Seule solution, la société d’équilibre.
Le capitalisme est un moyen, pas une fin.
Maintenant, dans un monde réduit à quelques entreprises étatiques, ou plutôt à quelques entreprises -Etats….quand l’état et l’entreprise se chevauchent,se confondent si entièrement dans leurs desseins qu’on ne peut guère les distinguer.
La société d’équilibre devient aussi leur intérêt, car c’est pour eux la promesse de profits(et de pouvoirs) incommensurablement durables.
Tant que durera l’équilibre,les profits et le pouvoir perdureront.
Ce n’est pas un « reset » , quelque soit la traduction qu’on lui accorde.
C’est une rationalisation et une normalisation des systèmes de production/distribution.
On arrive à un moment ou certains aimeraient bien rendre la situation définitive pour quelques siècles.
Ceci conjugué aux désastres annoncés, c’est effectivement une solution viable.
Maintenant, que propose t’on en face ? le « réveil » des peuples » ?, quelques injonctions Christiques ou religieuse ? une révolution ? un sursaut de démocratie ?
Il n’en demeure pas moins qu’un petit moyen age arrive…de gré ou de force.
Le progrès montre ses limites, sinon dans son évolution, au moins dans son dégrée d’application.
On arrive encore une fois dans une de ces périodes où la population dépasse l’infrastructure, on peut appeler ça comme on veut, c’est toujours la même réalité qui s’impose.
Encore une fois,il faudra régresser, réagencer, rationaliser, etc, pour pouvoir repartir.
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