Immersion chez les riches

Immersion chez les riches

Les riches sont une espèce humaine à part, qu’il faut étudier sans préjugés, comme n’importe quelle espèce animale : que mangent les riches ? Où vivent les riches ? Comment communiquent les riches ? Comment s’accouplent-ils ? Vivent-ils plus longtemps ? Que pensent-ils des pauvres ?

 

Pour la petite histoire, Hermine de Clermont-Tonnerre, qui figurait dans les carnets d’Epstein, mais qui n’y figurait pas, dans la jet-set ?, est morte dans un accident de moto le 1er juin 2020, après un mois d’hôpital.

Dernièrement, puisqu’on parle de la tentaculaire affaire Epstein, un cliché est remonté qui représente Ghislaine et le juge qui a décidé de la perquisition chez Trump.

 


Il s’avère que cette photo est un montage, dont voici l’original (ou alors elle a bien eu lieu mais Ghislaine aurait eu exactement la même attitude) :


Même le journaliste gauchiste William Reymond, bidenophile convaincu, a perçu l’arnaque :

 

La perquisition, elle, a bien eu lieu, et tout le monde attend d’en connaître le contenu, surtout quand on apprend qu’il y a du « Macron » dedans. Cela permettra de botter un peu en touche les affaires très sales de la famille Biden, entre le fils pédophile mouillé dans des trafics en Ukraine, et le père pédophile mouillé dans sa propre couche-culotte.

Les élections de mi-mandat approchent, et les démocrates ne savent pas comment neutraliser l’effet Trump, vu l’image déplorable du président actuel, élu sur une fraude massive décidée par le pouvoir profond.

 

Biden, parlons-en : chaque jour est un enfer pour le faux président, qui cumule les gaffes, au point où même ses adversaires sont gênés pour le dézinguer. Il se dézingue tout seul.

 
 
 

 

 

On peut dire que le pouvoir profond a misé sur le mauvais bourrin, une vieille carne qui n’avance plus, une machine à perdre en 2024. Il reste Kamala Harris, mais ses sorties en public, devant les journalistes, ont décidé les décideurs démocrates à la remettre très vite au placard d’où on l’avait sortie pour gagner le vote des femmes noires en novembre 2019. La démocratie américaine…

Kamala, celle qui ricane quand on la coince

Ce sont les Américains qui font ce constat. Sa cote de popularité depuis son entrée à la Maison Blanche ne cesse de baisser et se trouve aujourd’hui à seulement 28%. Kamala Harris a déçu sur toutes les missions qu’on lui a confiées. Elle aborde sa tâche avec un certain dédain, voire de l’arrogance. Joe Biden lui a confié la gestion de la crise migratoire, c’est-à-dire de l’afflux de dizaines de milliers de migrants clandestins à la frontière mexicaine. Elle n’a rien fait ou presque rien. Elle ne s’est même pas rendue sur place. Sous prétexte de s’attaquer au « causes profondes » des migrations elle s’est rendue au Guatemala et au Mexique, où elle a été reçue officiellement par les présidents de ces pays, pour discuter du problème. Elle a réduit sa mission à une séance photo. Et elle a soigneusement évité de rencontrer les gardes frontières, qui sont confrontés tous les jours à cette crise, des maires de villes envahis par les migrants, des résidents locaux confrontés à une nouvelle insécurité et des gouverneurs d’Etats estimant que le gouvernement fédéral ne remplit pas son devoir qui est de sécuriser les frontières. Elle a évité toute rencontre sérieuse, et toute scène pouvant être nuisible à son avenir politique. Cela lui a été reproché, même par des Démocrates, et des journalistes plutôt favorables à la cause Démocrate, et sa réponse à été d’en rire. Ce qui a été très mal perçu par les Américains. On note d’ailleurs qu’elle a une tendance, face aux questions difficiles, à rire ou ricaner. Les Américains ont aujourd’hui une très mauvaise opinion d’elle. Kamala Harris est ambitieuse et pense d’abord à sa carrière et ça finit par se voir. Elle espère bien sûr succéder à Joe Biden, voire qu’il lui cède sa place avant la fin de son mandat et c’est la seule chose qui compte pour elle.

Même dans la presse française, on souligne la difficulté de Kamala Harris à briller ou même à trouver sa voie. Qu’est-ce qui explique ce phénomène ?

Kamala Harris est « phony », elle est bidon pour le dire familièrement. C’est une femme noire dont on nous raconte qu’elle a dû traverser des épreuves et vaincre l’adversité pour parvenir là où elle est. C’est parfaitement faux. La réalité est même inverse. C’est parce qu’elle est une femme et parce qu’elle est Noire qu’elle a eu une telle carrière. Elle a été la bonne personne au bon moment au bon endroit. Elle est née après la loi sur les droits civiques des Noirs et elle a bénéficié des programmes de discrimination positive à l’école, ainsi que de bourses scolaires. Elle a commencé sa carrière dans une Amérique qui voulait promouvoir les minorités et les femmes. Dans sa campagne pour devenir procureure du district de San Francisco, elle a souligné que tous ses prédécesseurs étaient des hommes blancs et qu’il était temps que ça change. Elle-même a donc fait campagne sur sa race et son sexe. (Atlantico)

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À propos de l'auteur Égalité et Réconciliation

« Association trans-courants gauche du travail et droite des valeurs, contre la gauche bobo-libertaire et la droite libérale. »Égalité et Réconciliation (E&R) est une association politique « trans-courants » créée en juin 2007 par Alain Soral. Son objectif est de rassembler les citoyens qui font de la Nation le cadre déterminant de l’action politique et de la politique sociale un fondement de la Fraternité, composante essentielle de l’unité nationale.Nous nous réclamons de « la gauche du travail et de la droite des valeurs » contre le système composé de la gauche bobo-libertaire et de la droite libérale.

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