Pour un registre public des crimes commis par les minorités ethniques au Québec

Pour un registre public des crimes commis par les minorités ethniques au Québec

Avec statistiques et pourcentages à l’appui

pour servir au même usage que le registre des délinquants sexuels

Il ne se passe pas une semaine sans que les médias rapportent quantité de crimes et délits commis par les minorités ethniques établies au Québec depuis la grande vague migratoire erratique amorcée il y a 25 ans. Ces actes dépassent de loin en proportion ceux commis par les natifs.

C’est ce qui permet d’affirmer que l’immigration massive indiscriminée est un réel fléau social, une plaie purulente, un virus pandémique à multiples variants, renouvelant sa virulence en vagues successives.

Au nombre que les minorités ethniques issus du tiers-monde sous-développé économiquement, socialement et mentalement représentent actuellement, imaginez maintenant la catastrophe qui nous attend si on les laisse doubler, tripler en nombre. Désastre social en vue.

Les médias ont pour habitude de relater ces crimes et délits sous forme de simples faits divers, d’entrefilets, qui finissent par disparaître dans la brume sans laisser de traces, souvent en omettant de faire le suivi sur la conclusion de l’enquête ou du drame. On balaie le tout sous le tapis.

De plus, ces mêmes médias tentent toujours de dissimuler à la population l’ethnie, la race, le pays d’origine, la religion, les photos de ces criminels étrangers, comme si cela n’avait rien à voir avec les crimes tous plus sordides les uns que les autres, alors que généralement cela découle directement de ces facteurs. Ces crimes sont souvent un simple prolongement de modes de vie particuliers au tiers-monde où la violence, la maltraitance, la corruption et le crime font loi.

Pour se faire une idée de l’ampleur de la situation, plusieurs dizaines de cas récents à faire dresser les cheveux sur la tête sont compilés ici. Et c’est loin d’être exhaustif.

Cliquez ici: Les immigrés criminels doivent être expulsés après avoir purgé leur peine d’emprisonnement

À ce jour en 2021, plus d’une centaine de fusillades dans les rues de Montréal entre membres de gangs de rue ethniques ont déjà été répertoriés. À Toronto, c’est 5 fois plus, en raison de la plus forte proportion d’ethniques importés.

C’est pourquoi il serait utile de mettre sur pied un registre public des délinquants d’origine ethnique, qui nous permettrait de remettre en question la pertinence d’une immigration tiers-mondiste massive, souvent la source active de l’ensauvagement des sociétés occidentales dont nous faisons partie.

Ce registre serait disponible en ligne et accessible à toute la population ainsi qu’aux journalistes et politiciens.

Ce serait une façon de dresser un tableau précis permettant de se faire une idée juste et objective de la situation.

Sans ce registre, il est trop facile de perdre de vue le portrait global de la situation. À l’inverse, le fait de réunir tous ces renseignements bien fichés en un même lieu permet de voir que le nombre des délits et des malfaiteurs d’origine ethnique est beaucoup plus élevé qu’on aurait cru à prime abord et que malheureusement les choses ne font qu’empirer avec le temps et avec le nombre.

Ce registre public permettrait d’évaluer l’accumulation des méfaits, leur nombre, leur pourcentage, les antécédents judiciaires, les condamnations, la récidive, et de justifier des actions de limitations de l’immigration douteuse des catégories à haut risque, sans parler de l’expulsion expéditive des indésirables.

Il existe bien un registre de ce genre dans le cas des délinquants sexuels à répétition pour protéger la population, pourquoi pas alors un registre dans le cas des crimes et méfaits commis par des ethniques dangereux, aux actes au moins aussi lourds de conséquences et de ravages?

Ce registre avec nom, description et photo servirait à les identifier et à leur refuser emploi, logement, accès aux commerces et restaurants, événements publics (risques d’actes terroristes), manifestations (risque de vandalisme et pillage), à des quartiers protégés (risques d’invasions de domicile).

Ces criminels endurcis non réhabilitables doivent se sentir stigmatisés par la population, au point de devoir quitter les lieux définitivement pour le plus grand soulagement de tous. C’est une évidence qu’aucun d’entre eux ne deviendra jamais un honnête quincaillier, un préposé aux soins dévoué, un agent de bureau minutieux, un pilote de Boeing 747, un professeur de CEGEP motivant, un avocat des pauvres. Qu’ils aillent donc nuire ailleurs qu’ici.

Dans les archives criminelles officielles canadiennes  ou américaines, on peut retrouver des statistiques sur le taux plus élevé de crime chez les minorités, sur leur incarcération. Mais la présentation des chiffres est intentionnellement aride et difficile de compréhension pour le commun des mortels. On s’y perd très vite dans les multiples catégories et sous-catégories.

Alors qu’un registre simple, clair et accessible remettrait les pendules à l’heure en exposant clairement et sans détour ce qui en est.

L’augmentation de la criminalité par voie d’immigration tiers-mondiste indifférenciée doit cesser.

Et en bonus, c’est la basse propagande diversitaire qui en prendrait pour son rhume.

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Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec

À propos de l'auteur Vigile.Québec

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