En terre de Zeus l’hiver persiste, les Grecs n’en peuvent plus, le pays largement paupérisé… il a froid, alors “vivement avril”, comme j’ai pu l’entendre l’autre jour sur l’île de Poros. Échange entre deux femmes âgées sur l’embarcadère des navettes locales et sous un vent glacial. Les terrasses des cafés et des tavernes sont naturellement vides, les touristes prochains s’annoncent incertains, quand de nombreux produits et denrées se raréfient ; soit par manque, soit parce que les gens en achètent trop par peur d’en manquer. Litote.
Déjà à la mi-mars, certaines quantités mises en vente sont plafonnées dans les supermarchés, et cela concerne pour commencer, les huiles à base de tournesol et les différents types de farine. Le piètre spectacle occidental sera bientôt offert aux foules hébétées… sans le pain quotidien, mais sous toute sa nécessaire connectivité. Dans la restauration grecque, on revient même aux pratiques de marché noir datant de l’autre Occupation allemande, celle des années 1940, étant donné que les huiles servant aux fritures se vendent deux fois plus cher qu’il y a une semaine et que surtout, il n’y en a plus à toutes… les sauces.
Reportage de la semaine, alors répété à travers tous les médias mainstream du pays. “Nous vendrons d’ici une semaine la portion de frites 5€, au lieu de 3€ actuellement, ou encore, nous supprimerons carrément les frites de notre carte”. Un restaurateur typique, interviewé par les journalistes d’une chaîne de télévision. Pendant ce temps, le Régime annonce “une aide” de 13€ aux plus pauvres… lors de leur prochain plein d’essence, même les médias aux ordres ont du mal à prendre au sérieux cette dite “mesure d’urgence”. Le cynisme alors tue… à son tour… jusqu’à ses propres rangs parfois.
Pendant ce temps à Athènes, la clochardisation des Grecs saute aux yeux, et devant certaines librairies, des employées idiotes et méchantes, exigent des clients la présentation du… passe, ainsi que d’une pièce d’identité. Et les moutons… s’exécutent. Fort-heureusement, d’autres librairies en ce même centre-ville dévitalisé, font de la résistance. Leurs responsables, leurs gérants comme leurs employés ne demandent rien aux clients, c’est-à-dire, ils restent tout simplement dans la logique élémentaire, possiblement humaine.
“Nous ne demandons rien… même au risque des sanctions car nous n’adhérons pas à cet Obscurantisme new Age qui vient de frapper déjà tout cet Occident démentiel”. Voilà ce qu’ils nous disent. Et quand aux plus paupérisés que nous, ils se contentent de prendre un bain de soleil sur les bancs publics. Car c’est bien connu… la Grèce entière reste un livre… ouvert dans un sens.
Les peuples et leurs cadavres alors bougent. Plus la guerre se confirme, et avec elle, l’hystérie antirusse qui renouvelle l’hystérie Covidiste et vacciniste des médias disons à 90%, plus le bateau ivre grec confirme son cap… vers les profondeurs de la mer Atlantiste. La clique du psychopathe, et idiot pervers Mitsotákis, accélère même la cadence.
Pendant que les médias mainstream font l’apologie des assassins nazifiants d’Azov et du Khazar prostituant Zelenski au rôle de marionnette utilitaire légère, voilà que les Mitsotákis distribuent à leurs sbires des postes par centaines ; embauches il faut préciser grassement payées 5.000 euros par mois, dans la haute administration ou au sein des entreprises appartenant en partie à l’État mafieux d’Athènes. Au bénéfice bien entendu de leurs proches, parentes, enfants, copines, voire, “pour y caser leurs putes” comme le dit mon ami journalistes, “putes féminines comme masculines d’ailleurs”.
Dans le même ordre de butin, la camarilla en profitera pour installer les éoliennes allemandes partout, ainsi que les logiciels GAFAM de l’Oncle Sam, pour ne servir que ses poches, autant que le RESET du Satan de l’avant-scène Schwab. Déjà, plusieurs centaines de milliers de nouveaux retraités ne reçoivent rien… car EFKA, l’organisme qui centralise l’attribution des pensions de retraite en Grèce met deux à quatre ans pour s’y retrouver.
Après avoir décimé ses effectifs, le Régime a confié la gestion des dossiers en souffrance aux cabinets privés issus de la stratosphère mafieuse des Mitsotákis, et ces cabinets privés ont tout bousillé. Dossiers perdus, calculs fantaisistes… favoritisme. Devant l’exaspération… des députés même Mitsotakistes, le Régime vient de rappeler au service un certain nombre parmi les agents ayant appartenu à EFKA, eux-mêmes retraités depuis plusieurs années.
Sans surprise, ce Régime qui n’attribue pas la retraite à qui de droit, frappe ces mêmes retraités démunis, d’une amende de 100€ par mois, quand ces derniers n’ont pas accepté les produits vaccinaux de Bourla de Pfizer… lequel n’a même pas epargné ces pauvres israéliens, l’ami juif de Thessalonique… du Khazar Mitsotákis. Après-tout, les retraités doivent si possible mourir d’une façon ou d’une autre et au besoin, le Régime dira que c’est à cause de Poutine.
Calculs toujours, et alors népotisme comme clientélisme. Par exemple, et pendant que les factures d’électricité ont plus que doublé, des rejetons du pouvoir sont installés à certains postes au sein de la Régie d’Électricité, sans concours et en violation de la réglementation concernant les embauches, quand ces crétins n’ont d’ailleurs pas les compétences théoriquement acquises. En réalité, ces parasites touchent d’emblée plusieurs milliers d’euros par mois, rien que parce le clan des Mitsotákis et des autres politiciens ténébreux en a essentiellement besoin.
On sait et on le sent, l’idiocratie fait de son mieux pour tout rafler avant la fin… mais alors laquelle ? La leur, ou sinon la nôtre ? Mon ami journaliste et moi, nous nous disons aussi que cette dernière démocrature à la grecque, imposée au pays par les xénocrates associés de tout gabarit et d’abord, au prix du sang grec de Chypre trahie et sacrifiée en 1974, ne tombera plus toute seule. Encore moins, par le procédé de façade que l’on nomme encore “processus électoral”.
Déjà, entre… amis, nous avons calculé qu’en cette Grèce… réellement inexistante de 2022, et pour sauver si possible le pays, son peuple encore subsistant et son territoire, la classe des politiciens actuels tout parti confondu, doit être définitivement… neutralisée, de même qu’environ cent mille parasites de taille parmi les rouages du Régime. Ensuite, et seulement ensuite… on reparlera alors politique… et encore. Cela porte d’ailleurs un nom depuis nos anciens, la Catharsis.
En attendant et actuellement, le restant au magma de la métapolitique régnante n’est qu’une affaire de propagande. Et visiblement, depuis les publicistes de la loge centrale, le mot d’ordre marketing aurait été donné, et nous avons perçu à travers les images diffusées depuis les caméras du Régime en moins d’une semaine d’intervalle ; à la fois, Zelensky, Macron et Mitsotákis en… cariatides non rasées, portant un t-shirt… à l’allure combattante. Les plouks et leur look. “Les trous du cul alors communiquent”, me dit l’ami journaliste, à l’instar de ce que l’on entend souvent dans nos cafés. Oui, car le temps du langage poli est autant terminé.
Ce qui n’empêche pas les marionnettes aux commandes d’incarner ces tueurs, idiots autant utiles… certes même s’agissant comme on sait d’exécutants. D’ailleurs en Grèce, le totalitarisme sanitaire et vacciniste ne recule que très lentement et à notre humble avis, que pour les seules apparences. Ces psychopathes à l’instar de Mitsotákis, appliquent alors les mesures à lettre, politiciens de pacotille, lesquels haïssent les nationaux, veulent en finir avec ces Grecs qui ne communient pas à la litanie immigrationniste et LGBTiste ; puis, en finir avec les non-vaccinés qui leur résistent et récemment, avec tous ceux qui ne veulent pas avaler toute cette propagande antirusse. Mesures donc, dont celles visant les ressortissants de la Russie établis en Grèce.
Exemple parmi d’autres cas semblables, cette femme russe dont le mari grec a témoigné lors d’une émission de la chaîne de télévision MEGA. “Mon épouse est de nationalité russe. Elle travaille en Grèce depuis 22 ans. Elle perçoit son salaire, lequel est versé sur son compte en banque dans une agence de la ville comme tout le monde”.
“Sauf que depuis quelques jours sa carte de retrait, une carte bien grecque, est bloquée. Au départ, nous avons cru qu’il s’agissait d’un souci technique. Ensuite les responsables de l’agence nous ont expliqué que c’est le gouvernement qui vient d’ordonner aux banques grecques que de bloquer les cartes de ceux, qui parmi leurs clients ont un passeport russe. Nous avons saisi un avocat bien entendu”.
Temps actuel, autant celui de tous les blocages. L’histoire occidentale telle que nous croyons l’avoir connue, vécue et pratiquée se termine en ce début de l’ère du Verseau. C’est alors le moment ou jamais, et le Technoféodalisme à l’eschatologie sataniste du dernier capitalisme se croit tout permis, de même que son alter ego, à savoir, la… sainte alliance métastasée, entre le nazisme de l’indéboulonnable caste des industriels allemands, le sionisme des Khazars apatrides et la bancocratie. Le tout, sous l’aimable patronage de Londres et de sa loge…royale, cet autre haut lieu du pourrissement génocidaire de notre Terre… promise à nous tous.
De ce fait, certains pensent qu’on a le droit de tout dire et de tout faire au détriment des autres, et que cela restera surtout impuni. Dernier exemple, cette nouvelle attaque du sionisme visant les Grecs, sous les effets il faut préciser de la libération… de la parole et des actes de guerre, en plein déroulement de l’événement cluster ukrainien.
Pendant que l’intelligentsia… des phacochères à Athènes prépare les goyim à se faire à l’idée fixe… de “la présence millénaire hébraïque en pays grec”, voilà qu’en Israël, certains élus depuis la Knesset proposent l’acquisition des îles grecques pour y installer de la population juive, dont celle d’Israël, si nécessaire. Pour y parvenir, le projet serait financé par le Fonds national juif, littéralement: fonds pour la création d’Israël, fondé en 1901 à Bâle en tant que fonds central du mouvement sioniste.
D’après le quotidien Haaretz, et pour l’instant, cette proposition a été repoussée mais Avri Steiner, le représentant du parti Kahol Lavan au conseil d’administration de Himnuta, une société détenue par le fonds national juif qui est à l’origine de cette… idée inhabituelle, a tout de même précisé, que “le règlement en vigueur pour ce qui est du Fonds national juif pourrait enfin changer, afin de permettre aussi des acquisitions en dehors de la terre d’Israël”, nous ajouterions, après avoir colonisé celle des Arabes par exemple.
Les Grecs lambda n’auront pourtant rien vu de cette proposition, car la nouvelle n’a pas été diffusée par les “grands” médias du Régime. Ainsi, ces mêmes téléspectateurs nigauds, ne feront jamais le rapprochement entre la combine de Goldman Sachs, quand sous le Premier ministre “grec”, le crypto Khazar Simitis, la banque des bandits a tout “arrangé” pour que la Grèce puisse tomber sous la botte de la Troïka, avec comme prélude son attelage à la zone euro. Depuis, le pays soumis sera sitôt bradé, en somme piraté, au profit de nombreux capitaux locaux comme apatrides, dont ceux des Khazars, tous très rapaces comme on sait… mais “c’est l’essence du capitalisme” comme le dirait Adam Smith.
Grèce terminale ; terminus. Les Grecs, ou plutôt les Pakistanais importés au pays par milliers, n’auront qu’à s’occuper de leurs moutons… et encore, sauf que dans le Péloponnèse touristique, les élus locaux organisent toujours de leurs semi-marathons à la noix, et le bas peuple, en partie il les suit.
Car bon sang, il faut surtout faire oublier le vrai Marathon, celui des guerres médiques, de Darius et de Xerxès, ce dernier comme on sait, il avait été poussé d’envahir la Grèce sous la pression du lobby… sioniste de son époque.
Visiblement, Avri Steiner, le représentant du parti Kahol Lavan revient à la charge, maintenant peut-être que la Khazarie… de la poupée Zelensky n’est plus un endroit très sûr par les temps qui courent.
Au pays de Zeus l’hiver persiste, les Grecs n’en peuvent plus, sauf qu’ils n’ont pas tous la mémoire courte.
Week-end sinon prometteur, nous avons acheté 50 litres de fioul domestique pour 1€50 le litre, du Riz au lait traditionnel grec auprès du pâtissier à l’ancienne de l’île de Poros… et nous mettons encore en vente, certains de nos meubles et objets.
Hermès de Greekcrisis nous montre déjà le chemin, celui des oranges. Litote!
source:http://www.greekcrisis.fr/
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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