Ukraine : Les faits

Ukraine : Les faits

par Seph.

Les origines de l’Ukraine
Préambule

Le coup d’État dit du Maïdan, en 2014, fut organisée par Victoria Nuland – la sous secrétaire d’État US – avec l’aide des groupes paramilitaires aguerris  aux combats. Ces groupes d’assaut sont appelés « bandéristes » car ils se réclament de Stepan Bandera qui commandait des groupes d’assaut de nazis ukrainiens, particulièrement violents, alliés à l’Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale.

Puis, c’est un oligarque, Petro Poroshenko  (Zelensky lui succèdera) qui devint président. Les postes officiels furent attribués aux « bandéristes ». Un tiers des ministres étaient nazis, ils étaient issus de Slovoda, de Secteur droit ou de la milice d’Autodéfense du Peuple ukrainien. Andriy Parubiy devint secrétaire du Conseil national de sécurité et de défense et Dmytro Yarosh son adjoint.

Immédiatement le nouveau régime interdit la langue russe pourtant parlée par une large partie de la population. Ceci engendrera la révolte de tout l’Est de l’Ukraine qui est le début de la guerre en Ukraine.

Les différentes régions russophones

Alors que la révolution  dite de la « dignité » par ces auteurs n’est pas encore terminée, les bandéristes organisent une marche aux flambeaux à Kiev en l’honneur du criminel contre l’humanité Stepan Bandera. Il ne s’agit plus d’un groupuscule : voir la vidéo :

Le président ukrainien Petro Porochenko, son successeur Zelensky non plus, n’entend pas mettre en œuvre les accords de Minsk. Il entend couper l’accès aux services publics à ses compatriotes du Donbass tant qu’ils lui tiendront tête :

Refusant ce retournement de l’Histoire, la Crimée vota son indépendance et adhéra à la Fédération de Russie, tandis que les régions du Donbass (Donetsk et Lougansk) se déclaraient autonomes. Tout était en place pour la tragédie ukrainienne.

1- Rappel des Causes de l’intervention russe

Lorsque Moscou engage la solution militaire pour résoudre la menace ukrainienne il est bon de rappeler que, dans les jours précédents :

• Du côté de Washington, les USA venaient de rejeter catégoriquement non seulement la proposition d’un traité de sécurité collective indivisible exprimée à plusieurs reprises par le Kremlin (à Washington puis devant l’ONU, l’OTAN, l’OSCE) et ceci sans aucune explication, mais en plus venaient depuis le 17 janvier de mettre en place un pont aérien délivrant quotidiennement aux forces ukrainiennes des dizaines de tonnes d’armes et de munitions.

• Du côté de Kiev, depuis le 12 février, ses forces déployées dans le Donbass venait non seulement d’intensifier leurs bombardements contre les populations de Donetsk et Lougansk en vue d’une invasion début mars 2022 (voir document ci-dessous) du Donbass qui avait été annoncé à grands bruits par Zélensky au parlement de son pays : « nous reconquérons la Crimée et le Donbass ».

En effet,des documents produits par le ministère de la Défense russe, indiquent un ordre d’attaque secret signé de la main du commandant de la garde nationale ukrainienne et daté du 22 janvier. Mykola Balan y ordonne le redéploiement et la concentration des forces armées ukrainiennes avant le 28 février afin d’assurer des « missions de combat », « offensives » dans le cadre de l‘« opération conjointe des forces ukrainiennes ».

Mais surtout, par la voix de son président Zelensky, confirmait publiquement que Kiev ne respecterait pas les accords de Paix (les accords de Minsk), maintiendrait sa demande d’intégration dans l’OTAN et, « cerise sur le gâteau », doterait son armée de l’arme nucléaire.

Dès lors, même si la réaction militaire russe peut paraître à certains violente, il n’en demeure pas moins qu’elle intervient non seulement dans l’urgence du fait de la menace d’invasion du Donbass. Mais aussi la Russie intervient après 8 années d’échecs diplomatiques russes à vouloir amorcer les accords de Minsk et contre des menaces existentielles pesant sur les populations du Donbass autant que sur les grands centres névralgiques russes occidentaux. En effet pour ces derniers, si l’Ukraine adhère à l’OTAN, c’est des missiles nucléaires US à 5 minutes de Moscou – INTOLÉRABLE

En fait, c’est Washington qui a commandité la guerre contre le Donbass russe puis, l’a entretenu par des violations quotidiennes des accords de Minsk tout en augmentant considérablement l’armement et consolidant les positions de l’armée ukrainienne.Tout ceci a abouti à une militarisation « otanienne » de fait du pays qui conduirait inévitablement la Russie à réagir violemment.

2- L’intervention russe

Lorsque l’état-major russe lance ses opérations militaires en Ukraine ce 24 février 2022, pour mettre fin à la guerre dans le Donbass, pour imposer une neutralité de l’Ukraine et pour porter un coup d’arrêt à l’extension territoriale de l’OTAN.

On peut observer une stratégie d’autant plus ambitieuse que les forces qui lui sont consacrées (env. 90 000 à 140 000 hommes selon les sources) semblent être relativement faibles par rapport à l’étendue du théâtre d’opérations (2000 kilomètres entre Kiev et Kherson), les forces en présence (260 000 soldats ukrainiens plus 300 000 réservistes rappelés), ainsi que le coefficient du rapport de force « assaillant/défenseur » qui donne toujours un avantage à ce dernier.

Pour rappel, l’objectif principal de cette « opération militaire spéciale » était de défendre la République populaire du Donbass contre les assauts génocidaires imminent des nazis ukrainiens.

L’Ukraine ayant rejeté la diplomatie, il était nécessaire d’élargir l’opération pour en arriver à la « démilitarisation et à la dénazification » de l’Ukraine, en détruisant les cibles militaires avec grande prudence pour épargner les civils.

Défilé des bandéristes (nazis ukrainiens) devant les officiers allemands.
3- Bilan des opérations russes

Il y a bien sûr un succès évident à ces opérations militaires russes dans leur objectifs de démilitariser l’Ukraine car les frappes russes réalisées au cours du premier mois ont détruit environ 70% de ses ressources stratégiques (dépôts divers, centres de commandement, parc aérien, usines d’armement etc) empêchant ainsi les forces de Kiev, et malgré leur supériorité numérique, d’engager des contre offensives majeures ou simplement de reprendre l’initiative.

Cependant les objectifs russes n’ont pas été tous atteints : le régime de Kiev n’a pas capitulé, l’OTAN n’a pas renoncé (bien au contraire), et les forces ukrainiennes ont encaissé le choc initial et même engagé un certaine résistance grâce à des combats d’attrition s’appuyant sur une guerrilla antichar et une défense urbaine dans la profondeur, lesquelles n’ont été rendues possibles que grâce aux formations, aux aides logistiques et à l’engagement du renseignement stratégique de l’OTAN qui depuis avril amplifie quantitativement et qualitativement ses aides, risquant ainsi de provoquer une extension internationale du conflit.

Deux mois après le début des opérations militaires russes, force est de constater qu’elles évoluent vers un conflit régional de haute intensité et de longue durée dont les perspectives mondiales ne sont pas écartées. L’armée russe avance lentement en terrain difficile et surtout miné et très bien bien protégé otamment par de nombreuses casemates enterrées

Mais, le gros problème pour l’armée russe c’est l’utilisation des civils comme boucliers humains par l’armée ukrainienne qui s’est repliée aux pieds des immeubles dans les villes empêchant ainsi tous bombardements.

Jusqu’à présent, dans le cadre de l’Opération Z, les forces armées russes n’ont utilisé que 12% de leurs soldats, 10% de leurs avions de chasse, 7% de leurs chars, 5% de leurs missiles et 4% de leur artillerie. Le cadran de la douleur va augmenter considérablement – et avec la libération totale de Marioupol et la résolution d’une manière ou d’une autre du chaudron du Donbass où l’armée ukrainienne se trouvera encerclée devant la ligne de front.

Par ailleurs, l’armée russe a pris le contrôle d’installations de recherche biologique et chimique en Ukraine. Alors que les médias occidentaux criaient à l’unisson à la désinformation russe, Victoria Nuland, numéro trois de la diplomatie américaine, déjà secrétaire d’État adjointe « pour l’Europe » sous Obama avant la parenthèse Trump, admettait l’existence de tels laboratoires

Situation militaire à fin avril 2022 : les croix blanches représentent la ligne de front.
4- L’engagement sans précèdent de l’OTAN

Les aides occidentales sont de plus en plus considérables, dans leurs croissances quantitative et qualitative. Elles risquent de devenir à terme un nouveau problème devant lequel les forces russes devront s’adapter, notamment lorsque qu’arriveront sur le champ de bataille les chasseurs MIG 29 polonais, les chars de combat roumains, les obusiers français, les drones étasuniens, les véhicules de combat d’infanterie allemands ou les systèmes antiaériens britanniques pour ne citer que quelques exemples des « cadeaux » fournis par 35 pays de l’OTAN et du G7.

Du coté russe, il faudra sûre ment intensifier, diversifier et étendre ses attaques aériennes jusqu’aux frontières de la Pologne et de la Roumanie, et probablement, si un jour prochain un missile de croisière livré par le Pentagone frappe une ville russe, attaquer directement les ressources de l’OTAN qui auront été impliquées.

5- L’évolution du conflit

Ainsi le conflit local du Donbass, devenu régional depuis deux mois continue sa progression vers une guerre mondiale par la seule servilité politique de Kiev aux intérêts de Washington et renforcée par sa dépendance économique totale au système économique occidental.

Le fait est que Biden n’en a strictement rien à faire des pertes ukrainiennes (et même européennes), tant que leur sacrifice est utile au business étasunien de l’armement et des énergies et sert la stratégie d’affaiblissement économique et militaire de la Russie.

Voilà pourquoi la troisième étape de cette spirale infernale sera l’engagement direct et progressif des forces de l’OTAN dans le conflit, engagement qui peut-être considéré comme déjà amorcé avec ce soutien du renseignement stratégique occidental au profit des forces ukrainiennes au combat, augmenté cette semaine de 7 avions de recherche électronique supplémentaires et des 31 milliards promis par Biden.

Comme d’habitude Washington flirte avec la ligne rouge, agit par procuration ou faux drapeau, pour provoquer étape par étape la Russie qui, devant le chaos organisé à ses frontières n’a pas d’autre choix (quitte à endosser le masque médiatique du méchant) que de frapper haut et fort appliquant l’enseignement de Machiavel :

« On ne doit jamais laisser se produire un désordre pour éviter une guerre ; car on ne l’évite jamais, mais on la retarde à son désavantage ». (« Le Prince »)

6La confirmation de la nature du conflit

À la mi-mars, le président américain Joe Biden a déclaré à plusieurs reprises qu’il ne permettrait pas un conflit direct entre les États-Unis et la Russie, car « cela signifierait la troisième guerre mondiale ». Un mois plus tard, c’est précisément ce que fait le gouvernement Biden.

Mardi, 26 avril 2022, le secrétaire américain à la Défense, Lloyd Austin, et le secrétaire d’État, Antony Blinken, ont présidé une réunion à laquelle assistaient les représentants de quarante nations dans un conseil de guerre réuni par Washington sur sa base aérienne de Ramstein en Allemagne qui est le siège de l’armée de l’air américaine en Europe et du commandement aérien de l’OTAN.

Les deux hauts responsables américains, tout juste sortis d’une visite à Kiev déchirée par la guerre, ont confirmé que la guerre en Ukraine était une guerre entre les États-Unis et l’OTAN, d’une part, et la Russie, d’autre part. Cela ne peut pas être plus clair.

7- La situation actuelle : la seconde phase de la guerre

La guerre entre dans sa phase II, son centre de gravité va clairement aller vers le grand chaudron voir carte ci-dessous).

Personne ne sait vraiment combien de soldats ukrainiens sont encore en vie là-bas, quels sont leur état et leur moral, et dans quelle mesure leur défense est encore debout. Mais voici ce que nous savons :

  • C’est la plus grande force ukrainienne de tout le théâtre d’opérations.
  • Il reste au moins plusieurs dizaines de milliers de soldats (environ 50 000 hommes retranchés dans les villes).
  • Ce sont les forces les mieux entraînées et les mieux équipées de l’armée ukrainienne.
  • La façon dont les nazis les ont organisées est, en gros, que dans chaque « brigade » ukrainienne il y a au moins un véritable « bataillon » nazi chargé de s’assurer que personne ne négocie avec les Russes ou, s’ils le font, que ceux qui le font soient rapidement neutralisés.

La Russie vient de recentrer son armée pour la libération complète du Donbass afin d’encercler 50 000 hommes de l’armée ukrainienne qui étaient prêts à envahir le Donbass. L’armée russe applique la même tactique qui a fait reculer et vaincu l’armée allemande en 1942. Elle utilise l’artillerie très intensément, puis elle avance de quelques km par jour.

L’armée ukrainienne est sous le feu d’un rouleau compresseur, elle recule et se désagrégé de plus en plus. En effet, il y a de plus en plus de preuves non seulement les redditions massives se multiplient, mais à chaque fois qu’elles se produisent, les troupes se plaignent des mêmes choses : moral bas, taux de désertion élevé, ressentiment envers leurs commandants.

Il est à noter que de plus en plus, les troupes viennent de l’extrême ouest, elles sont vieilles et hagardes, ce qui prouve que Kiev puise déjà dans ses dernières réserves de l’ouest du pays.

Deuxièmement, il y a un mécontentement croissant au sein de la population. Aujourd’hui, dans la ville de Khust, à l’extrême ouest, où ces réserves sont déjà exploitées, les épouses, les mères et les familles des soldats envoyés au front se sont pratiquement rebellées et ont commencé à détruire les bureaux militaires locaux, et cela devient de plus en plus courant : https://www.bitchute.com/video/ysVLo8BLRqEi

L’Ukraine perd 300-400 hommes par jour, ce chiffre comprend les tués et les prisonniers de guerre. Au bout de 10 jour les pertes sont considérables, à ce rythme combien de temps les 50 000 soldats ukrainiens tiendront t-ils ?

Le fait est que 50 000 membres des Forces armées ukrainiennes ont disparu, 50 000 autres sont piégés dans le Donbass et sont lentement réduits à néant. Des millions de personnes ont fui le pays (la Russie a accueilli plus d’un million de réfugiés à elle seule, et beaucoup d’autres sont allés vers l’ouest, en Europe et ailleurs), nous pouvons donc nous attendre à ce que la grande majorité des hommes en âge de combattre soient partis ou aient pris le maquis.

Sur la base de ce que nous voyons sur les lignes de front, des réserves les plus éloignées déjà utilisées et épuisées, des émeutes des membres des familles dans l’ouest de l’Ukraine qui prouvent que leurs dernières réserves sont déjà exploitées, on ne peut que conclure que l’Ukraine n’aura pas, de loin, le nombre de combattants suffisant à armer avec tous les « jouets de l’OTAN » qui arrivent.

Conclusion

La cause profonde de ce conflit est que les USA veulent conserver leur hégémonie unique sur le monde. Pour ce faire, il leur faut d’abord démanteler le Russie pour pouvoir affronter la Chine qui est l’ennemi principal des USA.

Ainsi, les USA ont organisé le coup d’État du Maïdan en 2014 – pour un coût 5 milliards de $ – en s’appuyant principalement sur les groupes nazis, pour mettre en place  un gouvernement anti-russe.

Ce que n’avait pas prévu les US c’est la réaction de tout l’Est de Ukraine aux lois anti-russes d’où la guerre du Donbass qui dure depuis 8 ans.

Les USA veulent, par Ukraine et européens de l’UE interposés, déstabiliser la Russie, la mettre à genoux pour la dépecer, la partitionner. C’est tout l’enjeu de cette guerre qui risque de déraper tant est la folie dominatrice des US qui refusent tout monde multipolaire.

Ainsi, depuis la Seconde Guerre mondiale, des villes entières ont été rasées par les bombardements, notamment des bombardements nucléaires au Japon. Ils ont inondé la jungle vietnamienne de poison, bombardé les Serbes avec des munitions radioactives, brûlé vifs les Irakiens avec du phosphore blanc, aidé les terroristes à empoisonner les Syriens avec du chlore (…) Comme l’histoire le montre, l’OTAN n’a jamais été non plus une alliance défensive, seulement une alliance offensive ».

Devant n’importe quel tribunal, ceux qui prêtent main-forte à un belligérant sont considérés comme ses alliés et complices.

L’enjeu principal de l’intervention russe est d’obtenir à la fin du conflit un traité de sécurité avec les US et l’OTAN où la sécurité de chaque pays ne pourra pas se faire au détriment de celle des autres. Par exemple, il sera interdit de placer des missiles nucléaires à 5 minutes de Moscou. De même pour Washington.

Nul ne sait comment va se terminer cette guerre fratricide. Mais si les Occidentaux avaient écouté les légitimes demandes de Poutine, afin de garantir la sécurité de la Russie, le monde n’en serait pas là.

Les USA ont 800 bases militaires et 300 laboratoires biologiques militaires dans le monde !!!!!
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Références :

• L’armée ukrainienne est en très mauvais état – https://lesakerfrancophone.fr/larmee-ukrainienne-est-en-tres-mauvais-etat
• « Opération spéciale » russe en Ukraine : témoignage précieux du général Dominique Delawarde – https://reseauinternational.net/operation-speciale-russe-en-ukraine-temoignage-precieux-du-general-dominique-delawarde
• Point de vue du Lieutenant Colonel de l’Armée de l’Air Jacques Guillemain : Situation Russie-Ukraine – https://www.profession-gendarme.com/point-de-vue-du-general-francais-jacques-guillemain-situation-russie-ukraine
• Déclassification de documents sur les crimes des bandéristes – https://reseauinternational.net/declassification-de-documents-sur-les-crimes-des-banderistes
• Le Bataillon néonazi Aïdar n’a pas encore payé pour ses crimes – https://www.legrandsoir.info/le-bataillon-neonazi-aidar-n-a-pas-encore-paye-pour-ses-crimes par Laurent Brayard pour le Donbass Insider
• Alexandre Juving-Brunet : « L’OTAN a plus besoin de la France que l’inverse ! » – https://youtu.be/2ksREEOIbhA?t=313
• Le bataillon néonazi Tornado, un plongeon dans l’horreur brute : https://www.legrandsoir.info/bataillon-neonazi-tornado-plongeon-dans-l-horreur-brute par Laurent Brayard pour le Donbass Insider

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Annexe – Le nazisme en Ukraine

Le 18 novembre 2020, la 3ème Commission de l’Assemblée générale des Nations unies adoptait une résolution sur la « Lutte contre la glorification du nazisme, du néonazisme et d’autres pratiques qui contribuent à alimenter les formes contemporaines de racisme, de discrimination raciale, de xénophobie et de l’intolérance qui y est associée » (Nations unies A/C.3/75/L.49). Tous les membres de l’ONU votaient « pour », seuls les États-Unis et l’Ukraine votaient « contre ». Tous les membres de l’OTAN et de l’Union européenne s’abstenaient.

« Lutte contre la glorification du nazisme » : la Chine pour, les États-Unis contre, la France s’abstient !!!!!

Un vote de l’Assemblée générale des Nations unies montre que les États-Unis, le Japon et l’Europe s’excluent du « monde libre » qui combat l’extrême droite.

https://www.temoignages.re/lutte-contre-la-glorification-du-nazisme-la-chine-pour-les-etats-unis-contre-la-france-s-abstient

L’Ukraine a ravivé ses vieux démons depuis la fin de l’URSS. Les manuels scolaire d’histoire ont été modifiés. Depuis trente ans, les enfants apprennent à l’école que leur pays n’a été indépendant que grâce aux nazis et qu’ils n’ont pas de gènes communs avec les Russes, cette race inférieure. Chaque année des dizaines de milliers d’enfants et d’adolescents suivent les « camps de vacances » des nazis ukrainiens comme le faisaient les Jeunesses hitlériennes. Ils y scandent leur slogan : « Gloire à l’Ukraine ! ». Ces jeunes gens, filles et garçons, trouvent aujourd’hui asile dans l’Union européenne. Demain, comme leurs alliés Frères musulmans, certains d’entre eux y commettront des attentats.

Vidéo de la Cérémonie de l’Ordre secret Centuria. Des officiers allemands, états-uniens, britanniques, canadiens, français, polonais en font partie :

D’ores et déjà, les bandéristes recrutent des cadets en Allemagne, au Canada, en France, en Pologne, au Royaume-Uni et aux États-unis et désormais des officiers dans les académies militaires de ces pays. Pour cela, ils ont créé, en 2019, un Ordre secret, Centuria, qui diffuse leur idéologie. Cet ordre s’oppose aux procédures démocratiques et au suffrage universel. Ses membres récitent la « Prière des Nationalistes ukrainiens », rédigée par Josef Mashchak durant l’entre-deux-guerres. Ils arborent la Croix du Soleil danoise et multiplient les références à l’Ordre de Thulé dont les très haut dignitaires nazis faisaient partie. Les armées occidentales n’ont pas pris cette menace au sérieux. Cette idéologie, comme celle des Frères musulmans au Moyen-Orient, se répand comme une traînée de poudre.

La bête immonde est déjà là, parmi nous.

Comment pouvons-nous être aussi aveugles ?
Les groupes paramilitaires nazis sont plus de 100 000 hommes en Ukraine.

Par ailleurs, les Forces de Sécurité ukrainiennes qui sont composées de nombreux nazis, font régner la terreur parmi les opposants.

Voici les Forces de Sécurité ukrainiennes (SBU) a l’œuvre

Le SBU ukrainien étudie la torture et les assassinats de la CIA :

Vassily Prozorov, un ancien officier du SBU qui a fait défection en Russie après le coup d’État du Maïdan en 2014, a détaillé la dépendance systémique des services de sécurité post-Maïdan à la torture pour écraser l’opposition politique et intimider les citoyens accusés de sympathies russes.

Selon Prozorov, l’ancien officier du SBU, les services de sécurité ukrainiens sont directement conseillés par la CIA depuis 2014. « Des employés de la CIA sont présents à Kiev depuis 2014. Ils résident dans des appartements clandestins et des maisons de banlieue », a-t-il déclaré. « Cependant, ils viennent fréquemment au bureau central du SBU pour tenir, par exemple, des réunions spécifiques ou planifier des opérations secrètes. »

https://thegrayzone.com/2022/04/17/traitor-zelensky-assassination-kidnapping-arrest-political-opposition

L’Occident soutient les nazis contre la Russie qui les a déjà vaincus en 1945 ? Étonnant !!!
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Source : Lire l'article complet par Réseau International

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Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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