Les Québécois ne sont pas racistes, ils sont tout simplement nationalistes

Les Québécois ne sont pas racistes, ils sont tout simplement nationalistes

Les Québécois ne sont pas racistes, ils sont tout simplement nationalistes.

Être nationaliste, c’est aimer nos semblables, ceux qui nous ressemblent, ceux qui vont dans le même sens que nous, en un mot, les nôtres. C’est tirer fierté de l’endroit précis où on a vu le jour et grandi. C’est s’aimer en tant que membres d’un même peuple.

Aimer sa patrie est un sentiment naturel, normal, hautement désirable.

Il se trouve à la base du sentiment élémentaire d’appartenance à sa nation, celui qui fait qu’on se sent bien avec des gens à notre image, des gens qui nous rassurent de par leur simple présence, par leur air familier.

Des gens qu’on veut avoir pour voisins, avec qui on peut avoir une vie de quartier, des personnes avec qui on veut se marier, fonder une famille et élever des enfants, des gens qu’on veut cotoyer et avec qui on veut travailler et bâtir, des gens qu’on veut aider lorsqu’ils sont dans le besoin.

Des gens avec qui on rit et s’amuse. Des gens qui entendent à rire et s’amuser. Des gens qui rient des mêmes choses. Des bons vivants de par chez nous.

Les nôtres, ce sont des gens avec qui on a une majorité de points en commun, ceux avec qui on finit généralement par s’entendre sur les points essentiels, ceux avec qui on a le plus à partager, ceux en qui on se reconnaît. En un mot, ce sont des gens avec qui il est possible de vivre à la québécoise. C’est sentir qu’on appartient à la même identité culturelle.

Que ce soit au niveau des moeurs et des coutumes, du système de valeurs, du système politique en place, de la vie en société, des visées à long terme, de l’importance de la famille, de notre langue maternelle le français, du désir de préparer un pays bien à soi, toutes ces choses font de nous une entité tricotée serrée, pour reprendre cette jolie expression qui nous rattache au passé de nos ancêtres dont nous sommes les descendants reconnaissants.

Appartenir à une longue lignée ramifiée, voilà un autre élément qui nous rapproche et nous soude. Nous sommes un peuple de continuation, qui se perpétue de génération en génération, par la transmission inter-générationnelle. Nous possédons un passé mémorable, des héros et modèles, une histoire multi-séculaire fertile en rebondissements et coups d’éclats.

Nous devenons de plus en plus enracinés en sol natal; nos racines s’entrecroisent, se fortifient et produisent chaque année de nouveaux fruits. C’est l’attachement à la terre, au pays.

Nous sommes demeurés ce que nous sommes parce que nous ne nous sommes jamais résignés à se laisser assimiler. Nous savions qu’il y avait beaucoup trop à perdre. Nous avons tenu bon. Nous avons réussi à sortir vainqueur de toutes les épreuves, de tous les obstacles mis en travers de notre chemin, grâce à notre résilience collective, parce que nous formons un vrai peuple, une vraie nation qui tient à vivre et survivre.

Comprenant cela, on voit très bien que les Québécois ne sauraient être accusés de racisme, d’aucune façon. Non, les Québécois se tiennent les coudes, ils protègent leurs acquis, bref, ils sont nationalistes, et c’est très bien ainsi, très bien.

Cela explique qu’on puisse afficher une certaine résistance parfaitement légitime à un certain type d’immigration tiers-mondiste massive venant des pays les plus sous-civilisés de la planète, dont les ressortissants se montrent incapables non seulement d’intégration rapide, mais qui par-dessus le marché tentent d’implanter ici pratiques et coutumes barbares et condamnables, même lorsqu’on leur fait savoir que la chose est malvenue.

Ne nous laissons pas manger la laine sur le dos. Ne nous laissons pas dénaturer, effriter, diviser, amoindrir, rapetisser.

Les Québécois doivent continuer à défendre le type de société qu’ils privilégient, leurs façons de faire et d’être, leur langue, leur caractère unique et distinct de tous les autres. C’est ce qui fait notre force, c’est ce qui nous sert de point d’ancrage, c’est ce qui nous recentre au besoin.

Par-dessus tout, les Québécois désirent que leur nation reste authentiquement québécoise.

Et ils ont tout à fait raison de le penser. Personne, non personne, n’a le droit de s’opposer à leurs aspirations légitimes en cherchant à leur mettre des bâtons dans les roues, à les fragmenter, à les désincarner.

Le futur pays du Québec nous appartient déjà et depuis toujours, en-dedans comme en-dehors.

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À propos de l'auteur Vigile.Québec

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