« J’ai payé pour ce président »

« J’ai payé pour ce président »

S’il est une « théorie de la conspiration » qui vaut son pesant de $millions et de $millions de vrais et bons dollars estampillés « China Inc. », c’est bien celle qui fait de la « Famille Biden » (« Famille » au sens pérenne de La Cosa Nostra) une entité intimement liée comme on est ligoté au PCC (Parti Communiste Chinois). Appuyés sur leur immense sagesse confucéenne de la pratique d’une spiritualité arrangeante aussi bien que de la gestion des très-basses œuvres du genre humain, les Chinois du PCC montrent la pérennité de l’immémoriale habileté de l’Empire du Milieu à manipuler à son avantage la pratique universelle de la corruption.

Dans ce domaine qui est un art (de la corruption) qu’ils prétendaient maîtriser dès l’origine, les États-Unis montrent aujourd’hui de façon éclatante qu’ils ont trouvé leurs maîtres (chinois) avec la prochaine prestation de serment de Joe Biden à la présidence des loques de la Grande République. Les Chinois sont des artistes d’antique sagesse là où les canailles de l’américanisme croyaient tenir la clef du business, – et les artistes l’emportent. Joe Biden, Ol’White Joe, est un pion gâteux mais très-utiles puisque bien tenu de China Inc., de la Chine transmutée pour l’occasion en une sorte de « Syndicat du Crime » globalisé et extrêmement habile, façon-chinoise… Tant il est vrai qu’avec la prestation de serment du 20 janvier, c’est à la clique Biden, avec la tonitruante casserole Hunter Biden, que les USA se donnent simplement parce que leur nouveau « président » apaise momentanément leur obsession panique et couarde, et leur haine absolument confondante et pathologique, cette fois portées à l’incandescence par l’insupportable Donald J. Trump. Ol’White Joe a été choisi pour une seule mission, une seule politique et une seule vertu de vieux corrompu : virer Trump.

On connaît l’estime conditionnelle mais réelle et de plus en plus marquée que je recommande de porter au travail de Jonathan Turley, la star incontestable sur l’internet de l’observation juridique et légaliste des événements du système de l’américanisme, de Washington D.C. à « D.C.-la-folle ». Pour cette raison, je pense qu’on peut approcher de la vérité-de-situation à ce propos, en acceptant pour assez proche d’icelle et donc tout à fait fondée la « théorie de la conspiration » concernant Hunter Biden ; d’autant plus qu’en plus d’être corrompu, Hunter fait des tâches partout, camé à mort, pratiquant les putes, incontrôlable casserole effectivement…

Or donc, cette catastrophique casserole que traîne Ol’White Joe, de la Chine à l’Ukraine et retour à la Chine, a été très largement sinon massivement suivie par Turley, qui juge que c’est présentement l’affaire la plus grave autour de Biden ; qu’il s’agit du scandale qui, dès le début, tiendra sous son ombre l’administration Biden ; qui est ce par quoi, plutôt que par les habituelles valoches qui n’ont plus guère de place chez Joe, la Chine et le PCC tiennent fermement la ‘Famille Biden’, président compris.

Je crois qu’on peut avoir une bonne idée du jugement et de la documentation de Turley en égrenant les articles qu’il a consacrés à l’affaire, notamment et surtout depuis les formidables révélations du 14 octobre 2020 du New York Post, d’abord censurées par le Système, puis confirmées par l’ouverture d’une enquête fédérale à l’encontre de Hunter Biden…

(Pour prendre quelques références récentes depuis l’officialisation de la pseudo-« théorie de la conspiration » avec l’ouverture de l’enquête fédérale, voir les textes de Turley le 9 décembre 2020, le 14 décembre 2020, le 15 décembre 2020, le 18 décembre 2020, le 21 décembre 2020, le 23 décembre 2020, le 26 décembre 2020… Entre autres.)

Tout cela pour plaider de façon très précise qu’il faut prendre au sérieux, non seulement et pas vraiment la casserole-Hunter examinée par le FBI, – on peut toujours s’arranger, entre Ol’White Joe et le FBI, – mais le fait des liens des Biden avec la Chine, par conséquent la mainmise effective de la Chine sur le nouveau président, par conséquent la perspective de la prestation de serment de Xi le 20 janvier prochain à Washington D.C.

Je crois encore que le texte (du 5 janvier 2021) de Streiff, sur le site RedState.com, donne un excellent résumé des positions respectives de Biden et de la Chine, et de la façon dont la Chine tient, sans nécessité de « valoches » donc, le très-prochain nouveau président des États-Unis. (Streiff, qui signe par son seul nom, est l’actuel éditeur du site, actif depuis 2004 dans le commentaire. RedState.com est un site conservateur, modérément pro-Trump mais surtout critique des caciques et gérontes du GOP.)

Voici donc le texte, publié sous le titre montrant que nous sommes dans les affaires sérieuses, de « La Chine annonce qu’elle a gagné l’élection de 2020 et s’attend à récupérer ses retours sur investissements » Dans le texte, Joe est désigné sous l’expression, qu’on retrouve dans divers documents ex-« secrets » montrant les collusions et corruptions des Biden via Hunter Biden, de « Great Guy ». L’adaptation, soufflée par l’excellent moteur de traduction DeepL de « Grand Manitou » m’a paru correspondre parfaitement à l’esprit de la chose ; on l’a donc adoptée pour l’adaptation du texte…

La Chine annonce qu’elle a gagné l’élection de 2020…

Dès les premiers jours de la campagne 2020, il était assez clair que la Chine allait tout mettre en œuvre pour conforter les chances que Joe Biden emporte la présidence. Ce n’est pas exactement un secret. Grâce au trafic d’influence du « Grand Manitou », Hunter Biden a conclu un accord avec un membre important du Parti communiste chinois d’une valeur de plus d’un $milliard (avec « ard » à la fin), probablement en snifant des lignes de coke sur le ventre d’une prostituée. Étant donné la nature symbiotique de la « Famille »  mafieuse que sont les Biden, il est difficile de croire que Hunter Biden n’a pas partagé une partie des bénéfices avec son oncle, James Biden, et, comme il l’avait fait dans le passé, avec le « Grand Manitou ».

Le désir de la Chine de voir Joe Biden élu était si prononcé que même notre communauté du renseignement, qui semble incapable de faire beaucoup plus que de marmonner “Russie, Russie, Russie”, a dû s’asseoir et prendre note.

 « Nous estimons que la Chine préfère que le président Trump – que Pékin considère comme imprévisible – ne soit pas réélu. La Chine a renforcer ses efforts d’influence avant novembre 2020 pour façonner l’environnement politique aux États-Unis, faire pression sur les personnalités politiques qu’elle considère comme opposées aux intérêts de la Chine, et détourner et contrer les critiques à son égard. Bien que la Chine continuera à peser les risques et les avantages d’une action agressive, sa rhétorique publique au cours des derniers mois est devenue de plus en plus critique à l’égard de la réponse de l’administration actuelle au COVID-19, de la fermeture du consulat chinois de Houston et des actions entreprises sur d’autres questions. Par exemple, il a sévèrement critiqué les déclarations et les actions de l’administration concernant Hong Kong, TikTok, le statut juridique de la mer de Chine méridionale et les efforts de la Chine pour dominer le marché 5G. Pékin reconnaît que tous ces efforts pourraient affecter la course à la présidence ». 

Aujourd’hui, la Chine a publiquement apposé sa marque de conformité de type-USDA sur le morceau de viande avariée qui semble promis à devenir le prochain président :

« Les responsables chinois pensent que le président élu Joe Biden « rétablira la normalité » dans les relations entre les États-Unis et la Chine – en affirmant qu’une « nouvelle fenêtre d’espérance » s’ouvre avec le départ de l’intransigeante administration Trump. »

« Les relations sino-américaines sont arrivées à un nouveau carrefour, et une nouvelle fenêtre d’espérance s’ouvre’, a déclaré le ministre chinois des affaires étrangères Wang Yi dans une interview à la chaîne publique CGTN. »

« Nous espérons que la prochaine administration américaine reviendra à une approche raisonnable, reprendra le dialogue avec la Chine, rétablira la normalité des relations bilatérales et relancera la coopération, a-t-il poursuivi. »

Comme je l’ai mentionné plus tôt dans la journée [le 6 janvier], le fait que la Chine tienne Biden est connu (CNN admet désormais que Trump était très dur avec la Russie mais introduit d’autres mensonges dans la description du processus qui suivra avec Biden). On pourrait penser que le fait d’afficher ouvertement sa loyauté envers la Chine pourrait rendre moins probable une soumission ouverte à l’Empire du Milieu. Ce n’est pas le cas de Biden. Les Chinois ont tous les détails, les documents et les enregistrements des actes de Biden pendant son séjour en Chine. Si vous pensez qu’il n’existe aucune vidéo de Hunter Biden se livrant à des activités douteuses, je soutiendrais que vous êtes délibérément aveugle quant à la nature bien établie de Hunter Biden. Si le Grand Manitou se met en travers de la route de Xi, alors Hunter ira en prison [du fait des révélations et des documents qui seront rendus publics par l’une ou l’autre voie].

La Chine reprendra ses activités agressives dans la mer de Chine méridionale et contre Taïwan et l’Inde. Elle protégera la Corée du Nord de toute répercussion de ses actions. Elle reviendra au vol à l’échelle industrielle de la propriété intellectuelle américaine. Elle développera son recours à l’esclavage pour alimenter certaines entreprises américaines. Elle continuera à intimider et à corrompre les ressortissants chinois qui vivent ou vont à l’université aux États-Unis. Tout comme Ronald Reagan exigeait la parole parce qu’il « avait payé  pour ce micro ».

Nous pouvons probablement nous attendre à voir Xi annoncer que la Chine suivra telle politique spécifique dans tel domaine et voir les États-Unis ne pas interférer parce qu’ « il a payé pour le président ». 

Streiff

Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec

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