I.
« Casaux il critique tout »
« Casaux il passe son temps à dénigrer tout le monde »
« Casaux il ne fait que cracher sur tous ceux qui se bougent »
C’est totalement vrai. Mea culpa. Sans doute devrais-je prendre exemple sur « Bon Pote », alias Thomas Wagner, qui travaillait encore dans la finance il y a deux ou trois ans, avec « un travail intellectuellement stimulant, un salaire confortable, des collègues sympas et des horaires [lui] permettant d’avoir une vie à côté », mais se reconvertit depuis dans l’éco-démagogie, notamment en tant que « marketeur du GIEC ». Ça a l’air de bien marcher. Récolter plus de 6000 euros par mois sur Tipeee pour raconter aux gens que si on généralisait la migration pendulaire vélocipédique, l’aliénation à pédales (le fait d’aller au travail en vélo), on sauverait le climat, et qu’il s’agit donc d’un objectif majeur, c’est propre. Renouvelable même. Le mois suivant, il suffira de dire aux gens que le capitalisme « n’est pas compatible avec une planète soutenable » (lire : avec une planète vivante, ou quelque chose du genre, autrement ça ne veut rien dire), il suffira de se prétendre anticapitaliste, donc, tout en faisant l’apologie de la création d’emplois verts, tout en appelant à « investir massivement dans une économie décarbonée et centrée sur la justice sociale ». Simple. Peu importe que ce qu’on appelle l’emploi constitue une composante majeure du capitalisme. Peu importe qu’il n’y ait pas vraiment d’emploi vert. Peu importe qu’« économie » soit un autre mot pour dire capitalisme (comme l’a bien montré Serge Latouche, entre autres dans son livre L’Invention de l’économie[1]). Peu importe qu’une « économie décarbonée » (un capitalisme décarboné, donc) soit une chimère indésirable.
Quoi qu’il en soit, pour parvenir au Saint Graal, à « l’économie décarbonée », Wagner a un plan : cesser d’investir dans les « industries les plus polluantes et les plus inégalitaires » pour investir dans les industries écologiques, vertes, ou en tout cas moins polluantes, moinzinégalitaires, qui n’ont, elles (mais quelles sont-elles ? existent-elles ? le Bon Pote n’est pas très clair à ce sujet, comme à tous les autres, à vrai dire), rien à voir avec le capitalisme.
Afin d’exemplifier cette brillante tactique, notre ex-banquier nouvellement recyclé dans l’écologie anticapitaliste propose — de concert avec un peu tous les « militants climat », tous les écologistes médiatiques, les conventionnés pour le climat, etc. — une piste d’action : « basculons tous les emplois de la construction vers la rénovation thermique des bâtiments. Tout le monde garde son emploi (on peut même en créer beaucoup) et l’on a du travail pour toute la filière pour plusieurs décennies. »
Une autre industrie du BTP est possible. Anticapitaliste et durable. Pour un peu plus de 6000 euros par mois tout devient possible. Aussi :
« Ce qui nous attend demande des modifications profondes de nos sociétés et chacun.e d’entre nous doit faire sa part : citoyens, entreprises, ONG, collectivités et politiques. Nous aurons besoin de tout le monde. »
Tous ensemble, nous pouvons construire une autre civilisation industrielle : anticapitaliste, durable, socialement juste, décarbonée. Rien n’oppose fondamentalement un groupe social à un autre. Il n’existe pas d’intérêts fondamentalement contradictoires entre classes sociales. Quelles classes sociales ? Rien ne fait structurellement de l’État un système de dépossession politique. De la même manière, le système marchand n’a rien à voir avec le capitalisme. Dans le monde de Thomas Wagner, le capitalisme désigne, au choix, la croissance, ou certaines grandes entreprises (jugées méchantes), ou le secteur de la finance, ou le fort nébuleux « néolibéralisme », ou les « énergies fossiles », ou quelque disposition sociale indéterminée au sein du capitalisme. Mais jamais le capitalisme dans son entièreté, donc.
& de qui est-il le Bon Pote ? De Timothée Parrique, un économiste décroissant dont il promeut les divagations, ce qui l’amène à promouvoir la décroissance. En tout cas une version de la décroissance (une expression aussi vague ne pouvait que finir récupérée, accommodée à toutes les sauces, c’est, depuis déjà quelques années, chose faite). La version étatiste, alter-industrialiste, alter-capitaliste de la décroissance.
En bon éco-démagogue, Bon Pote recourt régulièrement à des formules comme « Pouvons-nous continuer dans le système actuel ? La réponse est non. » En réalité, Parrique et lui sont très loin de proposer un autre (ou d’autres) « système ». Ce qu’ils proposent, c’est essentiellement un réaménagement de l’existant : sous l’égide d’une « puissance publique » très forte, d’un État tout puissant, une planification visant à diminuer le niveau de consommation et les émissions de gaz à effet de serre de la civilisation industrielle, notamment au travers d’une « transition rapide vers des énergies bas carbone », ainsi qu’à « réduire les inégalités et à répartir plus équitablement les revenus nationaux et mondiaux ». Loin d’un changement de système, donc, un simple « réglage de l’économie alliant amincissement et redistribution qui nous permettrait de mieux vivre ensemble[2] ». Ne serait-ce pas merveilleux ?! Non pas, mais Tomjo a déjà écrit l’essentiel sur cet épouvantable fantasme de la « planification écologique » — autour duquel se rejoignent, comme on s’en aperçoit, aussi bien des « écosocialistes » que des décroissants et autres soi-disant écologistes.
II.
Dans leur excellent petit livre intitulé Catastrophisme, administration du désastre et soumission durable, paru en 2008 aux éditions de l’Encyclopédie des Nuisances, Jaime Semprun et René Riesel soulignaient comment « l’essentiel des préconisations décroissantes » — en tout cas des préconisations de la version de la décroissance désormais la plus courante, celle à laquelle adhèrent Parrique, Bon Pote et d’autres — appellent un « embrigadement étatique et néo-étatique renforcé » et ont probablement pour origine (et effet) une tentative de « refouler l’intuition de l’âpre conflit que ce serait inévitablement de tenter, et déjà de penser sérieusement, la destruction de la société totale, c’est-à-dire du macrosystème technique à quoi finit par se résumer exactement la société humaine ». Ils notaient également :
« L’idéologie de la décroissance est née dans le milieu des experts, parmi ceux qui, au nom du réalisme, voulaient inclure dans une comptabilité “bioéconomique” ces “coûts réels pour la société” qu’entraîne la destruction de la nature. Elle conserve de cette origine la marque ineffaçable : en dépit de tous les verbiages convenus sur le “réenchantement du monde”, l’ambition reste, à la façon de n’importe quel technocrate à la Lester Brown, “d’internaliser les coûts pour parvenir à une meilleure gestion de la biosphère”. Le rationnement volontaire est prôné à la base, pour l’exemplarité, mais on en appelle au sommet à des mesures étatiques : redéploiement de la fiscalité (“taxes environnementales”), des subventions, des normes. Si l’on se risque parfois à faire profession d’anticapitalisme — dans la plus parfaite incohérence avec des propositions comme celle d’un “revenu minimum garanti”, par exemple [ou avec des plaidoyers en faveur d’emplois verts, etc.] — on ne s’aventure jamais à se déclarer anti-étatiste. »
Effectivement, la promotion de l’expertocratie et des préconisations formulées par les autorités technoscientifiques, de même que la célébration de la Science[3], plus généralement, fait partie des chevaux de bataille de Bon Pote. Par ailleurs, Thomas Wagner tient souvent à rappeler qu’il serait faux de croire « que le mot décroissance signifie décroissance du PIB : cela n’a rien à voir. » & aussi que la (sa) décroissance n’est « pas anti-progrès », « pas anti-technologie ». Ainsi illustre-t-il les remarques de Semprun et Riesel qui constataient, toujours dans leur ouvrage susmentionné, comment certains décroissants se vautrent « dans les vertueuses conventions d’un citoyennisme qu’on se garde de choquer par quelque outrance critique : il faut surtout ne froisser personne au Monde diplomatique, ménager la gauche, le parlementarisme (“Le rejet radical de la ‘démocratie’ représentative a quelque chose d’excessif”, ibid.), et plus généralement le progressisme en se gardant de jamais paraître passéiste, technophobe, réactionnaire. »
Dans le monde de Bon Pote, la technologie — bien entendu ! — est donc neutre (comme l’État, sans doute, rien n’implique rien — arrangeante propriété de la pensée ignorante, qui l’apparente à la pensée magique). (Il note tout de même, non sans audace, que « certaines technologies existantes n’auront pas leur place dans une économie décroissante et qu’il faudra tout simplement les changer, voire les abandonner. Nous pouvons par exemple affirmer sans aucune hésitation que le trading haute fréquence n’a aucun intérêt sociétal et est une horreur écologique. » Mais de toute façon, les planificateurs se chargeront de planifier pour nous. Thomas Wagner se dévouera s’il faut.)
III.
En cela, comme au travers de ses autres caractéristiques, le discours de Thomas Wagner correspond à celui de l’anthropologue économiste Jason Hickel, qu’il cite parfois. Figure majeure de la décroissance (ou, plutôt, d’une certaine décroissance), notamment outre-Atlantique, Jason Hickel est professeur à l’Institut pour la science environnementale et la technologie de l’université autonome de Barcelone, collaborateur émérite de la London School of Economics, membre de la Harvard-Lancet Commission on Reparations and Redistributive Justice (Commission Harvard-Lancet sur les réparations et la justice redistributive). Il travaille également pour l’ONU, et plus précisément pour le Bureau du rapport sur le développement humain du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), siège au conseil consultatif du Green New Deal for Europe (Pacte vert pour l’Europe) et écrit régulièrement pour d’importants médias internationaux comme The Guardian (un des médias d’information les plus lus au monde), Foreign Policy ou encore Al Jazeera. Le CV classique de l’anticapitaliste rudement antisystème.
Dans son dernier livre, intitulé Less Is More, paru en 2020 (et en 2022 en France, sous le titre Moins pour plus), Jason Hickel fait, comme toujours, la promotion d’une civilisation techno-industrielle rendue durable, verte ou écologique (quelque chose de cet ordre), grâce à la fameuse « transition écologique » (ou énergétique, ou technologique, c’est idem). Il se prononce même en faveur du nucléaire, qui « devra faire partie du mix » énergétique de la future civilisation techno-industrielle durable, même si « la transition énergétique devra se concentrer principalement sur le solaire et l’éolien ». En effet, « nous devons », « absolument » et « de toute urgence », entreprendre « une transition rapide vers les énergies renouvelables », laquelle « va nécessiter une augmentation spectaculaire de l’extraction de métaux et de minerais de terres rares, avec des coûts écologiques et sociaux réels », ainsi que le reconnait cependant Hickel, sans que cela ne semble le déranger outre-mesure. Apparemment, le jeu (parvenir à une civilisation techno-industrielle supposément décarbonée) en vaut la chandelle (continuer de détruire ce qu’il reste du monde). D’autre part, Hickel, qui n’est donc plus à une contradiction près, nous explique dans son livre que s’il ne faut pas miser sur le solutionnisme technologique pour assurer l’avenir de la civilisation industrielle « l’innovation technologique » demeure « absolument importante pour la bataille à venir. Elle est même vitale. Nous aurons besoin de toutes les innovations et de tous les gains d’efficacité possibles pour réduire radicalement l’intensité en ressources et en carbone de notre économie. »
Enfin, pour parfaire le tableau, Hickel, qui ne voit aucun problème dans le type d’organisation sociale que constitue l’État, ni dans la bureaucratie qui l’accompagne, aucun problème dans l’industrialisme, aucun problème dans la technologie, semble se réjouir du fait qu’un « mouvement croissant de scientifiques réclame un cadre de “gouvernance des systèmes terrestres », reconnaissant que les principaux processus planétaires tels que le cycle du carbone, le cycle de l’azote, les courants océaniques, les forêts, la couche d’ozone, etc. doivent être protégés afin de préserver les conditions de vie. Et comme tous ces processus traversent des frontières créées par l’homme, leur protection nécessite une coopération au-delà de l’État-nation. » Un gouvernement mondial donc. Une technocratie planétaire afin de gérer convenablement l’ensemble de l’écosystème-Terre, avec nous dedans. Ainsi que le notait André Gorz :
« Les limites nécessaires à la préservation de la vie seront calculées et planifiées centralement par des ingénieurs écologistes, et la production programmée d’un milieu de vie optimal sera confiée à des institutions centralisées et à des techniques lourdes. C’est l’option technofasciste sur la voie de laquelle nous sommes déjà plus qu’à moitié engagés. » (Écologie et Liberté, 1977)
Voilà peu ou prou ce qu’encouragent, in fine, les décroissants à la Hickel — qui, cependant, le formulent d’une manière bien plus avenante, faisant ainsi office d’insidieux chargés de relations publiques au service de l’État et du technocapitalisme.
IV.
Résumons. À l’instar de Jason Hickel et de Timothée Parrique, Bon Pote n’a essentiellement aucune critique de l’État, il ne comprend pas en quoi celui-ci pose fondamentalement problème, en quoi État et démocratie (ou « justice sociale ») font deux, en quoi le capitalisme n’est pas simplement la finance, en quoi le capitalisme tout entier — en tant que système d’auto-accroissement de la valeur principalement fondé sur l’argent, la marchandise[4], le travail, la propriété privée et l’État, toutes choses que ni Hickel ni Bon Pote ne remettent en question — est incompatible avec la démocratie et la prospérité de la vie sur Terre, en quoi une économie décarbonée (un capitalisme décarboné) est un objectif absurde, en quoi la technologie n’est jamais « neutre » mais toujours liée à une configuration sociopolitique (autrement dit en quoi il existe des technologies compatibles avec la démocratie et d’autres non, parmi lesquelles toutes les hautes technologies, toutes les technologies modernes[5]), en quoi aucune industrie n’est réellement verte ou propre et ne saurait le devenir, bref, en quoi une civilisation techno-industrielle basse consommation durable et démocratique, ça n’existe pas.
& s’il passe ainsi à côté de l’essentiel, c’est aussi, au moins en partie, parce qu’il se focalise de manière quasi obsessionnelle sur les émissions de gaz à effet de serre, le carbone, le climat, faisant ainsi montre d’une absence de vision périphérique assez commune, à l’instar du « spécialiste, cet homme diminué, modelé par la civilisation pour ne servir la ruche que d’une seule façon, avec une dévotion aveugle de fourmi » (Lewis Mumford, La Cité à travers l’histoire). D’après ce qu’il explique lui-même, c’est principalement à cause de la crise climatique et de ses implications pour l’avenir de la civilisation industrielle que Thomas Wagner a décidé de quitter la banque, et pas par souci général de ce que la civilisation inflige à l’être humain et au monde. & l’on ne se refait pas toujours.
V.
C’est ainsi que durant que tout empire, Thomas Bon Pote se retrouve lui aussi, aux côtés de Cyril Dion et Gaël Giraud (qui l’ont officiellement adoubé, qui partagent régulièrement ses publications sur Twitter), à promouvoir des mystifications absurdes, des rassurances mensongères pour civilisés éco-anxieux.
Non, une civilisation techno-industrielle basse consommation, durable, équitable et démocratique, selon toute logique, cela n’existe pas. Non, les institutions en train de perpétrer le désastre ne vont pas le résoudre, même si on le leur demande très véhémentement. Ces institutions sont toutes intrinsèquement nuisibles. Non, ce n’est pas en convainquant des gens de ne plus prendre l’avion ou de consommer moins ou d’émettre moins de GES individuellement que l’on va résoudre quoi que ce soit, comme le rappelle le mathématicien Theodore Kaczynski dans son livre Révolution Anti-Tech : Pourquoi et comment ? (cela paraît incroyable qu’un soi-disant spécialiste du changement climatique ne le comprenne pas[6]). Oui, si vous vous souciez de la vie sur Terre et de la liberté humaine, il va vous falloir commencer à réfléchir autrement plus sérieusement.
Mais me revoilà à tout critiquer. Décidément. Je ne ferai jamais carrière. & c’est tant mieux. J’ai depuis longtemps fait mienne la devise que Marx & Engels formulaient en 1850 :
« Notre tâche consiste à proposer une critique impitoyable, et de nos prétendus amis bien plus que de nos ennemis manifestes. Nous renonçons avec plaisir, en adoptant cette attitude, à une popularité démagogique. »
Plus d’un siècle après, en 1973, Bernard Charbonneau formulait à peu près la même :
« Pour progresser sur une route qui sera brumeuse et ardue, le mouvement écologique devra s’exercer à la critique de soi et de ses pseudo-alliés ; et pour ce travail de dépollution intellectuelle et morale, les matériaux ne manqueront pas. »
Les matériaux ne manquent pas. Au contraire, à l’image de tout le reste, ils se multiplient. Et s’il importe de « proposer une critique impitoyable, et de nos prétendus amis bien plus que de nos ennemis manifestes », c’est parce que dans la situation où nous nous trouvons, depuis l’endroit d’où nous parlons, les faux amis de l’écologie sont plus préjudiciables à la formation d’un mouvement écologiste digne de ce nom que ses ennemis manifestes. Voilà pourquoi je m’efforce de faire ce que je fais.
Cela étant, contrairement à ce qu’affirment quelques esprits malhonnêtes, non, je ne critique évidemment pas tout (et non, je ne passe pas mon temps à critiquer les charlatans de l’écologisme, je viens d’ailleurs de finir de traduire le livre Civilisés à en mourir de Christopher Ryan, qui sort dans quelques semaines aux Éditions Libre, qu’il est déjà possible de commander en ligne et qui devrait intéresser quiconque se préoccupe de la liberté, de l’égalité et de la nature). Mais si certains aiment à prétendre que je critique « tout », c’est parce que je critique « tout » ce qu’ils aiment. Toutes leurs idoles de pacotille. « Tout » le monde — l’immonde, le monde faux — auquel ils tiennent, malgré qu’il soit en train de détruire le vrai.
Car, comme chacun peut le constater, c’est désormais aussi au nom de la transition écologique/énergétique/technologique, de l’investissement dans les industries et technologies dites vertes, propres ou décarbonées que l’on perpétue la dépossession des êtres humains et la destruction du monde.
Nicolas Casaux
- Sur l’homologie économie/capitalisme, on peut aussi lire en ligne : http://www.palim-psao.fr/2020/04/contre-toute-forme-d-economie.un-debat-pour-le-renouvellement-de-la-pensee-critique-par-clement-homs.html ou : http://www.palim-psao.fr/2016/09/sur-l-invention-grecque-du-mot-economie-chez-xenophon-critique-d-une-supercherie-etymologique-moderne-par-clement-homs.html ↑
- https://timotheeparrique.com/reponse-a-bruno-le-maire-appauvrissement-asservissement-et-autres-malentendus-sur-la-decroissance/ ↑
- « La science, facteur majeur de la catastrophe sociale et écologique en cours » : https://www.partage-le.com/2020/12/27/la-science-un-facteur-majeur-de-la-catastrophe-sociale-et-ecologique-en-cours-par-nicolas-casaux/ ↑
- « Domination de la marchandise dans les sociétés contemporaines », par Gérard Briche : http://www.palim-psao.fr/article-domination-de-la-marchandise-dans-les-societes-contemporaines-par-gerard-briche-36950483.html ↑
- « Les exigences des choses plutôt que les intentions des hommes » : https://www.partage-le.com/2021/08/23/les-exigences-des-choses-plutot-que-les-intentions-des-hommes-par-nicolas-casaux/ ↑
- Parce que l’effet rebond ou paradoxe de Jevons, parce que la logique et les dynamiques du technocapitalisme. À ce sujet, lire : https://www.partage-le.com/2017/07/04/pourquoi-la-civilisation-industrielle-va-entierement-devorer-la-planete-par-theodore-kaczynski/ ↑
Source: Lire l'article complet de Le Partage