12 avril 2022: La guerre en Ukraine bouscule tout. Le président Biden assiste fin mars pour la première fois à une réunion de l’Union Européenne, à Bruxelles, siège de la « Sainte-Trinité, OTAN, UE, G7 », pour reprendre l’expression d’Aymeric Monville, éditeur aux Éditions Delga, écrivain et philosophe.
Aymeric Monville explique pourquoi la présence de Biden n’est pas que symbolique. Il aborde aussi les effets boomerang en Europe des sanctions économiques, dont les États-Unis sont les champions, même si l’impact est moindre de ce côté de l’Atlantique.
Il aborde la contradiction de l’épouvantail brandi au sujet de l’Extrême-droite en France et l’appui de la France et des pays occidentaux aux bataillons nazis et aux banderistes en Ukraine.
Il déplore la profanation des monuments aux martyrs de la lutte contre les Nazis en Europe occidentale et en Ukraine.
Il se penche aussi sur le réarmement de l’Allemagne et la faiblesse d’Olaf Scholz et sa ministre des Affaires étrangères du Parti Vert, voir vert de gris, qui est un va-t-en-guerre.
Selon lui, l’Euro risque de disparaître dans la situation actuelle.
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