La perte de confiance – Médecine et totalitarisme (5/5)

La perte de confiance – Médecine et totalitarisme (5/5)

Les médecins risquent de perdre la confiance du groupe témoin, des étudiants en médecine, des infirmières, des aides-soignantes et de tous les Français en général.


Par Zineb Deheb – Le 28 mai 2022

L’attitude collective des médecins depuis fin 2019 a été déplorable et les Français vont leur retirer leur confiance, si ce n’est déjà fait. L’industrie pharmaceutique a installé un « canal de communication » dans l’esprit des médecins. La brèche est béante et ce que cette mafia tente et tentera d’insérer dans leurs esprits asservis va bien sûr dépasser la simple épidémie générée par le Sars-CoV-2.

4ème partie

Je vois deux axes évidents qui pourront être exploités pour extorquer plus de richesses aux Français tout en détruisant leur santé. Le premier axe est le « screening » , le dépistage et le recours systématique aux bilans de santé. Les laboratoires pourront alors encore fabriquer des tests défectueux, diagnostiquer de plus en plus de maladies et des maladies de plus en plus graves. Ces maladies terrifiantes que le « malade » n’aura parfois même pas remarquées pourront alors être traitées par des produits présentés comme des médicaments. Pour la santé de ces « malades » , l’industrie meurtrière aura bien sûr quelques molécules expérimentales, brevetées et onéreuses. Et c’est le deuxième axe qui sera exploité : l’administration en population générale de produits mal testées. Ainsi, les phases des essais thérapeutiques pourront se chevaucher comme on l’a vu avec les poisons à ARNm. Les animaux étudiés durant la phase I auront à peine été sacrifiés pour analyse que les phases II et III auront déjà été lancées en dehors même de la population cobaye officielle. Je rappelle que Big Pharma a toutes les institutions européennes et françaises sous sa coupe. Les médecins ne sont pas du tout conscients de cette réalité et seront susceptibles d’accepter les produits que leurs présenteront les charlatans.

Les médecins perdront également la confiance de leurs collègues hospitaliers. Les médecins ont encore assez d’incitations à rester à l’hôpital : une compétition pour les postes et la carrière hospitalière prestigieuse ; l’accès à de nombreux patients avec des maladies intéressantes et rares ; l’accès à des traitements de prescription réservée à l’hôpital ; la recherche médicale ; le travail d’équipe ; l’accès au secteur 2 avec la possibilité de pratiquer des dépassements d’honoraires en cas d’exercice libéral ; le confort du salariat. Mais il est en est tout autrement pour le personnel paramédical qui n’a pas vraiment de perspectives d’évolution de carrières intéressantes. Et la «vaccination» a été un viol pour de nombreuses infirmières et aides-soignantes. Des médecins en collaboration avec l’administration ont harcelé ces femmes. Quand une majorité d’infirmières et aides-soignantes refusera enfin d’être dénigrée et méprisée et comprendra que son intérêt ne coïncide pas avec celui de l’hôpital, les médecins finiront par se retrouver seuls dans leurs hôpitaux. Le personnel administratif a probablement déjà un plan : un arrivage frais de personnel espagnol, roumain, algérien, ukrainien ; un nouveau vivier d’intérimaires interchangeables. Le personnel administratif pourrait même proposer simplement un repositionnement de l’ «esclave des hôpitaux» (l’externe). L’étudiant en médecine de 3e et 4e année pourrait remplacer l’aide-soignante. L’étudiant en médecine de 5e et 6e année pourrait remplacer l’infirmière. Le «larbin des hôpitaux» (l’interne) boucherait, comme à son habitude, tous les trous qui resteraient et se substituerait notamment à l’infirmière-anesthésiste et à l’infirmière de dialyse. Tous décès ou perte d’organe imprévus qui résulteraient inéluctablement de cette petite réorganisation relèverait, bien évidemment, de l’aléa thérapeutique. Mais il semblerait que ce n’est pas la politique privilégiée actuellement et que de nombreux services hospitaliers ferment tout simplement.

Quand les étudiants en médecine comprendront qu’ils ont été empoisonnés, voudront-ils continuer leurs études ? La perte de confiance en leurs « maîtres » surajoutée aux problèmes de santé qui risquent de s’accumuler s’ils persistent à multiplier les inoculations risque d’aggraver l’état de la démographie médicale. Je sais que des internes de réanimation ont déjà abandonné leur spécialité. La France ne pourra pas compter indéfiniment sur les médecins étrangers.

J’en viens maintenant aux médecins de plateaux qui portent gravement atteinte à l’honneur de la profession depuis plus de 2 ans. Je voudrais en faire une petite synthèse pour en garder une trace qui, j’espère, restera malgré le travail de nettoyage des faits que réaliseront les livres d’histoire promus par l’Éducation nationale en vue de la « réconciliation nationale » . Ce sont des médecins qui ont oublié la loi naturelle, le serment d’Hippocrate, le droit international, le droit national. Ils sont la quintessence du médecin qui a fini par travailler pour les laboratoires pharmaceutiques et l’État au lieu de servir son patient.

Petit portrait.

C’est un médecin qui ne semble pas savoir que la science et la connaissance progressent grâce à l’échange et à la controverse. Il s’agit du Pr Enrique Casalino, chef de service des urgences de l’hôpital parisien Bichat-Claude Bernard, qui estimait, en août 2021, que les propos mettant en doute l’efficacité de l’ARNm ne « [pouvaient] plus être écouté[s] » . D’ailleurs, il a persisté dans sa volonté de museler et a affirmé, en décembre 2021, qu’il faut vacciner les enfants et qu’ « il n’y a pas de débats » .

Il s’attaque à la santé des enfants. Il s’agit d’un néphrologue de l’hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière, le Pr Gilbert Deray, qui milite activement pour la disparition du groupe témoin, y compris en population pédiatrique et pour se faire, utilise de manière très vulgaire l’instrument de la peur. En novembre 2021, il a effectivement voulu faire croire que l’infection à Sars-CoV-2 pouvait dégénérer en maladie d’Alzheimer chez les enfants.

Il méprise le peuple et s’essaie au marketing et à la publicité. Il s’agit du Pr Philippe Juvin, chef de service des urgences de l’hôpital européen Georges Pompidou qui voulait, en juillet 2021, appâter les jeunes de 12-17 ans qui sont un « fort réservoir de virus » et les inciter à se faire inoculer l’ARNm avec des « bons d’achat à 50 » ou « 100 euros » .

Il utilise la vulgarisation médicale, non pas seulement pour simplifier le vocabulaire technique mais surtout pour terroriser. Il s’agit du Pr Bruno Megarbane qui tentait, en janvier 2022, d’expliquer au groupe témoin les affres de la mort par asphyxie en réanimation. Il n’avait pas l’air conscient que, peut-être, il risquait de faire décompenser de nombreux hypocondriaques.

Il réduit la personne humaine à une machine inerte programmable qui nécessite, comme n’importe quel ordinateur, un « anti-virus » . Il s’agit du Pr Gilbert Deray qui niait, en décembre 2021, l’existence de l’immunité naturellement acquise et réduisait ainsi à néant des décennies de recherches. Il s’agit également du Pr Bruno Megarbane, chef de service du service d’anesthésie-réanimation de l’hôpital Lariboisière, qui, en novembre 2021, niait aux médecins toute capacité à interpréter les résultats d’une sérologie pré-inoculatoire. Le but de ces médecins était, bien sûr, de renouveler régulièrement et le plus largement possible la mise à jour de l’anti-virus, mais sans changer de version et en se limitant à la version « Wuhan 2019 », ce qui n’a aucun sens d’un point de vue logiciel.

Il méprise manifestement la physiologie humaine. Il s’agit du Dr Jérôme Marty, médecin généraliste et président de l’Union française pour une médecine libre (sic), qui affirmait, en juillet 2021, qu’ « on n’a jamais eu autant de recul sur un vaccin que celui-là » parce qu’ « il y a 3 milliards de personnes vaccinées sur la Terre » . La mathématisation du monde a tourné au ridicule avec ces « scientifiques » .

Il menace de priver de soins le groupe témoin. Il s’agit de M. André Grimaldi, professeur émérite de diabétologie au CHU Pitié-Salpêtrière, qui a écrit une tribune très sournoise publiée le 01/01/2022 dans le Journal du Dimanche. Cette personne brandissait la menace que les « sociétés savantes » , les « agences indépendantes » , les « comités d’éthique » , « la société dans son ensemble » et les « élus » allaient peut-être décider de fermer la porte de la réanimation au groupe témoin. J’imagine que les anesthésistes-réanimateurs seront contents de savoir que, selon l’avis de ce diabétologue, la « société dans son ensemble » et les « élus » peuvent maintenant les remplacer dans leurs décisions. Il assimilait, à mots couverts, la décision de faire partie du groupe témoin à un geste suicidaire. Et, selon lui, toute personne suicidaire ne peut pas connaître de sursaut vital, ne peut que refuser d’entrer dans un service de réanimation et doit rédiger un formulaire signalant ce choix. En attendant que la société finisse par lui en refuser l’entrée.

Il refuse l’entrée de l’hôpital aux malades du groupe témoin. Il s’agit de médecins de l’Institut Curie qui conditionnent l’accès aux soins à la réalisation quotidienne d’un test PCR inutile. Ils ont osé envoyer la Brigade anti-criminelle pour empêcher une femme de 33 ans atteinte d’un cancer, sous chimiothérapie et connue de leurs services d’entrer dans leurs locaux.

Pour mater les récalcitrants, il suggère enfin de les affamer. Il s’agit du Dr Jean-Philippe Masson, président de la Fédération nationale des médecins radiologues, qui proposait, en décembre 2021, d’empêcher le groupe témoin d’accéder aux transports en commun et aux magasins d’alimentation.

Il accuse le groupe témoins d’être une bande d’assassins en puissance. Il est également en accord avec la politique gouvernementale de mise à mort économique du groupe témoin. Il s’agit du Dr Michel Cymès, chirurgien ORL surtout connu comme membre du showbiz parisien, qui considérait, en octobre 2021, que les « infirmières ou [l]es médecins » du groupe témoin méritaient complètement d’être privés de leur gagne-pain.

Je n’oublie pas tous ces médecins anonymes qui ont refusé de prendre en charge leurs patients du groupe témoin ; qui s’occupent de leurs patients atteints de pneumonie ou de bronchite par l’intermédiaire d’un écran d’ordinateur alors qu’ils ont les moyens de se protéger et qu’ils se pensent correctement immunisés par l’ARNm ; qui refusent toujours de prescrire des médicaments aux personnes infectées par le Sars-CoV-2 ; qui ont laissé leurs malades agonisants mourir seuls à l’hôpital sous prétexte d’épidémie en interdisant la visite des familles.

Je n’oublie pas non plus tous ces médecins qui ont cherché les frontières de la logique humaine et qui l’ont profanée sans vergogne. Un tel mépris pour les Français et leur bon sens se paiera malheureusement. Je les prierais, s’ils écoutaient, de ne pas flinguer notre profession, parce que le groupe témoin a prévu de retourner au travail et manquera de temps pour rattraper toutes ces bêtises.

Je viens d’apprendre l’existence des Groupes d’intervention rapides (GIR), des équipes d’exterminateurs envoyés par l’Assistance publique-hôpitaux de Paris (et peut-être par d’autres structures) pour prescrire le Rivotril® dans les EHPAD notamment. Certaines personnes âgées ont été fauchées sans même avoir été vues par un médecin et sans même que leurs familles n’en aient été informées au préalable. Des équipes mobiles de soins palliatifs officient habituellement dans les hôpitaux pour aider les mourants. Est-ce que ce sont les mêmes personnes ? Je pense qu’il nous faudrait leurs noms. Les Français ont toujours connu ceux de leurs Bourreaux.

A l’instar des policiers durant le soulèvement des Gilets Jaunes, les médecins ont accepté collectivement le rôle que l’État leur a attribué, celui de devenir les ennemis du peuple. Je laisse la parole au Conseil de l’Ordre qui s’est donné pour mission, m’a-t-on rapporté, d’ « assainir » le corps médical en l’amputant de ses organes malades (les médecins du groupe témoin) et qui feint de ne pas comprendre l’origine de la violence :

«Ces dernières semaines ont vu se multiplier les actes de violence et d’intimidation visant des médecins, des pharmaciens, d’autres professionnels de santé, et des personnels d’établissements ou de centres de vaccination. Alors que partout en France  l’épidémie de Covid 19 accélère de façon alarmante et que les professionnels de santé  restent mobilisés au service des Français, l’Ordre des médecins condamne avec la plus grande fermeté ces actes de violence et d’intimidation.

Il rappelle que, depuis plus d’un an, tous ces professionnels sont pleinement engagés et portent notre système de santé à bout de bras depuis le début de la crise sanitaire. Rien ne saurait justifier qu’ils soient attaqués aujourd’hui, alors qu’ils étaient applaudis il y a un an pour leur engagement à soigner et protéger leurs concitoyens.

L’Ordre des médecins espère que les auteurs de tels faits seront sévèrement sanctionnés par les autorités.

Mais plus que tout, l’Ordre des médecins tient à exprimer son soutien aux médecins, aux pharmaciens et à tous ces professionnels attaqués et menacés, et à rendre hommage à leur engagement tout au long de cette crise sans précédent.»

(Violences et menaces contre des professionnels de santé : l’Ordre des médecins exprime tout son soutien aux professionnels de santé visés. Communiqué du 16/08/2021)

Toute cette violence se retournera contre les médecins. Ils auront beau tenter d’introduire des facteurs confondants1 dans cette expérimentation sauvage, ils ne parviendront pas à faire disparaître le groupe témoin. Et alors, les victimes d’effets délétères de l’ARNm sauront qu’elles ont été trompées.

Conclusion

Le régime totalitaire sévissant en France a décidé de créer sa réalité, celle d’une épidémie virale dangereuse et extrêmement mortelle. Il lui fallait donc des morts et il a réussi à les provoquer par de multiples procédés. L’épidémie de Sars-CoV-2 et la propagande commerciale menée par l’État en collaboration avec l’industrie pharmaceutique ont montré que des médecins sous hypnose étaient prêts à continuer de travailler tout en abandonnant la médecine et ses tabous. Les médecins en accord avec la politique «sanitaire» actuelle ne sont pas sans principes. Leurs principes ont simplement été pervertis grâce à l’exploitation et à la manipulation de leurs biais cognitifs et de leurs vulnérabilités morales. Cette mise au pas a été facilitée par la formation médicale qui consiste en une longue domestication et un désarmement intellectuel méthodique. Cette sujétion est parachevée par le conseil de l’Ordre des médecins qui veille à la formation des rangs et à leur maintien. La crise actuelle est l’aboutissement d’un processus de déshumanisation et de technicisation de la pratique médicale qui s’est instauré progressivement depuis des décennies et qui vise à retirer aux médecins leur pouvoir décisionnel et à les prolétariser. À terme, le but est de les empêcher de faire valoir leur art et leur expérience et de les transformer en techniciens médicaux respectant des protocoles conformes à des lois dictées aux gouvernements notamment par les lobbies pharmaceutiques et les forces eugénistes.

J’espère avoir montré à chacun comment la violence de l’État envers son peuple se traduisait en une violence du peuple contre le peuple. Les acteurs ayant participé aveuglément à cette grande campagne d’empoisonnement sont très nombreux. Maintenant que les décès s’accumulent, les pervers manipulateurs qui ont consciemment empoisonné les Français tenteront évidemment de cacher les preuves de leurs crimes le plus longtemps possible avec le silence plus ou moins complice et intéressé de leurs esclaves2. Au lieu de participer au grand mensonge de cette épidémie et d’enterrer les preuves, les médecins devraient redéfinir clairement leur place dans la société. Je pense sincèrement que les médecins n’ont pas vocation à précipiter les Français vers la maladie et la mort par l’expérimentation sauvage de produits inconnus.

Zineb Deheb

1ère partie – 2ème partie – 3ème partie – 4ème partie

Notes

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