Les enfants québécois avortés se font remplacer par des immigrants importés

Les enfants québécois avortés se font remplacer par des immigrants importés

L’auto-génocide d’un peuple commence par ses enfants sacrifiés

Le tiers-monde en mode envahissement

En ces temps de pénurie de main-d’oeuvre dont on fait grand cas, il est sidérant d’apprendre que:

Le nombre d’enfants québécois avortés chaque année correspond à peu de choses près à la moitié du nombre d’immigrants du tiers-monde sous-développé qui sont systématiquement importés pour les remplacer sur le marché du travail.

Quoi de plus tordue que cette logique délétère et funeste?

Les statistiques officielles sont consternantes : il se pratique entre 20 et 25 000 avortements d’enfants par année au Québec, la moitié des cotas d’immigration actuels! Autrement dit, chaque bébé québécois supprimé se voit remplacer par 2 immigrés. Quel regrettable malheur! C’est une véritable hécatombe.

Ce nombre à la hausse fauche autant de vies humaines qu’une pandémie annuelle de covid le ferait! Et on trouve ça normal, et on passe la chose sous silence.

Chose certaine, c’est une façon efficace d’accélérer le remplacement graduel de la population québécoise de souche par des hordes de miséreux surpeupleurs inintégrables, avides de profiter de tous nos avantages sociaux à notre place.

C’est le tiers-monde en mode envahissement et étalement mondial, pas juste urbain. Et pas un seul coup de feu tiré par ces armées de marées humaines (à part les fusillades dans Montréal-Nord tous les jours où ils se concentrent).

L’auto-génocide d’un peuple commence par ses enfants sacrifiés.

Un processus qui se voit aidé par une immigration massive indiscriminée ne respectant en aucun point les caractéristiques identitaires historiques du peuple visé, contribuant par le fait même à sa lente dissolution dans le néant.

Les femmes enceintes qui ne s’estiment pas en mesure d’élever leur enfant sur le point de naître doivent le donner en adoption à la naissance à une famille aisée, aimante et qualifiée qui saura en faire un citoyen modèle et qui apportera sa contribution utile à la société. Il n’en manque pas. Voilà la façon civilisée de faire les choses.

On commence d’abord par offrir à l’enfant en développement le cadeau de la vie, et puis ensuite, le cadeau d’une famille adoptive qui en prendra soin et l’élèvera comme il se doit pour en faire quelqu’un de bien.

On n’empêche pas un petit enfant de se développer pleinement, de devenir la meilleure personne qu’il aspire à être, simplement parce qu’il était imprévu. On ne lui retire pas cette chance unique de vivre toute sa vie du début jusqu’à la fin.

L’enfant n’a qu’une seule envie : vivre toute sa vie, de la première à la dernière seconde, sans interruption.

Combien de temps encore allons-nous continuer à éliminer nos propres enfants un par un au profit des bandes de n’importe qui de n’importe où qui affluent à nos frontières?

Le Québec a besoin de tous ses enfants vivants.

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