par Gilbert Guingant
Exactitudes et minuties. En exemple ? Ce « quoi qu’il en coûte » qui oublie de clarifier : « Pour qui en coûte-t-il ? ». Qui très exactement ? Puisque, durant ces jours d’extrêmes corruptions, certains, c’est certain, se sont très, trop enrichis. Peu légitimement, en plus.
Il ne leur en coûte rien.
Alors pourquoi tant mentir puisqu’il ne leur en coûte que nenni ? Le terme précis devient, même, « quoi qu’il en leur rapporte ». Cela ne coûte pas à tout le monde, vu qu’eux en bénéficient trop largement ; ils n’ont pas moins, mais tellement plus. Antidémocratiquement vu que le ruissellement « inversé » va tant coûter à d’autres.
Ils ne sont pas « dans le même bateau »
Toujours plus, chaque jour, les grandes paroles creuses creusent l’absence de futur commun. Et, donc, un fois tout bien « précisé », la suppression de l’avenir d’une caste. Caste si floue et vague, qu’elle ne se remarque plus que par ses amères dérives sectaires. Dérives qui, d’ailleurs, prennent toute la place. Faire semblant de régner avec du 49.3, voyez leur complète incompétence dans la gouverne. Trop incapables de vaincre par le loyal convaincre, ils s’évanouissent, livides fantômes, dans leurs échecs sans convictions. Convictions remplacées par des fuites honteuses devant tout débat. Débats tous dus, impérativement dus, en vraie réPublique publique. Impossible de privatiser la république : ils le font en s’évanouissant dans les brouillards de leurs imprécisions. Imprécisions parvenues aux bouts de leurs rouleaux !
Comment se prétendre « dans le même bateau », alors qu’ils le fuient, sans cesse, à coups d’évasions fiscales, de scandaleuses fraudes fiscales, de claires dissimulations fiscales dans des « enfers » si immoraux (auxquels ils ont même le hideux cynisme de les prétendre « paradis fiscaux » (paradis, oui mais surtout pas à la sortie, tu vas voir !) ? Toujours de fumistes fuites et – ils n’ont pas vraiment l’air très fiers d’eux – un jour, il va leur falloir détaler et s’étaler pour de bon Surexposés, trop singularisés, ils aimeraient se confondre (en sécurité solide) « dans le même bateau ». Or ? Ils ne sont jamais montés dans ce « même » bateau qui ne les protégeait que verbalement… Alors, la prochaine fois, qu’ils oseraient bafouiller « nous sommes dans le même bateau » (alors qu’ils n’y sont jamais dans ce bateau ! Nous venons de le démontrer) – demandez-leur fermement « mais pourquoi le quitter en permanence, avant même qu’il parte ? » D’où précisions en tout = la fin instantanée de leurs vaporeuses immunités. Qu’un seul souffle de colère fait advenir la toute nudité (pas d’immunité, sur le fond). Appeler un chat un chat = et il n’y aura pas de lendemain reconduit. Les comptes se rendent enfin – c’est une obligation (redditions par les exactitudes) en République.
Ce sont Toujours les petits qui trinquent
Pourquoi, si c’est si consensuellement reconnu, ne pas mettre fin instantanément à ce Grave Désordre ?
« Ce sont Toujours les petits qui trinquent » donc il faut que cela cesse et s’arrête ? Tout de suite. Avec un retentissement énorme. À la seconde ces trop de désordres, uniquement semés par le haut, se voient stoppés tout net. Quels que soient les prix pour ces honteux sommets ? C’est que la Justice peut facilement rebondir et clairement amplifier : « la Justice ce sera, justement, que ce ne soient plus Toujours les petits qui trinquent ». Terminées les lamentables beuveries des trop riches sur le dos si honnête de ces petits qui trinquèrent. Mais ne le font plus. La nouvelle attitude de la vraie Justice est venue à la rescousse. De la secousse. Plus rien n’est figé, bloqué, immobilisé, pris en otage, caché, c’est sûr maintenant que nous savons que seuls les losers censurent. Que c’est donc archi minables ces postures d’extrêmes lâchées lâchetés. Ramper et ramper cela sent la vase purulente les censures sont désormais largement fuies tellement elles dégoutent.
Les flous et le vague – la vague neuve recouvrait ce qui n’avait jamais été précisé. Et toujours recommencés ces effacements. Soit ? Les coûts ne sont payés que par les mêmes. Pas de répartitions, pas de partages, pas la moindre équité : tous ces gouvernements de déchéances sont, principalement, ennemis des Constitutions. Nous savons qui (qui paient à la place des trop riches qui ne paient pas !) et nous savons qui restent hideusement en fuites devant leurs « devoirs » (un dû de trop riche reste un devoir de payer ce juste dû !).
Le tout précis précise les faits (ils ne sont pas dans le même bateau, ils font inhumainement trinquer les petits, et quoi que ces prédations « leurs rapportent » d’illégal, il ne leur en coûte rien !!). Ils ne peuvent se flouter, ils sont nus, puisque très reconnue la monstruosité inacceptable que ce soient uniquement les petits qui trinquent. C’est du vol manifeste avec récidives. Les trop riches s’acharnent à voler les pauvres ce qui conduit très direct aux prisons très fermes. Le pli est pris et il va s’amplifier. Plus de fuites possibles. L’ambiguïté malsaine que c‘est le bas de la société qui doit payer la majorité des coûts ne peut être reconduite. Quel que soit le coût, l’indignité explose que les lâchetés de ne s’en prendre qu’aux démunis, aux plus faibles, à qui ne peuvent se défendre. Inutile d’essayer encore de pérorer, ce n’est plus possible. Ainsi, préciser fortement les faits – tracer des fléchages qui dénudent qui sont les vrais salopards – ne laisse rien dans le vague et voilà que le règne de trop abominables injustices n’a plus lieu. Oui qui crachaient l’insulte de dire « Ce sont Toujours les petits qui trinquent », ont, l’à peine craché, EMPILENT toujours plus de charges indues sur leurs dos – au lieu d’y mettre justement fin à cette incohérence ils aggravent tout. Amplifient ces iniquités, se conduisent seulement en soudards exécrables. Quels sadiques répugnants ! Il va leur falloir gravir la gravité de ces récidives intolérables.
Tout arrive et tout change, tu le vois bien…
Les principes sont simples (tout préciser et (donc) décrire très Autrement. Surtout pas avec les mots des pouvoirs). Une preuve encore que le monde nouveau advient définitivement. Qui seraient restés en premières liges deviennent les premiers informés.
Ce qui est rationnel est systématiquement inversé : prohibé (sic – par les dealers illégaux de big Pharma) de se soigner en présence de soi-même. Soit par un concret médecin, en direct, qui vous ausculte en vrai (et pas en faux virtuel). Et nous apportent les traitements et thérapies déjà existants. Du très rationnel et très sensé. En fait.
Oui, la saine Raison et la santé mentale, où les médecins nous voient de très près, se voient remplacées par des Folies furieuses. De faux tests (faux puisqu’ils ne peuvent dire si vous êtes « vraiment » malades. Les médecins oui !). Le PCR n’est destiné qu’à comprendre les mouvements et déplacements viraux, et pas plus – puisque, par ailleurs, ils ne font que détecter des « traces » très vagues et très imprécises. Alors le scandale gigantesque du Mensonge Central (les « cas » de contaminations) peut les conduire en prisons très fermes.
Clignote une réaction positive à l’épidémie (votre corps produit ses anticorps – ce qui est très sain). Et ces monstres insensibles transforment cette réponse positive en diffamation de contaminations. Or le PCR est très imprécis surtout : ne sait pas dire l’intensité de cette prétendue contamination, sa datation précise, sa nature exacte (si c’est seulement une trace de la grippe précédente, etc. Il y a imprécision, il y a bien « quelque chose » : sauf que nul ne peut affirmer que c’est une « contamination » (sic) au coronavirus, puisque « nous ne le savons surtout pas de quoi la trace provient », etc.
Et pire ? Oui il y a pire… ce PCR ne peut vous dire si la réaction « est encore vivante » ou juste une trace passéiste. Et ? Le tumulte ne peut plus cacher l’immensité volontaire de son escroquerie nageant dans les imprécisions.
Oser mentir « 100 000 cas de contaminations » en omettant misérablement la colonne des « guéris » (soit, dès le départ, 98,98%). Gigantesque non ? Et on ne panique surtout pas. Puisque s’y ajouta le déshonneur des asymptomatiques. Ce mot si antimédical : car tout le monde peut être asymptomatique (soit non malade mais contaminant). Or, même avec la grippe, seuls les malades contaminent. Pas les non malades, voyons.
Cette aberration pour « compter n’importe quoi » dans les faux cas de contaminations, soit 98,98% des prétendus « tests » PCR. Prétendu, puisque le PCR « n’est pas » un test. Et que nous ne pouvons pas le faire passer pour un test « fiable ». Ah, que il a tant d’asymptomatiques a servi à désinformer toxiquement : asymptomatique qui « peut faire tenir dans le flou » une grosse partie des 100 000 cas de contaminations donc de malades seulement « possibles ».
Le tout informatif, avec précisions exigeantes à la clé, n’aura pas été mis en regard avec les mortalités. 100 000 contaminations et moins de 20 létalités, et chiffres même pas sûrs ? Le danger est minime et n’appelle pas un déferlement de mesures si inappropriées. Tu as fait le tour du bordel semé volontairement par les illégaux gouvernements ? Indissimulable ce bordel semé par les imprécisions partout – avant, les médecins hospitaliers notaient et chiffraient les chiffres des mortalités et les causes de morts ? Moyens non manipulables, non fraudables et qui ne peuvent créer de peurs sans aucuns fondements.
Ce qui se prouve infiniment sain. Il faut y revenir et placer des barrages très résolus contre les intrusions politiciennes insensées avec quoi ils n’auront fait qu’un si dommageable usage !!
Alors, écrire tout Autrement, obtient une comparaison si claire que… les pouvoirs, en qui nous ne pouvons plus avoir nulle confiance, désorganisent sciemment la société, foutent leurs bordels partout… et agressent directement les populations.
Eh oui ? Un gigantesque « merci pour ces précisions »… Ne va pas manquer de surgir en masse…
source : Imagiter
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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