Plus un seul Québécois dans l'équipe des Canadiens de Montréal

Plus un seul Québécois dans l'équipe des Canadiens de Montréal

Démographie

Une analogie troublante avec ce qui nous attend comme peuple?

Les médias déploraient récemment qu’il n’y a plus de Canadiens-français dans l’équipe des Canadiens de Montréal. Certains semblaient même trouver la situation acceptable.

Quelle est la suite logique, quelle sera la prochaine étape qu’on estimera tout aussi acceptable: plus un seul Québécois de souche à la grandeur du Québec?

Serait-ce le triste sort qui nous attend tous?

L’analogie troublante entre les deux situations doit faire réfléchir, sinon réagir.

Parmi tous ceux qui portent actuellement l’uniforme rouge de l’équipe des Canadiens de Montréal, plus aucun n’est canadien (canadien-français, québécois) plus aucun n’est de Montréal ! Les joueurs de l’équipe qu’on appelait jadis les «Habitants» du pays n’en sont plus. C’est quoi ça, un bal costumé? un déguisement d’Halloween?

Faisons maintenant le rapprochement avec le peuple québécois fondateur de la nation: et si toute la population du Québec finissait par devenir composée uniquement d’étrangers qui ne sont pas nés au Québec? Est-ce que ce serait encore le Québec? Quel non-sens!

Est-ce que dans un avenir plus ou moins rapproché le pays du Québec deviendra une coquille évidée de son peuple fondateur? Est-ce qu’alors il ne contiendra plus que des ethniques, encore des ethniques et toujours plus d’autres ethniques…

Assisterons-nous impuissants à la lente substitution de la population de souche peu à peu remplacée par un agrégat impersonnel multi-ethnique et multi-racial qui n’aura plus rien à voir avec le peuple fondateur historique aux caractéristiques bien précises qui ont formé son identité collective distincte?

Entendra-t-on dire de nous: les pauvres, ils s’en sont à peine rendu compte. Ça n’a même pas fait mal. Ils n’ont pratiquement rien senti. Ils n’ont pas senti venir la fin. Ils sont partis comme des petits poulets.

Sans oublier Séraphin Poudrier qui soupirera dans sa tombe: «ça vient d’s’éteindre», en pensant à son pauvre peuple décimé.

S’il faut se résigner à ce qui produit chez les Canadiens de Montréal sans sourciller, faut-il de la même façons se résigner de bonne grâce à ce que le peuple québécois de souche prenne la même voie de sortie?

Faut-il se laisser aller à descendre la pente de la lente atténuation jusqu’à dissolution complète?

On ne peut laisser un pays civilisé comme le nôtre devenir composé en totalité d’un mélange de passagers clandestins, d’irréguliers, de sdf, de migrants illégaux, issus des pires pays du tiers-monde sous-développé économiquement, socialement et mentalement.

Il est à souhaiter que l’exemple de l’équipe du Canadien puisse servir de signal de réveil auprès de la population.

Le club des Canadiens a mis 100 ans pour en arriver là. Dans 100 autres années, la même chose aura-t-elle été accomplie à l’échelle du Québec?

Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec

À propos de l'auteur Vigile.Québec

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