par Michel de Lorgeril.
Je suis prêt à me rétracter quand on en saura plus mais je suis très méfiant tant le niveau de désinformation a explosé dans les milieux médicaux (y compris dans les Agences sanitaires) ces dernières années.
Je ne suis pas virologue et je ne sais pas analyser la structure des gènes des virus.
Ces hépatites aiguës (destruction du tissu du foie par un processus inflammatoire d’apparence infectieuse) très inhabituelles chez les bébés et les petits ne surviennent pas qu’au Royaume-Uni mais surtout au Royaume-Uni.
C’est important car le Royaume-Uni est le pays du vaccin AstraZeneca à base d’adénovirus vivants « bricolés ». En un mot, on a beaucoup injecté (des millions de doses à répétition) ces adénovirus « expérimentaux ». Voyez la suite pour bien comprendre ce que je veux dire.
Ces hépatites des bébés sont très inhabituelles et ont alerté les autorités sanitaires !
On approche des 400 cas déclarés ; ce n’est plus anecdotique…
Très peu de cas en France pour le moment sans qu’on sache s’il s’agit d’une nouvelle défaillance de notre système sanitaire qui ne voit jamais rien [35 ans de Médiator sans qu’un universitaire s’étonne…].
Pour le moment, les autorités britanniques évoquent la possibilité d’une hépatite virale.
Le virus impliqué n’est pas habituel : ce serait un adénovirus !
Il y a beaucoup d’adénovirus « naturels » en circulation mais, habituellement, ils ne donnent pas des hépatites chez les bébés.
Certains évoquent un adénovirus muté !
Or, les adénovirus sauvages mutent peu (ou pas) par comparaison, par exemple, avec les coronavirus.
D’où l’idée saugrenue évoquée par certains qu’il y ait là, à nouveau, la main du virologue ! Ou du cancérologue ? Ou du vaccinologue ?
S’agit-il d’un mutant vaccinal ? Le même pour tous ?
Les autorités sanitaires britanniques jurent qu’il n’y a aucun rapport avec la vaccination antiCOVID. L’argument : les victimes n’avaient pas été vaccinés.
C’est eux qui l’ont dit les premiers : ils y pensent donc !
Moi aussi. Pourquoi ?
Parce que les vaccins AstraZeneca et américains J & J sont des adénovirus vivants mutés.
Les industriels jurent que leurs virus mutés n’y sont pour rien !
Certes ! Mais qui a muté une fois peut encore muter.
Avec les millions de doses d’adénovirus mutés vaccinaux injectés [expérience unique dans l’Histoire de la Médecine !], quelle est la probabilité qu’un nouvel adénovirus deux fois (au minimum) mutés apparaissent ? Et pourquoi pas plusieurs ?
Qu’on me comprenne bien : ce n’est pas le virus vaccinal qui serait en cause mais un nouveau virus dérivé d’un adénovirus vaccinal !
Il est presque certains que certains savent déjà ! Mais n’osent pas le dire.
Dit autrement, une hypothèse vraisemblable est qu’un (ou plusieurs) virus vaccinaux aient muté (par exemple via une recombinaison avec un autre virus) et aient acquis de nouvelles propriétés (théorie du « gain de fonction ») le (les) rendant plus dangereux pour des bébés dont le système immunitaire a été relativement peu stimulé depuis deux ans.
Je voudrais bien me tromper ! J’ai été mettre des cierges !
Il faudra de bons arguments venant de gens crédibles pour m’aider à rejeter cette hypothèse très inquiétante.
Merci de ne pas avoir lu ce que vous venez de lire !
source : Michel de Lorgeril
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