Retrotranscription de l’ARNm du vaccin Pfizer/Biontech : un début de preuve in vitro

Retrotranscription de l’ARNm du vaccin Pfizer/Biontech : un début de preuve in vitro

Depuis la mise sur le marché conditionnelle des vaccins anti-Covid à ARNm, les médias mainstream et les médecins de plateaux télé se sont  acharnés à affirmer que les vaccins à ARN messager ne pouvaient pas s’intégrer dans notre génome au motif que de l’ARN viral ne pouvait pas être retro-transcrit en ADN et par la suite être intégré à nos propres chromosomes.

Pourtant les scientifiques savent depuis déjà plusieurs décennies que l’ARN peut être rétro-transcrit en ADN par des rétrovirus endogènes ou des rétrotransposons. De nouvelles études montre la véracité de ce fait.

Un article paru dans les comptes rendus de l’académie des sciences américaine (PNAS) en mai 2021 montrait déjà in vitro que l’ARN du Sars-CoV-2 lui-même pouvait s’intégrer dans le génome de culture cellulaire humaine et donc avait été rétro-transcrit en ADN. Une nouvelle preuve est apportée par un article montrant que l’ARNm du vaccin Pfizer (pourtant dépourvu de rétrotranscriptase virale) peut être rétro-transcrit en ADN et que cet ADN est détectable dès 6h après l’ajout du vaccin dans les cultures cellulaires.

 

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