Un an de dictature du BigPharMacron pour en arriver au passeport sanitaire

Un an de dictature du BigPharMacron pour en arriver au passeport sanitaire

Le masque est tombé : le covidisme, cette politique sanitaire apparemment incohérente, irrationnelle et dangereuse (il fallait des milliers morts et une psychose pour justifier la dictature), n’était en fait dirigé que vers un seul point, si l’on met de côté la vaccination au profit du Big Pharma, qui n’est qu’un simple calcul économique : le passeport sanitaire, véritable pièce d’identité et d’entrée dans le nouveau monde, ou dans le monde d’après.

Avec le pass S, on est dans le calcul politique, fait d’IA et de contrôle social. De plus, on (Macron et son gouvernement) n’oublie pas les grands sponsors que sont les banques, les assurances et les GAFAM, qui se délectent à l’avance de la masse inimaginable de données qui va leur être confiée via les applis mobiles et autres aspirateurs numériques.
Le coup est double : re-domination politique par la peur, et gestion des gens par les algorithmes. Cédric O, le propagandiste du Numérique, ne cache même pas la gestion du pays par l’IA et pour l’IA. Par ailleurs, s’il dénonce « l’opacité » des algorithmes des réseaux sociaux (une opposition de façade tant les GAFAM sont épargnés par le fisc français), il ne lutte pas contre la dangerosité des algorithmes mais pour leur « transparence »…

C’est comme si on disait : « OK, il y a un lobby sioniste qui ne respecte pas la charte républicaine », et au lieu de le combattre, on essaye de le rendre plus transparent, de le faire entrer dans les textes, de l’officialiser, le normaliser…

La gestion des données personnelles, la surveillance des déplacements, les habitudes de consommation remontées en temps réel, tout est source de profit pour l’économie numérique et le gouvernement. On gagne en argent et en contrôle. À côté de ce supra-calcul, que le Français moyen ne perçoit pas, tout n’est que façade, masque, couverture.

D’ailleurs, le masque, Blachier – l’homme qui parle à l’oreille du Président – vient de reconnaître qu’il ne servait à rien d’un point de vue sanitaire, ce qui veut dire, en creux, que son utilité est politique. Cependant, il faut maintenir la tension, et Le Monde, Pravda sous perfusion de l’État et de la Banque, nous fait le coup de la énième vague :

Quant au flop de la vaccination, ce n’est pas vraiment grave pour le gouvernement et le Big Pharma : 12 à 14 millions de Français ont déjà dû se faire vacciner. Mais c’était le public captif, ceux à qui on n’a pas laissé le choix : les pensionnaires des Ehpad – qui ont servi de détonateur à la psychose –, les fonctionnaires, et les cibles dites fragiles. Qui sont les cibles habituelles du virus de la grippe saisonnière, soit dit en passant.

 

Pfizer n’a pas à s’en faire, la Bourla Inc. a vendu pour des milliards de dollars et d’euros de vaccins, elle va multiplier les piqûres pour ceux qui sont tombés dans le premier piège, et maintenant, elle propose un médicament pour ceux qui sont atteints d’une forme bénigne du Covid… Une façon de revenir au couple hydroxychloroquine-azithromycine du Pr Raoult, c’est-à-dire à la prise en charge des malades dès le départ, et pas à l’arrivée… pour saturer les hôpitaux et crier au loup.

Le Petit Dictateur a donc lâché un agenda de déconfinement, une jolie carotte pour les Français prisonniers depuis 13 mois, mais avec un bâton au bout : le pass S.

Les peuples voient donc arriver le moment où ils devront montrer patte blanche pour entrer dans un lieu ou un commerce non essentiel. Chez nos voisins allemands, le monde d’après a déjà commencé.

 

Là encore, parce que la France est un pays de grognards et de méfiants, la presse aux ordres vient au secours du politique :

 

Les lâches et les complices sont soulagés, les courageux et les lucides lancent l’alerte.

 

Pokemon Go, l’ancêtre du pass sanitaire

Pour bien comprendre ce qui est en train de se passer, nous vous renvoyons à cette réflexion sur le jeu Pokemon Go datant du 22 juillet 2016.

Le réalisateur Oliver Stone s’est insurgé jeudi contre le phénomène Pokemon Go, qui pourrait selon lui conduire à une forme de « totalitarisme » compte tenu de son « niveau d’intrusion » dans la vie privée.

Au premier jour de la grand-messe de la bande dessinée Comic-Con 2016 à San Diego, le cinéaste a affirmé que l’application faisait partie d’une culture plus large du « capitalisme de surveillance ».

Oliver Stone, 69 ans, présentait son nouveau film Snowden, le biopic sur le lanceur d’alerte qui avait révélé l’ampleur des programmes de surveillance d’agences américaines de renseignement. Le film sortira aux États-Unis le 16 septembre et en France le 2 novembre.

« [Google] est l’entreprise qui a eu la plus forte croissance jamais enregistrée, et ils ont investi des sommes d’argent énormes dans ce qu’est la surveillance, c’est-à-dire l’extraction de données », a expliqué Oliver Stone devant le public du festival Comic-Con, auquel il participe pour la première fois.

« Ils explorent les données de toutes les personnes présentes dans cette salle pour savoir ce que vous achetez, ce que vous aimez et surtout votre comportement », affirme le cinéaste, primé trois fois aux Oscars.

Le jeu de réalité augmentée, lancé le 6 juillet, est rapidement devenu la sensation de l’année, bien que très critiqué pour demander à ses utilisateurs l’accès à leur historique Google et à leurs courriels.

Pokemon Go est également accusé d’être responsable d’une vague de délits, de violations de la circulation et d’autres plaintes à travers le monde.

« Vous allez assister à une nouvelle forme de, franchement, société robot, où ils sauront comment vous vous comportez. C’est ce qu’on appelle le totalitarisme », a conclu Oliver Stone.

Avec ce jeu, les organisateurs emmenaient les joueurs où ils voulaient, contrôlaient leurs déplacements en temps réel, pouvaient les attirer à un endroit, les déplacer vers un autre. Le pass S est le premier outil de masse de contrôle social. Le mobile va-t-il devenir l’ennemi du citoyen ?

Bonus : les humoristes rassuristes

Heureusement, il reste les « humoristes » pour faire la retape de la dictature.

Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation

À propos de l'auteur Égalité et Réconciliation

« Association trans-courants gauche du travail et droite des valeurs, contre la gauche bobo-libertaire et la droite libérale. »Égalité et Réconciliation (E&R) est une association politique « trans-courants » créée en juin 2007 par Alain Soral. Son objectif est de rassembler les citoyens qui font de la Nation le cadre déterminant de l’action politique et de la politique sociale un fondement de la Fraternité, composante essentielle de l’unité nationale.Nous nous réclamons de « la gauche du travail et de la droite des valeurs » contre le système composé de la gauche bobo-libertaire et de la droite libérale.

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