Qui cherche à nous imposer de force la présence grandissante des minorités visibles?

Qui cherche à nous imposer de force la présence grandissante des minorités visibles?

Qui peut bien chercher à nous imposer la présence grandissante de certaines minorités visibles comme les Noirs malgré l’hésitation et la réticence générale des gens? D’autant plus qu’ils ne représentent que 4% de la population québécoise (incluant les afro-anglophones), tandis qu’aux États-Unis le pourcentage monte à 15%. Malgré cela, on nous en présente de 10 à 15 fois plus que dans la réalité, à commencer par les publicités télé.

Qui cherche à nous imposer de force la présence grandissante des minorités visibles?

Toutes sortes de situations quotidienne impliquant des Noirs et créant malaise démontrent que la population en général ne voit pas d’un bon oeil l’arrivée massive de Noirs venus du tiers-monde sous-développé socialement qui s’installent, se répandent et pullulent.

La question se pose actuellement à propos des Noirs, mais l’interrogation serait la même si la situation de malaise mettait en cause des arabes, des hindous, des asiatiques, des latinos, ou tout autres tiers-mondistes. Ce n’est pas eux plus que d’autres qui sont visés, que la chose soit bien établie d’emblée.

On a tous remarqué l’apparition de nombreuses organisations radicales noires anti-Blancs comme la gauche Woke aboyeuse, qui s’époumonent aggressivement sur toutes les tribunes, n’acceptant aucune réplique, aucune argumentation. Il serait temps que ça change.

Passons en revue quelques situations concrètes révélatrices qui dérangent et alarment à juste titre le Québécois moyen.

1- La plupart des parents seraient découragés que leur jeune fille de 16 ans revienne à la maison au bras d’un rappeur noir dominateur, misogyne et hypertatoué, avec des tresses rastas et d’épaisses chaînes en or au cou et au poignet. Même le film aux lunettes roses Devine qui vient dîner n’aurait pu laisser entrevoir cette nouvelle réalité qui n’a vraiment rien de bien réjouissant pour la majorité.

2- La plupart des gens n’invitent pas de Noirs à venir se baigner dans la piscine ronde de la cour tout l’été

3- La plupart des gens ne passent pas la soirée assis sur le canapé au salon avec des Noirs à regarder la télé

4- Bien des gens ne s’assoieront pas à côté d’un Noir dans une salle de cinéma

5- Bien des gens ne s’assoieront pas à côté de Noirs au restaurant

6- Bien des gens ne s’assoieront pas à côté d’un Noir dans les transports en commun par réflexe naturel, préférant même rester debout

7- Bien des gens préfèrent ne pas avoir à serrer la main d’un Noir

8- La plupart des gens n’ont pas d’amis personnels noirs

9- La plupart des gens ne prêteraient pas d’argent à des Noirs

10- La plupart des gens ne partiraient pas en voyage avec des Noirs

11- Bien des gens n’iraient pas habiter dans un immeuble où résident des Noirs

12- Bien des gens déménageraient si des Noirs venaient habiter dans leur immeuble

13- La plupart des gens se mettront sur leurs gardes si un Noir s’adresse à eux sur la rue

14- La plupart des gens hâteront le pas ou changeront de trottoir si 2 Noirs ou plus marchent derrière eux

15- La plupart des gens n’apprécient pas l’odeur particulièrement forte que dégagent certains Noirs

16- La plupart des gens éviteront d’aller habiter dans un quartier à majorité noire

18- La plupart des gens sont affectés négativement à la vue sur la rue d’une grosse Africaine en costume et coiffe traditionnels qui se déplace d’un pas lent avec la démarche chaloupée caractéristique, comme si elle allait faire de l’eau au puit. On se dit: il commence à y avoir ici trop d’Afrique hors de l’Afrique, trop d’allure du tiers-monde provocant malaise, et la réaction normale est: non, on ne veut pas aller de ce côté-là.

19- La plupart des gens n’ont que faire de l’opinion des Noirs maintenant invités pour la forme à se prononcer dans les talk-shows diversitaires dans le genre On va se le dire

20- La plupart des gens n’apprécient pas la surreprésentation abusive des Noirs dans la publicité qui est non conforme à leur proportion réelle

21- La plupart des gens ne considèrent pas les Noirs comme des experts en produits de consommation tel qu’on nous les montre sans relâche dans les publicités télé

22- La plupart des gens se méfient des pasteurs auto-proclamés charlatans de race noire qui s’enrichissent sur le dos de fidèles égarés et crédules

23- La plupart des gens ne voient que trop bien qu’on retrouve chez les Noirs une plus grande proportion de: criminalité, prostitution, proxénitisme, vols, attaques contre la personne, aggressivité et impulsivité élevées, quartiers dangereux, violence conjugale, décrochage scolaire, dealers de drogues et consommation, port et vente d’armes, gangs de rue dangereux, saccage et pillage lors de manifestations, pasteurs auto-proclamés exploiteurs, rappeurs misogynes, groupuscules anti-Blancs radicaux prétendant représenter tous les Noirs, etc. Et malheureusement, tout cela croît automatiquement avec leur augmentation en nombre.

Soyons honnête: même ceux qui prétendent apprécier grandement les Noirs de toutes provenances et rechercher leur compagnie préféreraient ne pas se retrouver impliqués dans les situations précédentes.

Les Québécois ne sont pas plus racistes que d’autres, ils respectent toutes les races et ethnies. Les Québécois n’ont pas plus de préjugés qu’ailleurs. C’est simplement que lorsque des préjugés se vérifient fois après fois, ils deviennent des vérités établies, des certitudes, des évidences, ils deviennent fiables. Les Québécois se basent sur les faits concrets, sur leur expérience avec cette communauté, sur ce qu’ils voient et observent. Et ceux qui les accusent à tort et à travers font partie précisément de ces minorités qui leur en veulent.

La plupart de Québécois ne connaissent même pas de Noirs. Pourtant, on ne cesse de nous en montrer à la tonne comme s’ils faisaient partie intégrante de notre vie, ce qui est tellement loin d’être le cas concrètement.

Personne ne veut réellement causer de tort aux Noirs ni leur faire le moindre mal. Nous ne voulons pas qu’il leur arrive malheur. À preuve, nous contribuons généreusement à l’aide humanitaire lors de catastrophes et famines en Afrique ou à Haïti. Nos gouvernements les aident en notre nom à développer leurs pays et à améliorer leurs conditions de vie, l’agriculture, l’instruction, la salubrité, etc.

Seulement, on doit comprendre que lorsque nous avons envie de voir des étrangers et comment ils vivent, il suffit d’aller les visiter en touriste dans leur pays. Mais cela ne signifie pas pour autant que nous considérons qu’ils doivent tous pouvoir s’en venir ici en masse, tout chambarder à leur guise et tout déciviliser jusqu’à ce qu’on ne s’y reconnaisse tout simplement plus.

La psychologie sociale a depuis longtemps établi que pour qu’un peuple se sent à l’aise et chez lui, il doit cotoyer et vivre avec des gens visiblement semblables à lui sur tous les plans, cela tombe sous le sens. Il faut respecter l’instinct naturel qui guide l’espèce humaine dans sa façon de se regrouper, de s’associer.

C’est pourquoi il ne faut jamais qu’au Québec on se sente en Afrique, en Chine, en Islamie, en Amérique latine, en Inde, etc, tout simplement parce que ce n’est pas là que nous vivons, tout simplement parce que nous sommes ici, pas là-bas.

Pourquoi dans un pays historiquement composé presque exclusivement de Blancs de souche européenne voudrait-on subitement en faire un pays où il y aura de moins en moins de Blancs et de plus en plus de races et ethnies étrangères aux moeurs différentes et opposées?

Absolument rien ne peut justifier des phénomènes comme l’africanisation, l’islamisation, l’ethnicisation à outrance, ou l’altérisation régressive d’une société homogène et cohésive comme la nôtre, comme la plupart des sociétés occidentales le sont encore et doivent le demeurer.

Rien ne pourra jamais justifier qu’on s’en prenne à l’un quelconque des éléments identitaires majeurs d’un peuple pleinement constitué comme le nôtre, que ce soit sa race, son appartenance ethnique canadienne-française, sa langue maternelle française, sa tradition religieuse catholique majoritaire, son système politique démocratique, sa culture et traditions vivantes, et ainsi de suite.

Toutes ces caractéristiques sont précieuses et essentielles à la préservation de l’identité collective. Elles nous soudent, nous enracinent sur le territoire du Québec. Tout ce qui peut faire diminuer l’importance de l’une d’entre elles doit être combattu au titre de geste génocidaire.

Pour en savoir plus: Québécois d’ici: Quelles sont nos principales caractéristiques identitaires?

Il y a également la question de garder intacts les standards de vie élevés propres aux pays occidentaux, qui se voient hypothéqués, grugés, diminués par les invasions massives de sociétés sous-civilisées incapables de se hausser à notre niveau, démontrant une mentalité régrograde.

Les tiers-mondistes traînent avec eux la rigidité religieuse, provoquent l’ensauvagement des moeurs, l’augmentation de la criminalité, professent des divergences irréconciliables sur les rapports homme/femme, la laïcité de l’État, l’éducation des enfants et la conception générale de la vie paisible en société.

Car les autres ne sont pas Nous. Nous ne sommes pas cela, nous ne sommes pas comme eux. Nous ne sommes pas eux. Ils ne doivent pas déteindre sur nous, nous faire reculer, nous faire perdre les acquis de centaines d’années de progrès et de 2000 ans d’évolution humaine.

Mais pourquoi alors une méchante bande d’inculqués diversitaires cherchent-ils à nous faire violence en nous forçant à accepter des gens trop divergents, trop opposés sur tous les plans, pour qu’on se sente à l’aise en leur présence? Pourquoi faire grandir en nombre et sans limite des minorités qui créent de l’insécurité ambiante chez les gens, et multiplient les risques de frictions et de conflits ouverts? Pourquoi chercher volontairement à briser l’harmonie sociale existante?

Est-ce que toutes leurs campagnes de propagande fédérale coûteuses donnent la moindre envie aux gens de se rapprocher de la communauté noire? Rien ne permet de le croire. Le résultat est nul. Le résultat serait le même avec les intégristes musulmans, les Hindous sikhs et autres minorité refusant l’intégration.

Faut croire que cela fait partie de la stratégie privilégiée par le gouvernement fédéral et visant à dénaturer systématiquement la nation québécoise de souche, à la transormer petit à petit en excroissance du tiers-monde sous-civilisé, à la minoriser en son propre pays, à lui faire perdre son âme séculaire, en déchiquetant son visage historique, en détériorant son apparence conviviale, tout cela dans le but de la faire rapetisser jusqu’à la disparition par remplacement graduel.

L’emphase immigrationniste actuelle semble favoriser les Noirs (Haïtiens, africains, migrants à la frontière). On dénoncerait la même situation si c’était des arabes (maghrébins), des hindoux, des latinos, des asiatiques, peu importe. Ce n’est pas une question de race ou d’ethnie, c’est une simple question de compatibilité, de capacité à se fondre harmonieusement dans le paysage existant, sans la menace du nivellement vers le bas, du retour en arrière, du fractionnement en morceaux de la société entière.

L’abject général anglais Amherst se servait de couvertures infectées à la diphtérie à des fins génocidaires. Le gouvernement fédéral libéral, pour sa part, impose la diversité et le multiculturalisme au peuple québécois. Plus ça change, plus c’est pareil. Même stratégie, même objectif, même bassesse.

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Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec

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