Afrique du sud: retour prévisible à la barbarie totale

Afrique du sud: retour prévisible à la barbarie totale

Le contraire du résultat escompté par Mandela

5760 actes sauvages commis en 3 mois

La situation générale en Afrique du sud va dans le sens contraire de ce qu’avait espéré Nelson Mandela, qui se voulait le sauveur pacificateur de son peuple. Mais le temps purgé en prison pour y arriver le fut en vain.

Imaginez le marasme actuel qui s’amplifie à la grandeur du pays:

L’exclusion systématique des Blancs qui se voient remplacés par des Noirs est en train de faire basculer vertigineusement le pays dans une spirale descendante, le faisant peu à peu reculer au même niveau de despotisme, de primitivisme, de violence et de corruption que tous les autres pays africains sans exception.

Les observateurs décrivent le pays comme au bord de l’implosion.

Imaginez la situation : seulement entre avril 2021 et fin juin 2021, 5 760 homicides ont été commis en Afrique du Sud, l’un des taux par habitant les plus élevés au monde. Ça s’entretue à qui mieux mieux.

Wikipédia rapporte des dizaines de catégories de crimes qui sont à la hausse de 20 à 30% dans ce pays. Les milliers de crimes eux-mêmes ne se comptent plus.

Bien que l’enchaînement inéluctable des choses fût prévisible, la bien-pensance pétrie de bonnes intentions préférait encore une fois mettre des œillères roses et jouer à l’autruche, fidèle à sa fâcheuse habitude.

Nelson Mandela voulait libérer son peuple qu’il estimait opprimé par le colonialisme. À la place, il a libéré les forces du mal primitives enfouies au fond de chacun d’eux, déclenchant ces mêmes pulsions maléfiques qui ont provoqué le génocide inter-ethnique au Rwanda, les massacres du sanguinaire Idi Amin Dada en Ouganda, et toutes les exactions qui continuent d’être perpétrées sans relâche dans tous les autres pays africains.

Ce serait comme dire: «les prisons sont majoritairement remplies de Noirs, jusqu’à 5 fois plus que leur proportion réelle dans la réalité. Mais laissez-les donc tous sortir en leur disant qu’à partir de maintenant ils deviendront des modèles de vertu doux comme des agneaux, et sauront se montrer utiles à la société en remerciement d’avoir pu recouvrer leur liberté». Qui sera assez naïf pour croire à de telles sornettes?

Ce n’est pas sans raison que tous les pays africains se retrouvent tout au bas de la liste des pays par ordre de développement humain. Et cela ne changera pas en 100 ans, en 1000 ans. Le cas de l’Afrique du sud le démontre comme si besoin était avec éloquence. Au 119è rang sur 180 dans le tableau de l’échelle de développement humain de 2015, on peut s’attendre à ce le pays glisse, s’enlise peu à peu, et recule loin derrière pour rejoindre inéluctablement les autres pays africains.

Maintenant, qu’est-ce que le drame insoluble de l’Afrique du sud peut bien avoir à voir avec la situation que nous vivons au Québec? Plus qu’on ne pourrait soupçonner à prime abord…

En effet, si on laisse le Québec s’africaniser peu à peu, nous nous dirigerons tout droit dans la même direction fatale. Nous allons frapper le même mur à la vitesse grand V. Est-ce vraiment ce que nous voulons léguer à nos enfants? Un pays décivilisé, débilité, ensauvagé?

On peut en détecter les signes avant-coureurs dans le nombre de crimes, fusillades et incendies d’autos quotidiennes à Montréal. Si cette situation n’existe pas dans les autres villes du Québec, c’est qu’il n’y a pas encore suffisamment de Noirs. Mais cela viendra beaucoup plus tôt qu’on ne le croit, soyez-en assurés.

Un autre exemple, l’immigration africaine amènera son lot de soi-disant pasteurs escrocs comme le pasteur auto-proclamé congolais Paul Mukendi assisté de sa femme congolaise. Et que dire des diseuses de bonne aventure vaudou haïtiennes qui ont maintenant pignon sur rue, s’enrichissant de la crédulité des plus naïfs?

Immigrants officiels, faux réfugiés, migrants illégaux, sans-papiers, travailleurs temporaires ou étudiants qui demandent la résidence permanente, tous du pareil au même comme résultat.

C’est dès maintenant qu’il faut ajuster les critères de sélection des immigrants pour bloquer tout ce qui peut contribuer à l’africanisation accélérée du Québec entraînant régression sociale et déchéance (et cela inclut Haïti (tout penaud au 170è rang sur 180 pays dans l’ordre de développement humain). À l’heure actuelle, ce sont les africains qui profitent le plus du système et qui affluent massivement à nos frontières. Sommes-nous suffisamment conscients du danger qui nous guette?

Et le Québec se fait rouler par le fait que plusieurs d’entre eux parlent français, langue seconde, après la langue indigène apprise dans leur tribu ou bidonville. La connaissance minimale du français exigée pour être accepté au pays se retourne ici contre nous, ouvrant toute grande la porte aux sous-développés!

Plusieurs pays européens sont également aux prises avec ce déferlement massif inondateur non désiré qui abaisse tout, et commencent à prendre des mesures énergiques pour les retourner d’où ils viennent, et d’où il ne faut surtout plus qu’ils sortent.

Références:

Crimes à la hausse de 20 à 30% depuis 1 an en Afrique du Sud

https://businesstech.co.za/news/lifestyle/593318/new-data-shows-shocking-rise-in-violent-crime-in-south-africa/

Hausse exponentielle de crimes avec violence en Afrique du Sud

https://www.voaafrique.com/a/hausse-exponentielle-de-crimes-avec-violence-en-afrique-du-sud/6602073.html

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Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec

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