Persistance de la protéine S1 du CoV-2 du SRAS dans les monocytes CD16+ des séquelles post-aiguës du COVID-19 (PASC) jusqu’à 15 mois après l’infection

Persistance de la protéine S1 du CoV-2 du SRAS dans les monocytes CD16+ des séquelles post-aiguës du COVID-19 (PASC) jusqu’à 15 mois après l’infection

Bruce K Patterson  1 Edgar B Francisco  1 Ram Yogendra  2 Emily Long  1 Amruta Pise  1 Hallison Rodrigues  1 Eric Hall  3 Monica Herrera  3 Purvi Parikh  4 Jose Guevara-Coto  5   6 Timothy J Triche  7 Paul Scott  7 Saboor Hekmati  7 Dennis Maglinte  7 Xaiolan Chang  8 Rodrigo A Mora-Rodríguez  5 Javier Mora  5

Affiliations

Free PMC article

Résumé

La récente pandémie de COVID-19 constitue un défi thérapeutique au stade de l’infection aiguë, mais la reconnaissance de symptômes chroniques de COVID-19, appelés séquelles post-aiguës de l’infection par le SRAS-CoV-2 (PASC), pourrait toucher jusqu’à 30 % de toutes les personnes infectées. Le mécanisme sous-jacent et l’origine de cet état immunologique distinct, trois mois ou plus après l’infection initiale, ne sont toujours pas élucidés. Nous avons étudié la présence de la protéine S1 du SRAS-CoV-2 chez 46 personnes. Nous avons analysé les sous-ensembles de lymphocytes T, de lymphocytes B et de monocytes chez les patients atteints de COVID-19 grave et chez les patients présentant des séquelles post-aiguës de COVID-19 (PASC). Les niveaux de monocytes intermédiaires (CD14+, CD16+) et non classiques (CD14Lo, CD16+) étaient significativement élevés chez les patients PASC jusqu’à 15 mois après l’infection aiguë par rapport aux contrôles sains (P=0,002 et P=0,01, respectivement). Un nombre statistiquement significatif de monocytes non classiques contenaient la protéine S1 du SRAS-CoV-2 chez les patients sévères (P=0,004) et les patients PASC (P=0,02) jusqu’à 15 mois après l’infection. Les monocytes non classiques ont été triés chez les patients PASC par cytométrie de flux et la présence de la protéine S1 du SRAS-CoV-2 a été confirmée par spectrométrie de masse. Les cellules de 4 des 11 patients COVID-19 sévères et de 1 des 26 patients PASC contenaient des cellules mononucléaires du sang périphérique ddPCR+, cependant, seul de l’ARN SARS-CoV-2 fragmenté a été trouvé chez les patients PASC. Aucune séquence complète n’a été identifiée, et aucune séquence pouvant expliquer la protéine S1 observée n’a été identifiée chez aucun patient. Le fait que les monocytes non classiques puissent être une source d’inflammation dans le cas du PASC justifie une étude plus approfondie.

Mots clés : CCR5 ; COVID-19 ; PASC ; protéine S1 du CoV-2 du SRAS ; fractalkine ; monocytes non classiques.

Copyright © 2022 Patterson, Francisco, Yogendra, Long, Pise, Rodrigues, Hall, Herrera, Parikh, Guevara-Coto, Triche, Scott, Hekmati, Maglinte, Chang, Mora-Rodríguez et Mora.

Déclaration de conflit d’intérêt

BP, AP, HR, EL et EF sont des employés d’IncellDx, Inc. TT, PS, SH et DM sont des employés d’Avrok Laboratories, Inc. Les autres auteurs déclarent que la recherche a été menée en l’absence de toute relation commerciale ou financière qui pourrait être interprétée comme un conflit d’intérêts potentiel.

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

Article original en anglais ici : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35082777/

Source: Lire l'article complet de Profession Gendarme

À propos de l'auteur Profession Gendarme

L'Association Professionnelle Gendarmerie (APG) a pour objet l’expression, l’information et la défense des droits et intérêts matériels et moraux des personnels militaires de la gendarmerie et de toutes les Forces de l'ordre.Éditeur : Ronald Guillaumont

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Recommended For You