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Requiem pour des cons.
Maintenant que l’Empire américain est devenu une hydre à deux têtes : Mondialiste façon Davos d’un côté, Néocon façon « Make America great » de l’autre, son appétit déjà vorace a plus que doublé. Et l’Europe n’en finit plus de servir de terrain de jeu et de variable d’ajustement à la guerre que se mènent nos deux élites pour la domination du Monde.
Le bon vieux temps où il nous fallait servir, à nous les Européens, uniquement les intérêts du complexe militaro industriel US, nous apparait au regard de la période actuelle comme une époque bénie des Dieux (de la guerre).
Les 30 glorieuses, comme on dit par ici, et son Plan Marshall, le Sherif est depuis en prison, furent les prémisses de ce qui devait être la politique étrangère des États-Unis jusqu’à nos jours : Nous détruire pour mieux nous reconstruire, au mieux et au gré de leurs intérêts. Après tout c’était eux les vingt cœurs, et nous les vingt culs donc, cqfd : Tout juste bon au droit de cuissage !
Et puis patatras, au détour des années 70, la tentation socialiste fut plus forte que la raison, un deuxième larron fit son apparition : la Sociale-Démocratie, qui prétendait unir dans une même dynamique les forces du marché et l’État Providence – c’est comme cela du moins qu’on le voyait à l’époque dans sa version quasi miraculeuse.
Moins dangereuse en apparence pour le Capitalisme actionnarial et la liberté d’entreprendre, que le Communisme de type marxiste, la Sociale-Démocratie finit par gangrener à son tour tous les rouages des États de par le monde, et de crise en crise financière, finit même par atteindre le cœur des Entreprises, qui entre temps s’étaient faites Multinationales. La boucle était bouclée et c’est tout naturellement, comme par glissement sémantique, que se fit la jonction de la Sociale Démocratie avec le Socialisme Fabien du XIXe siècle et le lien plus honteux avec le Fascisme corporatiste, qu’il soit de type Nazi ou Mussolinien, pour donner comme résultante aujourd’hui : le Mondialisme représenté par le Forum de Davos.
Ce dernier vise à construire un Homme Nouveau de type multiracial (On oublie l’Aryen blond aux yeux bleus), sans sexe déterminé (En hommage à Simone de B. fière collabo des années 40) et sans aucune appartenance nationale exception faite pour les néo-nazis ukrainiens. Son crédo : Déconstruire pour mieux reconstruire, et cela quel que soit le domaine abordé : politique, économique, sociologique, et même médical… Tout devient prétexte à… Qu’importe, pourvu que l’on ait à la fois l’ivresse du chaos et la joie de pouvoir s’inscrire dans l’exaltation du désordre et du nihilisme ambiant. Un avant-gout morbide de la guerre de tous contre tous !
Mais arriva ce qui devait arriver : Quand on met des systèmes totalitaires en concurrence l’un finit par vouloir manger l’autre, le Nèoconservatisme et son complexe militaro industriel, qui avait pourtant fait leurs preuves comme vecteur de domination américaine depuis 1913 et la création de la FED, la fameuse Super Banque Centrale américaine ; Ce Néoconservatisme qui avait nourrit tant de guerres de prédation et fait la fortune de tant de « fripouilles » finit par être pris à revers au cœur de son propre système, par le monstre qu’il avait lui-même favorisé, à savoir l’idéologie Mondialiste.
Les sacrosaintes terres immaculées des États Unis, n’étaient plus désormais un sanctuaire vierge de toute guerre et échappant aux affres de la moulinette woke. Ou peut être devrais-je dire des États-Désunis car ceux-là même qui promotionnèrent tant de guerres chez les autres, et en particulier en Europe, se trouvent aujourd’hui au bord de la sécession et de la guerre civile : élections tronquées et volées, Juges menacés, Alzheimer à la tête de l’état sur fond de récession annoncée et de crise financière, qui n’en finit plus de se métastaser.
Ce cancer généralisé dont semble atteinte la société américaine dans son ensemble, sert désormais à la fine équipe de Davos comme prétexte à une déconstruction totale de l’homo-festivus américain : les opioïdes coulent à flot, les mafias mexicaines prospèrent, et ce qui reste d’intelligence périclite dans des universités vouées au « genrisme », au racisme anti-blanc et au « Socialisme de la pauvreté. L’arroseur arrosé en quelque sorte. God bless America !
Et l’Europe dans tout cela me direz-vous ? Et bien il semblerait bien que pour une fois, l’Europe profite du chaos chez les autres, et que du fiasco Ukrainien annoncé nous ne récoltions non pas comme promis par « l’Ami américain » une guerre nucléaire, mais une bonne vieille crise économique, fille « putassière » de nos délires de sanction antirusse et de la climato folie de nos malthusiens Mondialistes. À chacun sa croix !
source : Le blog A Lupus
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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