Un crime contre l'humanité: les peuples surpeupleurs

Un crime contre l'humanité: les peuples surpeupleurs

Certains peuples se montrent coupables de surpopulation locale, endogène. D’autres se montrent coupables de surpopulation exogène, débordant à l’extérieur de leurs frontières, par le moyen de l’émigration massive incontrôlée et de la migrance envahissante; ils substituent leur population à celle en place dans le pays visé.

Les deux manières de surpeupler sont aussi condamnables l’une que l’autre en raison de leurs conséquences nocives d’abord sur l’épuisement des ressources environnementales, puis sur les sociétés envahies, provoquant rapidement la saturation de leur capacité à fonctionner à un tel régime.

Certains continents, certains pays, certaines races, certaines ethnies sont plus coupables que d’autres à cet égard. Ce sont eux que les mesures de contrôle internationales doivent viser en premier lieu pour arriver à rétablir un toujours fragile équilibre.

L’ONU et l’OMS ont le devoir de mettre sur pied un programme de régulation des naissances à l’échelle planétaire et de veiller à son application stricte.

La récente expérience de vaccination mondiale contre la pandémie a montré la voie à suivre et donné une expérience précieuse à tous les intervenants concernés. Lorqu’on le veut vraiment, il est possible de s’organiser sur une grande échelle.

Par exemple, les pays (Chine, Inde) et continents (Afrique, Asie du sud-est, Amérique du sud) qui ont plus d’un milliard de citoyens doivent être ramenés à un niveau plus gérable, proportionnel à leurs ressources. Une diminution de l’ordre de 25% serait bénéfique à ces pays pour vivre selon leur capacité.

Les pays qui exportent leurs excédents de population par délestage international (immigration officielle, migrants illégaux, faux-réfugiés, etc.) doivent en être pénalisés par des sanctions économiques appropriées. Tous les ressortissants des 20 dernières années ont le devoir de retourner chez eux pour contribuer à bâtir leur propre société, plutôt que de la fuir honteusement en l’abandonnant à son triste sort. Qu’ils accomplissent leur devoir de citoyen chez eux d’abord.

Aucun ressortissant de pays surpeupleur ne doit être admis dans les pays occidentaux, mettant en danger la démographie native et le niveau élevé de civilisation qui nous est propre.

Comme certains peuples ne possèdent pas la compréhension de la prévention des naissances, ce sera à la médecine et à la science de leur venir en aide pour en arriver à un meilleur contrôle d’un taux de reproduction galopante. On ne peut laisser la chose à la discrétion de chaque individu, car c’est précisément cette permissivité malsaine qui a provoqué le résultat catastrophique qu’est la surpopulation actuelle. Il serait grand temps d’agir de manière responsable.

La Chine avait réussi un certain temps à imposer la limite d’un seul enfant par couple, mais il semble malheureusement y avoir eu relâchement de ce côté.

Des mesures incitatives doivent être mises en place. Par exemple, un couple sans enfant pourra bénéficier de substantielles réduction d’impôts, de subventions d’accès à la propriété, ou une pension de vieillesse largement bonifiée.

Chaque pays responsable se doit d’imposer des conditions et des quotas et prendre les moyens pour les faire respecter, particulièrement chez les personnes qui n’arrivent pas à le faire par elles-mêmes.

La surpopulation due au tiers-monde fait diminuer les ressources de la planète, crée plus de misère, d’ignorance, de violence, de conflits, d’instabilité sociale, de mouvements de population migratoires envahissants, réduit l’habitat naturel de centaines d’espèces animales menacées, provoque la déforestation, engendre toujours plus de pollution. La surpopulation nivèle le tissu social vers le bas. On assiste impuissant à l’explosion des ghettos et des bidonvilles insalubres sources d’épidémies. L’ensauvagement des moeurs, la hausse de la délinquence et des comportements primaires se répandent. Même Paris se fait salir.

Saviez-vous que pour chaque auto électrique vendue en Amérique du nord, 100 autos polluantes s’ajoutent en Inde, et autant en Chine. C’est le surnombre qui réduit à néant les efforts faits pour protéger l’environnement. Chaque fois que quelqu’un veut se donner bonne conscience en achetant une voiture hybride pour sauver la planète, son effort se voit réduit à néant par un facteur de 200 fois!

Toujours en Chine, des dizaines de mégalopoles ultra-densifiées sont entourées en permanence d’un épais halo de smog débilitant. Trop de monde, c’est vraiment pas bon pour personne.

On a tous ressenti l’horreur de voir la situation de contamination pandémique dégénérer en Inde. Trop de monde, trop de monde collés les uns sur les autres, trop de densité populationnelle, trop de promiscuité, pas de discipline collective suffisante, et voilà le triste mais inévitable résultat.

Devant cet état de chose, certaines voix se font entendre à l’effet qu’il faudrait peut-être même se résoudre à ne plus envoyer d’argent sous forme d’aide internationale pour combattre les famines et les sècheresses, car l’effet indésirable est de créer en bout de ligne encore plus de surpopulation. C’est un cercle vicieux. Tout cet argent serait beaucoup mieux investi dans un programme de régulation des naissances, qui est à la véritable source des problèmes du tiers-monde. Faudrait-il laisser la nature qui possède une forme de sagesse particulière équilibrer à sa manière les excès, les surplus dont elle a une sainte horreur?

La surpopulation doit être vue comme l’ennemie numéro 1 de l’avenir de la planète. C’est d’elle que découlent tous les problèmes environnementaux. Réglons la surpopulation en priorité, et l’environnement ne pourra que mieux s’en porter.

Les amateurs de films de science-fiction dystopiques le savent mieux que quiconque: trop d’humains entraîne plus d’humains du tout.

L’ONU et l’OMS pourraient se fixer l’objectif de ramener d’ici 50 ans la population mondiale à 5 milliards comme en 1990 dans un premier temps, puis à 3 milliards comme en 1965 dans un second. Il y aura alors suffisamment à manger et suffisamment de ressources pour faire vivre tout le monde, sans qu’on se marche sur les pieds et qu’on convoite la moindre parcelle de terre pour se répandre au détriment de la planète.

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