par Joseph Stroberg.
Pour appréhender la manière dont les nations et les civilisations peuvent mourir et disparaître, nous pouvons procéder par analogie avec l’être humain lui-même.
Ils reposent tous sur des « formes » organisées de substance matérielle. Ce dernier est notamment constitué d’un squelette qui en assure la charpente, d’organes qui remplissent différents rôles et de muscles qui en permettent les mouvements. Et les premières comportent des structures équivalentes.
Pour ce qui est des « formes » elles-mêmes, qu’elles soient en particulier minérales, végétales, animales, humaines ou sociales, il y a sept manières fondamentales différentes de les appréhender ou de les gérer. Et elles peuvent être toutes reliées analogiquement ou symboliquement à un organe ou à un système du corps humain ou à un autre système organisé tel qu’un vaisseau spatial.
Schématiquement nous pouvons établir les correspondances suivantes :
(*) il serait préférable de parler de système d’entretien et de préservation que de système immunitaire, surtout si la théorie virale se révèle fausse, comme des expérimentations scientifiques récentes tendent à le démontrer (voir le dossier Vaccins et virus et particulièrement les parties relatives à l’isolement des virus et à la contagion).
Dans le corps humain, certains organes sont vitaux, car leur suppression ou leur arrêt de fonctionnement entraîne rapidement la mort. Ceci est particulièrement le cas du cerveau, du cœur et des poumons, mais aussi notamment de l’estomac, des intestins, des reins, du foie et de plusieurs glandes endocrines. Lorsque leur rôle ou la fonction qu’ils remplissaient cesse, le corps meurt.
Il en est de même au niveau des nations et des civilisations pour lesquelles l’absence de certaines fonctionnalités entraîne la mort. Ainsi, l’absence totale de décisions communes entraîne le chaos, ce qui sera alors le cas pour la majorité des civilisations et des nations qui n’ont plus de gouvernement, du moins tant et aussi longtemps que les individus ne sont pas capables de s’organiser ensemble au cas par cas selon les événements rencontrés ou les projets communs envisagés.
La mort pourra aussi intervenir dans les cas suivants :
- absence ou insuffisance de distribution des ressources (matérielles et autres) et d’organisations qui peuvent la permettre ;
- insuffisance de ressources énergétiques pour répondre aux besoins vitaux ;
- absence d’intégrité, particulièrement dans la Justice et au niveau des autres institutions gouvernementales, à cause d’une corruption de plus en plus importante ;
- incapacité à assimiler les éléments étrangers qui pourraient l’être et à expulser ceux qui ne veulent ou ne peuvent pas s’intégrer ;
- incapacité à prévoir les besoins, compte tenu de l’évolution des populations ;
- disparition des garde-fous et des valeurs communes ;
- insuffisance des observateurs ;
- manque de constructeurs ;
- problèmes plus ou moins graves de reproduction.
Si l’on examine par exemple le cas de la France et de nombreuses nations occidentales, nous pouvons y observer les situations suivantes :
- corruption politique, judiciaire, scientifique, etc. de plus en plus importante (et donc une baisse proportionnelle de l’intégrité structurelle) ;
- diminution importante des sources d’énergie facilement exploitables (ou qui n’impliquent pas de pollution excessive) ;
- graves problèmes d’immigration incontrôlée sans capacité de réelle assimilation ;
- destruction des grandes religions sous prétexte de laïcité et absence de valeurs de remplacement qui soient aptes à stimuler les dimensions morale et spirituelle de l’être humain ;
- particulièrement depuis la crise artificielle Covid, manque de main-d’œuvre dans de nombreux secteurs économiques et industriels ;
- infertilité croissante dans la (grande ?) majorité des pays.
Nous constatons donc la simultanéité de la plupart des facteurs potentiellement mortels signalés plus haut pour une nation ou une civilisation. Combien d’années le Nouvel Ordre Mondial espère-t-il donc survivre ?
source:https://nouveau-monde.ca/
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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