C’est l’oseille, l’impunité qu’elle achète dans presque tous les registres et ce pouvoir qu’elle procure sur la matière et les êtres qui déglingue le ciboulot. Et comme au-delà des personnes que l’on torture pour en obtenir quelque chose, tous les emmanchés ont un prix…
Reste juste à savoir quel est le nôtre quand on voit autant de gus porter de masques à « 135 balles » le défaut.
Par ailleurs, à l’heure de l’Internet, combien de « putaccia » (de tous âges et de tous lieux) sur Onlyfans et autres « Cam shows » pour gagner deux fois le salaire moyen français sans avoir besoin de redoubler les anciens CPPN et SES et autres SEGPA contemporains ?
Plus loin, la période se voulant narcissique à l’extrême, si autrefois se présentaient à la porte du « boudoir » pour livrer leurs courbes à l’objectif, de la belette allant de majeure à vingt-cinq piges ou, à tout le moins, jusqu’à ce qu’elle se case avec un lascar, aujourd’hui les demandes de « commissions » ou « collaborations » démarrent à l’âge indiqué en titre de l’article, pour s’envoler à celui de la retraite passée, au gré de thèmes à faire pâlir un libertin à la papa, du fait de la surenchère, là où d’aucuns auraient cru que le smartphone, machine à selfies, allaient plier le boitier numérique comme ce dernier avait enterré l’argentique (qui ne subsiste dans l’utilisation courante, que chez quelques gonzes se qualifiant de puristes (comme les mélomanes astiquant leurs craquants vinyles)).
Ce qui signifie que, dans notre contemporanéité, si tant est que vous ne respectiez pas la loi, vous pourriez réaliser un « book » olé olé de votre fille pré-ado, de sa sœur majeure, de votre maîtresse du même âge, de votre femme, de votre mère et de votre grand-mère et de leurs copines dans une même temporalité cependant qu’il n’y a pas si longtemps, cela se limitait, comme nous l’avons vu, au panel restreint du passage à l’âge adulte, pour égayer les fantasmes des Pierpoljack, hommes modernes. Le reste et ses spécialités demeurant alors à la marge et de l’ordre du confidentiel.
Pourtant affûté en la matière et égrillard à souhait qu’aucune morale ne réprouve, j’avoue être écœuré au sens physiologique du terme de tant de « matière » étalée sans subtilité aucune, où la quantité a damé le pion à la curiosité, pour ne pas dire rareté. Et ceci sans miser un fifrelin puisque, à l’inverse, c’est moi qui encaisse.
Aussi imaginez ceux qui investissent leurs milliards sur la moindre promesse d’élévation au pinacle des m’as-tu-vu…
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