Israël : Saisi de la Haute Cour pour stopper le vaccin Covid-19

Israël : Saisi de la Haute Cour pour stopper le vaccin Covid-19

Après une pétition signée par des centaines de citoyens, la bataille juridique pour arrêter les vaccins Covid-19 en Israël, pays ayant le plus haut pourcentage de sa population vaccinée avec ces vaccins expérimentaux, entre dans une nouvelle phase.

Dans un communiqué de presse du 30 mars, le Dr Hervé Seligmann, membre de la faculté de médecine des maladies infectieuses et tropicales émergentes d’Aix-Marseille Université et l’ingénieur Haim Yativ ont déclaré avoir déposé une requête auprès de la Haute Cour israélienne (Bagatz 2205/21) afin de tenter d’arrêter la vaccination Covid19 en Israël. Il s’agit d’une nouvelle étape dans la bataille juridique pour « arrêter les vaccins et protéger les enfants et les citoyens d’Israël », car il existe une autre voie.

Dans une nouvelle analyse des données publiées par le ministère israélien de la santé, le Dr Seligmann et M. Yativ avaient révélé, en résumé, que le vaccin expérimental à ARNm de Pfizer avait tué « environ 40 fois plus de personnes (âgées) que la maladie elle-même n’en aurait tué » au cours d’une récente période de vaccination de cinq semaines. Chez les plus jeunes, ces chiffres s’ajoutent à des taux de mortalité 260 fois supérieurs à ce que le virus Covid-19 aurait fait dans le laps de temps donné.

La première étape de leur bataille pour arrêter les vaccins Covid a été une pétition faite au nom du Dr Seligmann, MZ best of life, et de centaines d’autres citoyens pour l’organisation « Clean Israel ». Visant le ministre de la santé, le directeur général du ministère de la santé, le procureur général du ministère de la santé, le premier ministre, le procureur général, le cabinet national d’experts conseillant les forces de défense israéliennes, le gouvernement et le chef de l’équipe de recherche (Dr Ran Blitzer), la pétition déposée demande également une ordonnance provisoire.

Dans une lettre datée du 21 mars 2021 et publiée sur le site Nakim.org, le Prof. Luc Montagnier, Prix Nobel de Médecine, exprime son soutien à la demande du Dr Seligmann et de l’ingénieur Haim Yativ pour la suspension de la vaccination Covid-19. Il s’adresse au Président, aux juges de la Cour suprême de l’Etat d’Israël.

Cette lettre est à l’appui de la pétition pour la suspension de la vaccination contre Covid-19 qui vous a été présentée par MM. Yativ et Seligmann.

Je suis Luc Montagnier, docteur en médecine, professeur émérite à l’Institut Pasteur de Paris, directeur de recherche émérite au CNRS, prix Nobel de physiologie ou de médecine pour la découverte du virus SIDA.

Je suis un expert en virologie, ayant consacré une grande partie de mes recherches aux virus ARN, en particulier l’encéphalomyocardite de la souris, le virus Rous sarcome, le VIH 1 et le virus VIH2.

Des efforts considérables ont été consacrés à la vaccination contre le coronavirus covid-19 responsable d’une pandémie mondiale. En particulier l’État d’Israël a organisé une vaccination de masse de sa population à ce jour, 49% de sa population totale a reçu deux doses de vaccin Pfizer.

Je voudrais tout d’abord souligner la nouveauté de ce type de vaccin.

  • Dans des vaccins conventionnels, l’information génétique transportée par l’ADN ou l’ARN viral est inactivé et les protéines du virus sont utilisés pour induire les anticorps du vaccin. Dans certains cas, le virus reste vivant, mais est atténué par des passages successifs in vitro.
  • Dans le cas des vaccins dits messagers ARN, ces vaccins sont faits d’une fraction active de l’ARN du virus qui sera injecté chez la personne vaccinée. Il pénètre donc les cellules de ce dernier qui fabriqueront les protéines vaccinatrices à partir du code de l’ARN injecté.
    On voit tout de suite que cette dernière étape dépend beaucoup de son succès sur l’état physiologique du receveur.

Je voudrais résumer les dangers potentiels de ces vaccins dans une politique de vaccination de masse.

1. Effets secondaires à court terme : ce ne sont pas les réactions locales normales que l’on trouve pour n’importe quelle vaccination, mais les réactions sérieuses mettent en jeu la vie du destinataire comme les  chocs anaphylactique lié à un composant du mélange vaccinal, ou des allergies graves ou une réaction auto-immune jusqu’à l’aplasie cellulaire.

2. manque de protection vaccinale :

2.1 induction d’anticorps facilitant – les anticorps induits ne neutralisent pas une infection virale, mais au contraire la facilitent selon le destinataire. Ce dernier peut avoir déjà été exposé au virus de manière asymptomatique. Un faible niveau d’anticorps induits naturellement peut rivaliser avec les anticorps induits par le vaccin.

2.2 La production d’anticorps induits par la vaccination dans une population fortement exposée au virus conduira à la sélection de variants résistants à ces anticorps. Ces variants peuvent être plus virulents ou plus transmissibles. C’est ce que nous voyons maintenant. Une course sans fin de virus-vaccin qui tournera toujours à l’avantage pour le virus.

3. Effets à long terme : Contrairement aux affirmations des fabricants des vaccins à ARN messager, il existe un risque d’intégration de l’ARN viral dans le génome humain. En effet, chacune de nos cellules a des rétrovirus endogènes avec la capacité de faire la transcriptase inverse de l’ARN dans l’ADN. Bien qu’il s’agit d’un événement rare, on ne peut exclure son passage par l’ADN des cellules germinales et sa transmission aux générations futures.

« Face à un avenir imprévisible, il vaut mieux s’abstenir. »

Professeur Luc Montagnier

Le gouvernement israélien, quant à lui, a fait les gros titres lorsqu’il introduit un système de « passeport vert » qui permet aux personnes vaccinées (et non à celles ayant un test négatif au virus) de retrouver l’accès aux restaurants, aux lieux de divertissement, aux activités et aux événements. Bien qu’il n’existe aucune preuve que ces vaccins expérimentaux empêchent réellement la transmission du virus, le ministre israélien de la santé, Yuli Edelstein, a déclaré lors de la publication du « passeport » vaccinal que « (se) faire vacciner est un devoir moral. Cela fait partie de notre responsabilité mutuelle ». Il est allé plus loin en déclarant : « Quiconque ne se fait pas vacciner sera laissé pour compte. » Le certificat vert doit être renouvelé tous les six mois et, même en possession de ce laissez-passer, une personne doit toujours se conformer aux règles de port du masque et de distanciation physique. Le Jerusalem Post rapporte également qu’une législation est envisagée pour accorder aux employeurs le droit de refuser l’entrée sur le lieu de travail aux personnes non vaccinées.

The post Israël : Saisi de la Haute Cour pour stopper le vaccin Covid-19 appeared first on Children's Health Defense Europe.

Source : Lire l'article complet par Children's Health Defense Europe

Source: Lire l'article complet de Children's Health Defense Europe

À propos de l'auteur Children's Health Defense Europe

CHD Europe vise à protéger les enfants, vous invite à explorer davantage pour que vous soyez libre dans vos choix, poursuit son plaidoyer européen et ses actions en justice, partage des informations clés, des stratégies et des actions, surveille et expose l’agenda international qui concerne notre santé à tous. Notre avenir est entre notre Mains.

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Recommended For You