La Russie vient de briser le dos à l’Occident – Arrimage du rouble à l’or

La Russie vient de briser le dos à l’Occident – Arrimage du rouble à l’or

Je voyage cette semaine, pendant les vacances de printemps, avec mon fils, et je n’écrirai pas pendant un jour ou deux. En attendant, veuillez lire l’explication de Tom Luongo, décrivant pourquoi la décision de la Russie d’acheter de l’or à 5000₽ le gramme, fixe le rouble au taux d’avant-guerre de 75₽ par $. Couplé à la décision de vendre du gaz naturel aux pays hostiles de l’UE contre des roubles uniquement, cela brisera le marché de l’or papier et son système de manipulation du prix de l’or. (Dmytri Orlov)

*

Article de Tom Luongo :

Je ne pense pas que tout le monde ait encore saisi l’importance de l’annonce faite par la Russie de l’établissement d’un plancher pour le prix de l’or. Mais, pour être clair, la Russie vient de briser le système de suppression de l’or papier.

Vendredi, la Banque de Russie a annoncé 5000 ₽ pour l’once d’or, à un taux de change de 100₽ pour 1$, ce qui implique un prix de l’or de 1550 $ l’once.

Quelques jours avant cette annonce, qu’ils savaient imminente, les occidentaux on présenté de nombreux textes de loi pour essayer d’empêcher les Russes de vendre leur or.

Le G7 pense que les sanctions sont si dures, que Poutine sera obligé de vendre son or pour échapper aux sanctions et payer ses importations. Ils suivent littéralement une fable dans leurs têtes, fable qui n’existe pas dans le monde réel.

Mais peu importe, les néoconservateurs n’ont jamais hésité à prendre un bâton pour frapper quelqu’un à la tête.  Dommage que tout ce qu’ils arrivent à faire, c’est frapper un pneu en caoutchouc.

Boing !

Parce que voilà le truc, la Russie ne va pas vendre de l’or. Elle va en acheter !

Ils sont censés être les architectes du système monétaire mondial et on pourrait penser qu’ils sont ceux qui le comprennent le mieux. Mais, clairement, ce n’est pas le cas.

Ce qu’ils croient comprendre, c’est qu’ils contrôlent toujours le flux des matières premières dans le monde, par le biais de systèmes de manipulation des prix, sur le CRIMEX, le LBMA et l’ICE.

Ce n’est pas le cas !

En fin de compte, l’« argent extérieur » l’emporte sur l’« argent intérieur ».

Les Autrichiens, comme moi, ont toujours compris qu’en fin de compte, l’argent interne [l’argent qui existe au sein du système financier] échoue, parce qu’il n’est rien de plus qu’un système de Ponzi construit sur l’argent externe – l’argent qui existe en dehors du système financier, comme les matières premières et le bitcoin…

L’argent, c’est un succès !

Commençons par les bases. Pourquoi créons-nous de la monnaie ? Pour atténuer le risque temporel entre la vente de ce que nous avons et l’achat de ce que nous voulons. Nous vendons donc notre travail aujourd’hui, pour acheter de l’essence, du papier pour imprimante ou des pipes plus tard. En attendant, nous détenons de l’argent.

C’est un moyen de transformer la pensée et l’application personnelle de l’énergie et du temps en un jeton, qui peut nous procurer des biens réels dans le monde réel.

En gardant cela à l’esprit, réfléchissez maintenant au système financier actuel, dans lequel tout l’argent interne est créé en vendant d’abord un titre de créance, à quelqu’un qui est prêt à le détenir pour une certaine somme.

Revenons au rouble et à l’or. Car une fois que j’aurai exposé la nouvelle structure d’incitation, vous comprendrez pourquoi le G7 n’a plus d’amis dans ce combat.  

Le pouvoir de Davos repose sur la capacité de créer du crédit et de le vendre à un taux d’intérêt positif aux producteurs de matières premières. Étant donné que la production de matières premières de base, dans n’importe quel type de marché efficace, devrait être une entreprise à très faible marge (1 à 4% de rendement annuel réel), le fait de leur vendre de la dette pour extraire du pétrole ou de l’or du sol, à des taux plus élevés, finit par aspirer tous les bénéfices de l’entreprise.

Les marchés libres, lorsqu’ils sont autorisés à fonctionner correctement, extraient les bénéfices par l’arbitrage concurrentiel. C’est à la fois brutal et aussi l’étincelle pour de nouvelles innovations et gains d’efficacité.

C’est le désir d’augmenter les profits par rapport à la ligne de base qui fait cela.

Dans les produits de base, cela est difficile à réaliser. Pourquoi ? Parce qu’ils ne sont rien de plus qu’un bien de second ordre. Le premier ordre serait le minerai ou le bois récolté. Le second ordre serait le lingot ou le bois produit. Plus le bien est de premier ordre, plus il est spécialisé et plus l’opportunité de faire du profit en différenciant le produit d’autre chose que le prix est grande.

C’est le plus difficile à faire, pour améliorer l’extraction des ressources, car, par conséquent, la plupart des gains d’efficacité majeurs ont eu lieu dans le passé lorsque l’économie était moins spécialisée.

La confusion autour du « système »

Si les banques se trouvent des deux côtés de l’échange et fixent le prix de l’argent, elles contrôlent en fin de compte qui gagne et qui perd. Les bénéfices reviennent à ceux qui produisent les biens les plus importants avec les chaînes d’approvisionnement les plus complexes.

Les banques investissent les bénéfices provenant des intérêts sur la dette initiale dans les entreprises qui produisent les biens de niveau supérieur, nécessaires pour s’assurer que les biens de niveau inférieur ne produisent pas de richesses, en réduisant les bénéfices par arbitrage tout au long de la chaîne d’approvisionnement.

Vous ne me croyez pas ? Demandez aux éleveurs de bétail.

À cet égard, le financement actuel de ces industries, n’est rien d’autre qu’une version virtualisée du modèle économique colonial du XVe au XIXe siècle.

Au lieu d’utiliser des hommes physiques pour soumettre les populations locales, grâce à un armement supérieur et à des pots-de-vin pour les amener à extraire les richesses minérales que les colonialistes ramènent chez eux, nous utilisons aujourd’hui les institutions de l’après-guerre, pour faire fonctionner le même système par l’émission de dettes pour les investissements et le paiement des intérêts (dans ce cas, une pure rente économique – une richesse non gagnée).

Les pays producteurs de toutes les richesses minérales du monde ne sont que des esclaves endettés des maîtres de l’argent de Bruxelles, de la City de Londres et de New York. C’est ça le problème.

Puisque nous avons atteint le point de saturation de la dette, où plus aucune dette ne peut être émise pour extraire des richesses minérales et faire croire aux marchés qu’elle pourrait jamais être remboursée à ses rendements réels, le système doit être réinitialisé.

Le Grand Réinitialisation est un moyen de planter le système existant, mais de laisser les mêmes colonialistes au pouvoir légalement.

Ce n’est pas plus compliqué que cela.

Si vous comprenez cette dynamique, vous pouvez maintenant comprendre pourquoi la Russie, en particulier, est l’avant-garde du désir du Sud de changer le système mondial.

C’est aussi le seul pays qui a le pouvoir de production de matières premières pour exposer les vulnérabilités de ce Système.

Et c’est là que l’arrimage du rouble à l’or entre en jeu

La Banque de Russie est maintenant un acheteur d’or à 5000 ₽ pour un gramme, ou 155 500 roubles pour une once troy. Au cours de clôture du vendredi 25 mars de 96,62 ₽ par rapport au dollar, cela implique un prix de l’or de 1610 dollars l’once.

Le rouble se renforce maintenant librement par rapport au dollar américain

En soi, cela n’a rien de remarquable.

Comme je l’ai expliqué sur Twitter ce jour-là :

1 : À 1550 dollars l’once, l’effet de premier ordre est que cela implique un taux ₽/USD d’environ 75. Cela incite ceux qui détiennent des ₽ à continuer et ceux qui en ont besoin à faire monter les prix à partir des niveaux actuels.

2 : Cela crée une boucle d’incitation positive pour ramener le rouble aux niveaux d’avant-guerre. Ensuite, les effets du marché prennent le relais, car la demande de roubles devient structurelle, en fonction de la balance commerciale de la Russie.

3 : Une fois que cela se produit et que le ₽/USD tombe en dessous de 75, alors le prix de l’or en $ augmente structurellement, vidant les marchés de l’or papier et faisant s’effondrer le système financier basé sur l’or hypothéqué/à effet de levier. Nous sommes maintenant dans la phase d’arbitrage que @Lukegromen a postulée avec 1000 barils/oz.

Donc, ce système incite les Russes à détenir leurs économies en roubles, car le rouble est sous-évalué. Il incite également les commerçants étrangers à détenir des roubles, parce que le rouble est sous-évalué par rapport à un prix de l’or ouvert surévalué.

Il est clair que les spéculateurs de devises à Moscou, Shanghai, Singapour, Mumbai et Hong Kong s’en donnent à cœur joie.

Si l’on ajoute que Poutine exige que les « pays inamicaux » paient leurs importations russes soit avec de l’or, soit avec du rouble, le choix naturel pour eux est d’acheter des roubles jusqu’à ce que les prix de l’or et du rouble soient synchronisés sur les marchés internationaux.

Les hurlements de douleur du G-7 et de l’Allemagne en particulier, sont à la fois pathétiques et hilarants, car ils se plaignent que Poutine est en « rupture de contrat » pour avoir exigé une autre monnaie de paiement pour le gaz, que les euros stipulés dans le contrat.

Plus tôt dans la journée de lundi, le ministre allemand de l’économie, Robert Habeck, a déclaré depuis Berlin que la demande du Kremlin pour que les contrats de gaz naturel soient payés en roubles constitue une « violation unilatérale et claire des contrats » – affirmant que les contrats doivent être honorés dans des conditions préalables, selon Bloomberg. « Cela signifie qu’un paiement en roubles n’est pas acceptable et nous exhortons les entreprises concernées à ne pas se conformer à la demande de Poutine », a déclaré M. Habeck. « L’effort de Poutine pour creuser un fossé entre nous est évident, mais vous pouvez voir que nous ne nous laisserons pas diviser et la réponse du G-7 est claire : les contrats seront honorés. »

Le Kremlin a rapidement démoli les commentaires du ministre allemand de l’économie et la position du G-7 sur le rouble, lundi, par l’intermédiaire d’un législateur russe sur la chaîne d’État RIA Novosti : « Le législateur russe Abramov déclare que le refus du G-7 de payer le gaz en roubles russes entraînera certainement un arrêt des livraisons ».

Les Russes énervés ont certainement un don pour les mots, et en tant qu’écrivain, j’apprécie beaucoup cela. Selon TASS :

Moscou s’occupe des détails de ses plans de livraison de gaz aux pays inamicaux, pour un paiement en roubles, mais elle ne fera pas la charité si l’Europe refuse de payer dans la monnaie russe, a déclaré lundi aux journalistes le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.

… Le porte-parole du Kremlin est resté muet sur les mesures que la Russie pourrait prendre si l’Europe refusait de payer le gaz en roubles, notant que ces « questions devraient être réglées au fur et à mesure de leur développement ». « Mais nous ne fournirons pas de gaz gratuitement, c’est certain. Il n’est guère possible et raisonnable de faire de la charité dans notre situation », a-t-il souligné.

Vous entendez ça, Davos ? C’est l’horloge qui tourne.

Le commerce, c’est le truc…

La raison pour laquelle ce schéma actuel fonctionne déjà, est que la Russie a une balance commerciale positive, principalement grâce aux exportations de produits de base. Davos ne veut pas que la Russie gagne de l’argent en vendant ces produits au monde entier et continuera à imposer des sanctions pour que les gens n’utilisent pas de roubles.

Ils se battent cependant contre la main invisible du marché d’Adam Smith. La demande de roubles va dépasser le taux de change d’avant-guerre d’environ 75:1 par rapport au dollar américain.

Le prix de l’or en ₽ implique ce taux de change. La Russie réexaminera cette question à la fin du deuxième trimestre. Cela signifie également qu’elle s’attend à ce que le taux de change rouble/dollar tombe à 75 à la fin du deuxième trimestre, si ce n’est plus tôt.

Ensuite, si le rouble se renforce au-delà de ce seuil, elle pourra ajuster le prix d’achat de l’or.

Si la parité rouble/dollar tombe en dessous de leur prix fixe, les acheteurs obtiennent du pétrole à un prix réduit lorsqu’ils paient en or. Cela obligera le CRIMEX et le LBMA à se trouver dans une situation de pénurie d’approvisionnement, ou ils devront mettre fin à l’expansion de l’or papier par rapport à l’or réel et permettre une véritable découverte des prix à la hausse.

Si les sanctions parviennent à effrayer tout le monde, pour qu’il n’utilise pas l’or russe en roubles, le taux de change restera obstinément au-dessus de 75 et le monde boycotteur perdra son avantage concurrentiel par rapport à ceux qui sont prêts à braver l’ire des États-Unis, en se procurant des produits russes à bas prix.

Comme je l’ai dit dans des articles précédents, cela permet de mettre fin à la suppression du prix de l’or par la réhypothèque d’or physique sur les marchés de l’or papier, qui est la base de tout le système de colonisation financière que j’ai décrit ci-dessus.

Pour votre information, ce même scénario va se dérouler en Bitcoin, maintenant que la Russie a déclaré que les « pays amis » pouvaient payer leurs importations en Bitcoin. Quelqu’un a-t-il remarqué le rallye actuel de la crypto-monnaie la plus détestée au monde ?

Nous disposons désormais d’un système d’interconversion or/bitcoin/rouble (et bientôt yuan) qui exclut complètement Davos et détruit son modèle de dette coloniale, tout en lui ôtant le pouvoir de détruire les économies par des flux d’argent chauds entrants et sortants.

Parce que la prochaine étape dans tout cela est que la Russie ferme son compte de capital et nationalise la Banque de Russie, ce qui fait que la seule source de roubles internationaux est le gouvernement russe.  

En interne, le rouble sera de facto soutenu par l’or et pourra circuler librement.

La guerre sans fin, terminée…

La guerre est terminée. La Russie, la Chine et le reste du Sud ont déjà gagné. Comme me l’a répondu Luke Gromen, « au final, ils ne peuvent rien y faire ».

Ce qui me fait peur, c’est la dernière chose que j’ai tweetée dans ce fil :

« À part élargir la guerre sur le terrain ». C’est la partie qui me fait peur.

Et c’est exactement ce que j’attends de la suite, malheureusement. Biden est à Bruxelles en train de dire tout haut ce qu’il pense tout bas, en discutant avec la 82e aéroportée de la possibilité d’aller en Ukraine et d’appeler à un changement de régime à Moscou.

Ces gens croient encore à leurs propres conneries, au point de penser que cela devient une guerre que les Russes ne peuvent pas gagner.

Poutine a laissé le monde tomber en douceur avec cette annonce. Il aurait pu entrer dans la salle et annoncer 8000 roubles au gramme, ou 2575 dollars l’once, et cela aurait cassé les marchés vendredi pour le week-end, en vendant son pétrole et son gaz à un prix très bas.

Il a attendu la fin de l’OpEx vendredi dernier et l’annonce du plan de hausse des taux d’intérêt de la Fed.

Le timing est important

Mais, en faisant cela, il a aussi très subtilement soutenu la Fed et son plan de retrait des dollars d’Europe, car cela permettra de contenir le prix de l’or pendant un certain temps et d’empêcher la BCE de compenser la hausse des rendements des euro-obligations par une augmentation des réserves d’or dans son bilan.

Poutine a gauche, Powell à droite, Lagarde est sur le point de se faire déchirer aux coutures si Davos ne joue pas le jeu et n’abandonne pas.

Le problème, c’est l’arrogance inextinguible de ces élites européennes, qui ne croient tout simplement pas qu’elles puissent être battues par les « colonies » des États-Unis et les « sales slaves » de Russie. Je vous dis depuis des années que c’est leur racisme inhérent qui les pousse à agir.

Ne soyez donc pas surpris s’ils donnent le pouvoir aux néoconservateurs du Royaume-Uni et des États-Unis, afin de provoquer une escalade à partir d’ici. Les signes s’accumulent pour indiquer que le Pentagone et la Maison Blanche sont en désaccord sur les escalades prévues. Les départements d’État et du Trésor sont des nids de vipères, qui ont usurpé le Congrès pour faire la guerre sans la déclarer.

Je ne peux qu’espérer que des personnes sérieuses et adultes au sein du Pentagone mettent enfin un terme à cette absurdité, avant que nous ne nous retrouvions dans une guerre dont personne ne veut, à l’exception d’une bande d’Eurotrashs consanguins qui ont largement dépassé leur date limite d’utilisation.

Je dis toujours que les fantômes commencent les guerres civiles, mais que les militaires les terminent. Espérons que nous n’arriverons jamais au point d’avoir besoin d’une autre armée que celle des Russes pour mettre fin à cette guerre.

En attendant, le message est clair, #GotGoldorRubles ?

source : Club Orlov

via L’Échelle de Jacob
Adblock test (Why?)

Source : Lire l'article complet par Réseau International

Source: Lire l'article complet de Réseau International

À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Recommended For You