Des militants pour la liberté médicale dénoncent les horribles abus commis sur des patients covid dans des hôpitaux

Des militants pour la liberté médicale dénoncent les horribles abus commis sur des patients covid dans des hôpitaux

Par David McLoone — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : lightfield studios/AdobeStock

Tucson, Arizona, 23 septembre (LifeSiteNews) — Les patients atteints du COVID-19 à travers l’Amérique se voient refuser tout traitement et « même les soins de base les plus élémentaires » dans ce qui a été décrit comme une « réponse impie, contraire à l’éthique, contraire à l’Amérique, contraire à la Constitution, de la part des hôpitaux » à la [prétendue]* crise du coronavirus, selon les intervenants de la dernière conférence Stop the Shot [Arrêtez la piqûre].

Le quatrième volet de la série de conférences de la Fondation Truth for Health [Vérité pour la Santé] s’est intéressé aux libertés des patients qui ont été mises à mal tout au long de la crise du coronavirus. Des patients se sont vu refuser des médicaments vitaux contre le COVID-19, ont été contraints d’accepter des plans de traitement potentiellement dangereux et coûteux, et ont été isolés de force, sans pouvoir voir leur famille.

L’un de ces cas est celui de Caroline Carroll, une mère de famille qui, après avoir apparemment contracté le virus, s’est fait dire par le personnel de l’hôpital Baylor, White & Scott de College Station, au Texas, qu’« elle avait attendu trop longtemps pour être traitée ».

Jodi Carroll, la fille de Caroline, a pris la parole lors de la conférence, révélant que sa mère croyait initialement qu’elle ne ressentait rien de plus que des symptômes d’allergie. Ce n’est qu’après que son état se soit détérioré que son mari a décidé qu’il serait sage d’obtenir un avis médical. Caroline s’est alors rendue à l’hôpital, où elle a été testée positive au COVID. Les médecins ont alors renvoyé Caroline chez elle en lui disant de ne revenir que si ses symptômes progressaient encore.

« Le lendemain matin, malheureusement, sa concentration d’oxygène dans le sang était de 70, et mon père l’a ramenée d’urgence à l’hôpital, où elle a été admise de juillet à août », explique Jodi.

Une fois hospitalisée, la famille a constaté que les médecins adoptaient une « approche attentiste », malgré leurs demandes d’être plus dynamiques suite aux « recherches que nous avions effectuées sur le COVID » et qui montraient que « c’était une maladie traitable ».

Après avoir consulté le Dr Peter McCullough, cardiologue renommé et conseiller médical en chef de la Fondation Truth for Health, un plan de traitement a été établi, dont une partie consistait à prescrire des anticoagulants pour lutter contre une éventuelle thrombose, ou coagulation du sang.

L’hôpital a toutefois jugé bon de placer Carroll en « soins de soutien », ce que sa famille a compris comme étant des soins palliatifs.

C’est à ce moment-là que la famille « a intensifié ses efforts pour obtenir l’intervention dont nous avions besoin. Nous avons commencé à parler avec le médecin-chef de l’hôpital, demandant les mêmes médicaments. On nous les a refusés ».

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À propos de l'auteur Campagne Québec-Vie

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