Une étude montre que les femmes qui avortent leur première grossesse ont 53 % de risques de fausses couches en plus

Une étude montre que les femmes qui avortent leur première grossesse ont 53 % de risques de fausses couches en plus

Par le Charlotte Lozier Institute (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : katemangostar/Freepik

Des chercheurs, analysant 17 ans de données complètes sur les demandes de remboursement de Medicaid, ont découvert que les femmes dont la première grossesse se termine par un avortement sont susceptibles d’avoir plus de grossesses, plus d’avortements et plus de fausses couches que les femmes dont la première grossesse se termine par une naissance vivante.

Dans une récente entrevue accordée à CBS News, l’ancienne présidente de Planned Parenthood, Cecile Richards, a présenté l’avortement comme un avantage pour les femmes dans la poursuite de leurs objectifs, par exemple « cela les aide à terminer leurs études, (ou) à poursuivre une carrière jusqu’à ce qu’elles veuillent avoir leurs enfants ». Le membre du Congrès Donald Norcross (démocrate-New-Jersey) a écrit plus tôt cette année que les femmes qui ont eu recours à l’avortement « ont souvent continué à avoir un enfant par choix lorsqu’elles étaient plus sûres financièrement, améliorant ainsi les résultats pour la mère et l’enfant ».

Pourtant, selon une nouvelle étude, la première du genre, menée par Charlotte Lozier Institute (CLI), les femmes dont la première grossesse se termine par un avortement ont eu en moyenne :

  • 53 % plus de fausses couches que les femmes dont la première grossesse a abouti à une naissance vivante.
  • 35 % de grossesses supplémentaires au cours de leur vie reproductive
  • Plus de quatre fois plus d’avortements
  • Seulement la moitié du nombre de naissances vivantes

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À propos de l'auteur Campagne Québec-Vie

Campagne Québec-Vie est une association québécoise qui travaille de concert avec tout individu ou association de bonne volonté, à l’établissement d’une société chrétienne qui protège la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle.CQV a trois objectifs : i) Promouvoir la reconnaissance, par les représentants de tous les corps sociaux, y compris ceux de l’État, de la nécessité du christianisme, en tant que seule religion intégralement vraie, pour une réalisation pleine et entière du bien commun ; ii) Promouvoir la reconnaissance du fait que la foi chrétienne est raisonnable, et que la raison soutient la foi et la morale chrétiennes ; iii) Promouvoir le respect de la vie humaine depuis la conception jusqu’à la mort naturelle ainsi que les droits de la personne et de la famille ;CQV œuvre à instaurer une « Culture de Vie », c’est-à-dire que nous favorisons, en manifestant, en organisant des colloques, en diffusant des nouvelles par Internet et offrant de l’aide aux femmes enceintes en difficulté, le développement d’une société dont les lois et les mœurs concourent, entre autres, à la reconnaissance du droit à la vie de toute personne humaine, de la conception à la mort naturelle, ainsi qu’à la reconnaissance de la famille traditionnelle (homme, femme, et les enfants qui découlent de leur union aimante) comme lieu privilégié pour l’épanouissement de la personne humaine.

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