Le médecin généraliste face au vaccin : d’accord ou… d’accord

Le médecin généraliste face au vaccin : d’accord ou… d’accord

Seulement, en dessous, il n’y avait qu’une seule case à remplir : une case pour dire, d’une manière générale, que je donnais mon accord pour la vaccination anti-SARS-CoV-2 de mes patients. J’avais l’impression de me trouver dans un choix offert sous une régime totalitaire, où il n’y avait qu’une seule manière de voter ».

Confronté à cette feuille de demande d’autorisation de donner le produit injectable expérimental à sa patiente, le médecin traitant a indiqué dessus :

« [Que cela soit bien clair], Je soussigné, Dr. XXX  XXX , [N’] »autorise » »PAS » (où le « Que cela soit bien clair », « N’ » et le « PAS » ont dû être ajoutés entre les mots dans la phrase) que la vaccination contre le COVID-19 soit effectuée pour mes patients. Concerne la patiente XXXXX ».

Consterné, le médecin traitant a également indiqué sur la feuille prévue pour l’autorisation de la vaccination  :

« Où est la case pour dire qu’évidemment ma patiente n’est pas candidate pour cette expérimentation ? »

Pour s’assurer que son indication de ne pas la vacciner soit suivie par l’équipe du home, le médecin a encore mis : « Elle a déjà eu le Covid-19, lui donner ce produit est très dangereux ! »

« C’est surtout cette dernière phrase qui a suscité discussions et inquiétude chez les infirmiers qui avaient vu le message, car dans ce Home de Repos et de Soins on vaccinait les personnes qui avaient eu le Coronavirus autant que celles qui ne l’avaient pas eu. Il y a en fait très peu de recul expérimental pour affirmer si les patients qui avaient déjà fait le Covid-19 étaient plus à risque ou non de développer des effets secondaires : ce qu’on peut raisonnablement dire, c’est que le ratio-bénéfice/risque est nettement moins en faveur de la vaccination de ces personnes (car elles ont déjà une immunité naturelle), et qu’il y a plus de risques de créer un état douloureux d’inflammation iatrogène chez les personnes qui ont récemment fait la maladie.

Le danger est de donner des thérapies géniques présentées comme des vaccins contre un Coronavirus, à des personnes âgées, sachant que ces techniques n’ont pas encore passé des épreuves précliniques sur les animaux. Cela relève d’un risque qu’on ne peut pas se permettre. La réalité est que ce virus est surtout dangereux par la réaction inflammatoire qu’il peut provoquer chez certaines personnes à risque : cela doit être traité au cas par cas, avec les bons traitements qui existent. La solution n’est pas de « faire la guerre contre ce virus », en développant dans un temps record des vaccins expérimentaux contre un Coronavirus peu immunisant, sachant, en médecine vétérinaire, qu’on a déjà essuyé 30 ans d’échecs cuisants, et que les essais sur les animaux pour développer des vaccins contre les SARS-Coronavirus ont donné des réactions bien pires d’inflammation, quand les animaux étaient exposés à de nouveaux SARS-virus après leurs « vaccinations ». Cela relève du bon sens médical Hippocratique, qui malheureusement se perd dans nos universités de nos jours.

En tout cas, le médecin coordinateur du home était tellement outré par mes remarques sur la feuille « d’autorisation de vacciner », qu’il a pris son téléphone immédiatement et a bruyamment exprimé son exaspération contre moi, le médecin traitant récalcitrant, utilisant des adjectifs peu confraternels et exprimant son intention de porter cette attitude « non scientifique » devant l’Ordre des Médecins… »

Un médecin anonyme

source : https://www.kairospresse.be/article

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À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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