités nationales (ce qui est de la franche fraternité tout de même). N’être plus qu’une vaine étiquette sans rien d’autre ? Oui perdre toute chaleur humaine ne peut se vivre une vie entière. Ce qui constitue, par ailleurs, une si mauvaise insulte à la Constitution française : on ne l’utilise pas pour vendre des escroqueries, voyons…
« Fantastique décembre »
Il y a plus ridicule encore ? « Ces dernières années, le vocabulaire lié aux racines religieuses de la fête disparaît. En 2021, Helena Dalli, commissaire européenne chargée de l’Égalité, suggérait aux fonctionnaires de l’institution européenne de remplacer « Joyeux Noël » par « Joyeuses Fêtes » (et champagnes par champignons ??). Formule jugée « plus ouverte et plus inclusive » pour les personnes ne la célébrant pas ». Mais clinquant très impérativement (c’est comme un impératif ordre !) sur ACHETER cadeaux sur cadeaux. Ce qui n’est « ni inclusif ni tolérant » pour qui « ne célèbrent pas l’achat » perso, hors toute religion même l’athéisme, je refuse, aussi, le noël tonitruant commercial. Et partout je suis agressé par le « tu dois acheter » lorsque les non chalands refusent tout cela par nonchalance. Je suis pour l’écriture inclusive et contre les iniques exclusivismes des pouvoirs devenus destructeurs !
« Et les polémiques sur le sujet vont bon train. Elles sont par ailleurs propices à la récupération politique. « À Besançon, grâce à la maire écolo, on ne dit plus « Joyeux Noël » mais plutôt…. « Fantastique décembre » ». Eh oui, à ce point tout de même.
« Démarche politocarde, ou bien gêne personnelle ? ». Les 2 à la fois, sans doute :
Ce qui nous conduit à conclure ainsi, d‘autres textes surgiront, dont un pour la suppression définitive de la publicité (prouvée maladie mentale !) Le comprendre se fait en 3 étapes.
Première (année 1950-1970) sur le mode excuse, ce n’est qu’une réclame, un mensonge gentillet, faut pas se tracasser nous ne désirons qu’améliorer la vie de chacun.e.
2ème : Un durcissement hallucinant dès les années 1990 ? Ce qui n’est qu’un mensonge gentillet doit être soudain cru Sans discussions. Plus le droit de discuter. Mon produit est parfait (comme dans la pub) et j’interdis dictatorialement de critiquer. Je censure illégalement donc tout (médias informations objectives, réflexions sérieuses, vrais écrivains, chansons, vidéos, etc. oui tout, etc…) Ne vous tracassez pas = Sauf que ces personnages « croient dur comme enfer » à leur publicité telle une parole d’évangile. Une vérité divine. Où trône l’anomalie ? On peut « donc » tout détruire pourvu que « ma » publicité mensongère soit reine de tout… vous avez remarqué la profondeur vertigineuse de la perte du sens des réalités chez ces « dangers publics » publicitaires ?
3ème (pour que « la » publicité mensongère soit reine de tout) on achète tout, politique, votes, futurs communs, tout, institutions, justice « juste parce » qu’il faut « croire » aux pubs…(qui ne scandent plus qu’un… nous ne désirons que détruire la vie de chacun.e.).
Effectivement, nous sommes en train de le vérifier : et vous ?
source : Imagiter
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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