Nous serons bientôt transformés en cheptel électroniquement tatoué, et cela ne nous dérange pas plus que tant. Le moment est peut-être venu aujourd’hui de formuler clairement cette intuition: «nous sommes les esclaves de notre inaccomplissement.» Pas de quoi, forcément, faire une philosophie, mais cela donne peut-être un angle d’attaque pour raconter l’époque.
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