« les maraîchers étranglés par la montée des prix »
En effet, les maraichers.
Parce que les producteurs de « grandes » cultures (les céréales) sont beaucoup plus à l’abris des aléas du marché, grâce à la finance (programmes d’assurances privés) et grâce à des régimes publics de protection. Les vendeurs de concombre, le marché et l’état s’en « balek ».
La finance tue tout le monde à long terme, mais elle en sauve certains à court terme, si bien que des maraichers moins enclins au suicide économique accéléré, ou moins attachés à leurs cultures traditionnelles, sont devenus producteur de céréales.
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