Le Brésil et plusieurs pays bloquent l’administration Biden sur l’avortement à l’ONU

Le Brésil et plusieurs pays bloquent l’administration Biden sur l’avortement à l’ONU

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : konferenzadh/Pixabay

Le Brésil de Jair Bolsonaro, appuyé par nombre de pays pour qui la protection de l’enfant à naître importe, a mis en échec les États-Unis de Joe Bidon et l’Union européenne qui cherchaient à faire adopter par l’ONU des termes pro-avortement afin de promouvoir cette pratique à travers le monde, selon C-Fam :

Les groupes d’avortement n’ont fait aucun progrès au siège de l’ONU lors de la première conférence des Nations Unies sur les femmes depuis que Joe Biden a prêté serment en tant que président des États-Unis.

Les pays qui se sont alignés sur la diplomatie pro-vie américaine il y a seulement quelques semaines, lorsque Donald Trump était à la Maison-Blanche, ont bloqué les efforts de l’administration Biden et de l’Union européenne pour inclure des termes controversés liés à l’avortement et un langage explicitement pro-avortement dans l’accord annuel de la Commission des Nations Unies sur la condition féminine.

L’accord final de la commission, connu sous le nom de « conclusions concertées », ne retenait qu’un seul paragraphe sur « la santé sexuelle et procréative et les droits en matière de procréation » et un sur l’éducation à la « santé sexuelle et procréative », le même que le dernier accord de la commission.

[…] Les pays conservateurs ont refusé d’autoriser les États-Unis et l’UE à faire adopter à toute vitesse le langage controversé sur les droits sexuels qui serait utilisé par les agences des Nations Unies pour promouvoir l’avortement, les droits LGBT et l’autonomie sexuelle des enfants.

Au cours de l’administration Trump, le Brésil s’est placé derrière les efforts diplomatiques pro-vie des États-Unis, mais lors de la Commission sur le statut de la femme, le Brésil a insisté sur le fait que toute référence à la « santé reproductive » ou aux « droits reproductifs » devrait être qualifiée pour exclure le droit à l’avortement.

L’héritage de Trump face au pro-avortement président Bidon :

Quelques semaines à peine après le début de sa présidence, Biden a adopté un décret ordonnant aux diplomates américains de promouvoir l’avortement aux Nations Unies en février. L’ordonnance engage le gouvernement américain à promouvoir « la santé et les droits sexuels et reproductifs », une expression inventée par le lobby mondial de l’avortement pour contourner la politique établie de l’ONU contre un droit international à l’avortement.

Les diplomates américains ont vigoureusement promu cette nouvelle expression dans les négociations de la commission ces dernières semaines, mais n’ont pas réussi, en grande partie à cause des pays qui ont travaillé avec l’administration Trump pour développer une stratégie visant à bloquer un droit international à l’avortement.

Source : Lire l'article complet par Campagne Québec-Vie

Source: Lire l'article complet de Campagne Québec-Vie

À propos de l'auteur Campagne Québec-Vie

Campagne Québec-Vie est une association québécoise qui travaille de concert avec tout individu ou association de bonne volonté, à l’établissement d’une société chrétienne qui protège la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle.CQV a trois objectifs : i) Promouvoir la reconnaissance, par les représentants de tous les corps sociaux, y compris ceux de l’État, de la nécessité du christianisme, en tant que seule religion intégralement vraie, pour une réalisation pleine et entière du bien commun ; ii) Promouvoir la reconnaissance du fait que la foi chrétienne est raisonnable, et que la raison soutient la foi et la morale chrétiennes ; iii) Promouvoir le respect de la vie humaine depuis la conception jusqu’à la mort naturelle ainsi que les droits de la personne et de la famille ;CQV œuvre à instaurer une « Culture de Vie », c’est-à-dire que nous favorisons, en manifestant, en organisant des colloques, en diffusant des nouvelles par Internet et offrant de l’aide aux femmes enceintes en difficulté, le développement d’une société dont les lois et les mœurs concourent, entre autres, à la reconnaissance du droit à la vie de toute personne humaine, de la conception à la mort naturelle, ainsi qu’à la reconnaissance de la famille traditionnelle (homme, femme, et les enfants qui découlent de leur union aimante) comme lieu privilégié pour l’épanouissement de la personne humaine.

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Recommended For You