La virologie : Pseudoscience au service de la domination

La virologie : Pseudoscience au service de la domination
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par Jan Morvan, Fortuné Roussel et Patrick Visconti.

« Le spectacle se présente comme une énorme positivité indiscutable et inaccessible. Il ne dit rien de plus que « ce qui apparaît est bon, ce qui est bon apparaît ». L’attitude qu’il exige par principe est cette acceptation passive qu’il a déjà en fait obtenue par sa manière d’apparaître sans réplique, par son monopole de l’apparence.La société du spectacle. » (Guy Debord, 1967)

« Il y a plus de cent ans, le Nouveau Dictionnaire des Synonymes français d’A.-L. Sardou définissait les nuances qu’il faut saisir entre : fallacieux, trompeur, imposteur, séducteur, insidieux, captieux ; et qui ensemble constituent aujourd’hui une sorte de palette des couleurs qui conviennent à un portrait de la société du spectacle.Commentaires sur la société du spectacle. » (Guy Debord, 1988)

Tout d’abord, nous reconnaissons le rôle important de l’association RéinfoCovid dans la résistance à l’oppression covidiste que nous subissons depuis mars 2020. Ce collectif a, en effet, réalisé un travail de contre-propagande qui a permis à de nombreux francophones d’entrer dans une forme de résistance et de préserver leur corps d’une injection toxique (qui aux dernières nouvelles contient de nombreux composés toxiques, principalement métalliques, tels que baryum, chrome, titane, gadolinium, aluminium).

Cependant, la majeure partie des articles et vidéos de RéinfoCovid supposent l’existence des virus. Nous prétendons que cette théorie n’est étayée par aucun argument scientifique valable. Les analyses de contradiction de la version officielle des évènements qui, dans leur immense majorité partent de cette hypothèse virale, ne permettent pas une compréhension de la situation et sont parfois même contre-productives pour la résistance. RéinfoCovid n’est qu’un exemple parmi d’autres et nous précisons que nous n’avons pas d’hostilité particulière pour ce collectif, car notre critique est tout aussi valable pour tous les autres acteurs de la résistance au covidisme qui adhèrent à l’hypothèse virale.

Les tests PCR

Les critiques remettant en cause la pertinence des tests PCR (Polymerase Chain Reaction), sont la plupart du temps focalisées sur le nombre de cycle d’amplification. Or, la réalité n’est pas que le nombre de faux positifs augmente lorsque l’on s’approche des 35 cycles, mais que ce test n’a aucune pertinence dès le premier cycle.

Les tests PCR « COVID » sont basés sur l’article Corman-Drosten de janvier 2020 ; article publié deux jours après sa soumission au journal Eurosurveillance (deux auteurs de l’article étant membres du comité éditorial du journal).

En novembre 2020, vingt-deux auteurs dont Mike Yeadon (ancien vice-président de la Division recherche en maladies allergiques et respiratoires chez Pfizer) et Stefano Scoglio (expert en microbiologie et en naturopathie, candidat au prix Nobel de médecine en 2018, et coauteur du livre « Virus Mania »), publient un rapport démontant point par point l’article de Drosten. Dans un résumé de ce rapport, publié sur le site de RéinfoCovid, il est écrit : « Les preuves irréfutables présentée par les auteurs rendent le test PCR du SRAS-Cov-2 inutile ».

L’analyse statistique réalisée par Pierre Chaillot (statisticien de formation et animateur de la chaîne Youtube Décoder l’éco) a démontré que les résultats de ces tests n’ont aucun lien avec le nombre de malades et que le taux de positivité a été augmenté artificiellement par l’élargissement du nombre de « variants » recherchés.

L’inventeur de la méthode PCR en 1983, Kari Mullis, est souvent cité pour avoir affirmé que ces tests ne permettent pas de détecter des virus libres et infectieux ; mais il a également expliqué son étonnement de n’avoir trouvé aucun article scientifique démontrant l’existence du virus du SIDA. Ajoutons que l’existence d’un seul virus n’a jamais été démontrée à ce jour.

Aucun virus n’a jamais été isolé

En mai 2020, la biostatisticienne canadienne Christine Massey a commencé à soumettre des demandes d’information de type FOIA (liberté de l’information, dans le cadre des lois de Freedom Of Infomation Act) à des organismes et agences de santé publiques au Canada et de par le monde, pour tout document détenu décrivant l’isolement / la purification du prétendu « virus du COVID-19 », le SARS-COV-2. À ce jour, elle a collecté les réponses de 208 organisations de 35 pays, et aucune d’entre elle n’a cité un seul document décrivant la purification du prétendu virus à partir d’un seul échantillon de patient.

Dans une forme d’activisme ironique, on trouve également cette invitation de Samuel Eckert, restée sans réponse malgré l’offre alléchante : « Vous n’y croyez pas et avez la preuve de l’existence du « SARS-COV-2″ ? Alors empressez-vous de l’envoyer au Isolate Truth Found et vous gagnerez 1,5 millions d’euros ».

En effet, si l’on s’en remet aux articles publiés (Matériel et méthodes) en décembre 2019/janvier février 2020 par les équipes chinoises et coréenne, le procédé présenté par les virologistes comme un « isolement du virus » ne correspond pas à une méthode scientifique valable. Cela a amplement été démontré par les travaux d’Andrew Kaufman, Tom Cowan, Stefan Lanka, Sam Bailey et bien d’autres.

Les exosomes sont indiscernables des « virus »

Citons cette interview de Stefano Scoglio d’octobre 2020 : « La réalité est que le virus du SARS-COV-2 n’a jamais été isolé et testé. J’ai examiné toutes les études qui prétendent avoir isolé et même testé le virus, mais toutes ont fait quelque chose de très différent : ils ont pris le liquide pharyngé ou broncho-alvéolaire des patients, puis ils l’ont centrifugé pour séparer les molécules plus grosses et plus lourdes des molécules plus petites et plus légères, comme les prétendus virus ; ils ont ensuite pris le surnageant (la partie supérieure du matériel centrifugé) et ont appelé cette matrice extrêmement complexe « virus isolé » à laquelle ils ont ensuite appliqué la RT-PCR ».

« C’est assez technique, mais je vais essayer de simplifier : le surnageant contient de nombreux types de molécules, des milliards de micro et nanoparticules différentes, y compris ce qu’on appelle les vésicules extracellulaires (VE) et les exosomes, des particules utiles produites par notre corps et absolument indiscernables des « virus ».

« Aujourd’hui, c’est une mission presque impossible de séparer les vésicules extracellulaires et les « virus » par les méthodes canoniques d’isolement des vésicules, comme l’ultra-centrifugation différentielle, car ils sont souvent copelletés (rassemblés ensemble) en raison de leur taille similaire ».

Les exosomes sont dotés d’une membrane du même type que celle des cellules. Véhicules de transport et d’expulsion de composants cellulaires, ils servent notamment à la communication cellulaire en transférant des ARN messagers d’une cellule l’autre (Wikipédia).

La « méthode » des virologistes

La lecture de la partie « Materials and methods » des articles de virologie laisse pantois. Les auteurs inoculent un surnageant éventuellement issu de liquide broncho-alvéolaire d’un patient aux symptômes de pneumonie, échantillon non purifié censé contenir un virus, dans une boite de Petri en présence de cellules étrangères au prélèvement (la plupart du temps, il s’agit de cellules à capacité illimitée de division, disons tumorales de la lignée VERO issue d’un prélèvement d’épithélium de rein de singe vert africain en 1962 et répliquée depuis). Il est ajouté à cette culture : des antibiotiques toxiques particulièrement pour le tissu rénal tels que l’amphotericine B ou la gentamicine, du sérum fœtal bovin, et autres types de matériel biologique qui contiennent tous du matériel génétique identique à ce qu’on appelle un « virus », et en outre dans des conditions de concentrations de milieux de culture cellulaire appauvris en substances nutritives. Le fait que ces cellules présentent des anomalies et une cytolyse élevée (effet cytopathique) à l’observation en microscopie électronique, est ensuite présenté comme la preuve de la présence de virus.

De nombreux articles scientifiques présentent des micrographies censées représenter des virus, mais comment savoir s’il ne s’agit pas d’exosomes ou de cellules en dégénérescence, en sachant que le traitement des tissus pour l’analyse en microscopie électronique peut aussi largement induire des artefacts ?

Illustration tirée de l’article « Covid-19 : des images inédites du coronavirus Sras-CoV-2 » publié en mars 2020 par Sciences et Avenir.
Le « séquençage » génétique

Une autre « preuve » de l’existence des « virus », utilisée par les virologistes est le séquençage génétique. Pour comprendre comment est réalisé ce « séquençage des virus » à partir de cette soupe de surnageant évoquée plus haut, de ce véritable brouet grossier, nous vous recommandons cette conférence d’Andrew Kaufman qui présente la « méthode » décrite par les virologistes, censés avoir séquencé les premiers le SARS-COV-2 dans cet article intitulé « A new coronavirus associated with human respiratory disease in China » publié le 3 février 2020 dans le journal Nature.

Bien qu’il suffise de prendre connaissance de cette « méthode » pour comprendre que la virologie est une pseudoscience, Stefan Lanka a démontré son absurdité en reproduisant ce protocole fallacieux. Il a reproduit le procédé décrit dans les publications « d’isolement supposé », c’est-à-dire en présence des cellules VERO avec tous les traitements cytotoxiques pratiqués, mais cette fois sans y ajouter de prélèvement censé contenir un virus, et il a retrouvé les mêmes résultats que les virologistes (cytolyse cellulaire, micrographies censées représenter des virus, « séquençage »). En réalisant ces expériences témoins qui représentent le véritable contrôle nécessaire à toute expérimentation (qu’aucun virologiste ne prend la peine de faire), il a démontré à quel point la virologie était basée sur une fraude scientifique complète, une réelle imposture.

Plusieurs expériences pourraient être menées pour trancher le débat sur l’existence des « virus », une proposition a d’ailleurs été faîte par plusieurs des auteurs cités précédemment en juillet 2022. Elle reste sans réponse, ignorée et non médiatisée.

N’oublions pas, d’autre part, que l’hypothèse virale n’a aucune cohérence avec l’analyse des statistiques de la mortalité. Pierre Chaillot a démontré que le phénomène de contagion d’un département ou d’un pays à l’autre était inexistant.

Certains pourraient rétorquer à ces considérations critiques en citant, par exemple, cet article de l’IHU de Marseille trouvant une corrélation entre le nombre de cycles PCR et la prétendue positivité de la mise en culture du virus. Mais l’apparente cohérence des résultats ne démontre en rien l’existence d’un « virus », la méthode étant fondée sur une théorie qui n’a jamais été démontrée. De la même manière, l’efficacité des traitements dit « antiviraux » contre la maladie dite COVID-19 n’est pas une preuve qu’elle est provoquée par un virus.

On peut ajouter que la présentation par de nombreuses équipes de supposés « variants » avec à chaque fois une séquence nucléotidique différente ne permet en aucune manière de conclure à l’existence des « virus ». En effet, on notera que dans ce cas, c’est la technique de séquençage des acides nucléiques (méthode de Sanger ou de Gilbert par exemple) qui prend le pas sur la notion essentielle d’isolement en amont qui se trouve de fait occultée. Une séquence d’acide nucléique et même un catalogue de séquences ne dit rien sur leur origine, par conséquent c’est la procédure d’isolement qui est essentielle et déterminante pour pouvoir conclure. Le phénomène des « variants » correspond en réalité à l’incapacité des virologistes à reproduire l’expérience de séquençage.

Reconstruction de la phylogénie basée sur les « génomes » du « SRAS-CoV-2″ récupérés chez 1041 patients. Graphique tiré de l’article : « Clinical outcomes in patients infected with different SARS-CoV-2 variants at one hospital during three phases of the COVID-19 epidemic in Marseille », France, Hoang et al. 2021. doi: 10.1016/j.meegid.2021.105092

La virologie est une pseudoscience. Et il n’y a pas besoin d’être virologiste pour le comprendre. Pas plus qu’il ne faut être expert en licornes, pour savoir qu’elles n’existent pas. Il y a un « consensus scientifique » des virologistes sur l’existence des « virus » tout comme il y a un consensus des multimilliardaires sur les bienfaits du capitalisme. Un chercheur payé pour développer des plantes OGM croit que ces plantes sont un progrès pour l’humanité, sinon il aspire à changer de métier.

Mais alors, de quoi ces gens sont-ils malades ?

La première réponse est fournie par Pierre Chaillot : il n’y a pas eu d’augmentation extraordinaire de malades ou de décès avant l’arrivée des vaccins.

Si l’on tient compte de l’évolution de la pyramide des âges, on constate que l’année 2020 est la 6ème année la moins mortelle de l’histoire de France. Il n’y a pas eu de saturation hospitalière, mais c’est la codification des malades de l’OMS utilisée à l’hôpital et la tarification à l’acte qui expliquent ces pseudo chiffres à propos desquels le gouvernement nous ordonne de ne pas débattre.

Sur la période du premier confinement, on constate des augmentations anormales de la mortalité qui peuvent être expliquées par les mesures gouvernementales : la surmortalité à domicile (5000 décès) par l’abandon de soin, la surmortalité hospitalière (7000 décès) par une prise en charge trop tardive, et la surmortalité dans les EHPAD (5000 décès) par l’augmentation de l’utilisation de molécules pour « accompagner » la fin de vie du type Rivotril.

Deuxièmement, il ne faut pas inverser la charge de la preuve. Ce n’est pas à ceux qui prétendent que la théorie virale est une imposture de présenter une théorie alternative expliquant la maladie, mais aux virologistes de démontrer que la leur est juste.

Enfin, s’il fallait creuser une autre piste, on pourrait par exemple s’interroger sur le fait que les symptômes attribués au ”virus” qui n’existe pas sont identiques à ceux d’une exposition aux ondes électromagnétiques dont la 5G. D’autre part, il existe une corrélation temporelle et géographique entre les lieux d’apparition de ces malades et l’implantation de la 5G.

Correspondance entre les effets biologiques de l’exposition aux rayonnements de communication sans fil et les manifestations de la COVID-19. Tableau tiré de l’article de Rubik et Brown 2021, Evidence for a connection between coronavirus disease-19 and exposure to radiofrequency radiation from wireless communications including 5G, https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8580522.

Mais à n’en pas douter, il ne faut pas s’attendre à des financements publics ou autres permettant d’orienter les recherches vers ce type d’explication de la santé dégradée des populations. L’occasion est trop belle avec cette hypothèse virale pour ceux qui dirigent le monde de pouvoir ainsi exercer un contrôle renforcé totalitaire des populations, de trouver un débouché illimité pour les injections de BigPharma par la production d’une sorte de marché captif et aussi d’occulter toutes les agressions de la société industrielle sur la santé des peuples par les innombrables pollutions dont elle est à l’origine.

L’ultime soutien à la thèse virale : le gain de fonction

De quoi s’agit-il ? la recherche médicale en « gain de fonction » consiste à modifier le génome d’un agent pathogène afin d’en augmenter la transmissibilité et la virulence, en l’occurrence il s’agira, dans la situation actuelle, de supposés « virus ». L’objectif annoncé est de mieux comprendre la pathogénicité de ces organismes, de leur interaction avec des hôtes potentiels et l’environnement et par cette stratégie, d’être prêts de manière plus efficace à faire face à de nouvelles pandémies. En clair, l’objectif déclaré est de créer des agents plus pathogènes que ceux présents hypothétiquement dans la Nature afin de produire des vaccins par anticipation censés protéger au mieux les populations. Ainsi, on n’hésiterait pas à modifier un « virus » de chauve-souris afin de le rendre transmissible à l’homme (zoonose) et à éventuellement lui adjoindre des séquences d’autres « virus » très délétères afin de le rendre plus agressif avec l’objectif d’avoir à disposition le plus souvent un vaccin où sera prévue cette évolution naturelle potentiellement menaçante de la pathogénicité.

Le prix Nobel de médecine 2008, Luc Montagnier, fut un des premiers à déclarer sur Cnews en avril 2020 que, grâce aux travaux d’un de ses collègues mathématicien, Jean-Claude Pérez, et à ceux de chercheurs indiens qui avaient étudié de très près la séquence du SARS-COV2, il s’avérait que des séquences du HIV y étaient présentes, allant donc dans le sens d’une création humaine dans le laboratoire P4 de Wuhan.

Nous ne tiendrons pas compte du dénigrement méprisant des commentaires journalistiques à l’égard de Luc Montagnier dans ses affirmations, ce n’est bien sûr pas le sens de notre propos. Notre mépris à l’égard de cette profession sous contrôle oligarchique ne doit pas faire de doute, et l’objet de notre critique se situe ailleurs : l’hypothèse virale sous-jacente.

Aux États-Unis, cette affirmation d’un « virus » produit artificiellement par gain de fonction, selon toute probabilité dans le laboratoire de Wuhan, acquit de plus en plus de poids au niveau des courants d’opinion critiques de la version officielle de la pseudo pandémie ou « plandémie ». Il s’agit des courants d’opinion, animés par des personnalités qui ont en effet très tôt courageusement dénoncé la dramatisation de la présentation officielle de la « plandémie ». Ils se sont fait l’avocat des traitements précoces et des prises en charge alternatives de la maladie « COVID », et surtout ont dénoncé le caractère criminel des vaccinations et les tendances totalitaires des États qui les mettaient en place de manière toujours plus coercitive. Et il faut admettre que c’est tout à leur honneur et que cela permit en partie de mettre en garde une fraction des populations.

Exemple de 2 épisodes de l’émission « The Highwire » présentée par Del Bigtree dans lesquelles il est question de « gain de fonction ».

L’organisation de Robert Kennedy Jr, Children Health Defense, et de nombreux médecins et chercheurs tels que Robert Malone, Steve Kirsch, Joseph Mercola ou encore des journalistes critiques à forte audience tels que Matthew Del Bigtree avec son site The Highwire, Joe Rogan et son podcast à succès, ou encore Jeremy Hammond ont contribué à développer cette vision alternative à la version officielle. Cette dénonciation a connu un aspect plus strictement politique avec par exemple les auditions du Sénateur Rand Paul à l’encontre d’Anthony Fauci, l’ancien directeur du CDC, qui aurait délibérément aidé à financer ce type de recherche à Wuhan. Nul doute évidemment du caractère criminel de ce Fauci et de son organisation en lien avec la Fondation Gates et des forces qui n’œuvrent pas vraiment au bien de l’Humanité.

La seule question à poser à toutes ces personnalités, engagées de manière très honorable dans la dénonciation des dangers de la vaccination (innombrables effets secondaires pouvant mener à de graves infirmités, pathologies chroniques, voire la mort), c’est d’accepter d’apporter la preuve de la validité de cette notion de « virus » produit artificiellement par gain de fonction (échappé par accident ou volontairement selon les interprétations) dès lors qu’aucun « virus » n’a jamais pu être isolé. Par conséquent, puisqu’il n’y a pas eu d’isolement de « virus », comment peut-on produire ce type de recherche à partir de « virus » identifiés antérieurement, pour les rendre plus agressifs et délétères avec une stratégie qui sera honnête ou criminelle.

Il y a un réel problème de logique de base dans cette conception et il est à craindre que cette vision ne fasse, parmi les rangs des gens qui se posent des questions à travers le monde, que renforcer la terreur en validant de nouveau et en renforçant l’hypothèse virale. L’aspect ouvertement contre-productif de ces présentations des faits, ne peut qu’éloigner toujours plus de la conscience de l’aspect central de l’imposture virologique qui pourra continuer ainsi à perdurer et nous entraîner toujours plus vers un monde de contrôle totalitaire à la déshumanisation accélérée pour le plus grand profit d’une pseudo élite criminelle.

Nous ne nous prononcerons pas, à ce stade, sur l’honnêteté intellectuelle de ces personnalités d’ailleurs aux caractéristiques fort diverses : manipulation/opposition contrôlée ou ingénuité par absence de curiosité et ignorance ou encore crainte de se décrédibiliser aux yeux du plus grand nombre. Mais la question mérite d’être posée, elle est essentielle à la production d’un examen critique solide dans un monde où la fausse science sacralisée est l’outil majeur de la coercition.

La jeune fille à la licorne – 1604-1605 – Le Dominiquin.

source : Un peu d’air frais
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Source : Lire l'article complet par Réseau International

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À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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