Nous vivons en dictature, point barre !

Nous vivons en dictature, point barre !
Nous vivons en dictature, point barre. Arrêtez les violons. Arrêtez vos commentaires frileux, craintifs, pusillanimes : selon vous, selon Bruno Barthez, nous nous dirigeons lentement vers un « totalitarisme » en gants blancs : un de ces phénomènes chics, que l’on dissèque en ville dans les dîners un peu snobs.
Histoire de faire frissonner de peur les convives. Enfin pas trop. Où des professeurs de sciences politiques de l’ordre établi, hors sol, n’ayant jamais subi une seule dictature de leur vie, tartinent la vérité officielle sur le sujet. Publiant, aux Presses Universitaires de France, de gros manuels à destination de leurs étudiants, tout aussi ignorants que leurs maîtres.

Bien sûr, dans la liste, il y a Raymond Aron. Mais hier, avec Nicolas Plagne, nous critiquions aussi les écrits de W Marrus, dont j’ai lu les pâles ouvrages sur le Gouvernement de Vichy. Nicolas disait : « auteur typique des sciences politiques conformistes libérales humanitaires faciles qu’on a promu pour dissoudre les États » (sic). Et j’ajouterai : « européiste, anti communiste, anti pensée critique ».

Rien de plus juste. Le pire, c’est que SUR LES RESEAUX SOCIAUX, NOUS SOMMES TOUS DES RAYMOND ARON, DES MARRUS, à euphémiser, pratiquer le déni de la réalité extra-ordinaire, dans laquelle nous vivons aujourd’hui. Alors que notre rôle est de faire de la contre information de qualité, nous nous conduisons comme Raymond Aron et ses livres boursouflés et irréels sur le « totalitarisme ».

En effet, de quoi nous bassine-on en ce moment ? Macron a oublié de nous souhaiter « Joyeux Noël ». Même André Bercoff, avec son talent habituel, y va de son tweet ironique, estimant que le poudré ne connait, ni la France, ni la fête de Noël. Dans le même registre facile, inoffensif, je me souviens du mot du petit banquier, disant méchamment aux salariés licenciés de GM&S venus le voir à Ussel : « JE NE SUIS PAS LE PERE NOEL ! »(sic). Pas étonnant qu’il rate la fête de Noël 2020, tout comme il a raté la fête de Noel 2019, sans que personne en s’en émoie.

Mais, est-ce que c’est le moment de faire de bons mots sans importance ? Ne pas voir plus loin que la fête de Noël ? Certes très importante pour les enfants et les parents : mais, disons le, sans incidence politique profonde. Comme écrivait Anglo Rinaldi : « pour un bon mot, on est prêt à tuer symboliquement son meilleur ami ». De la même façon, pour un bon mot, on est prêt à porter des oeillères sur la réalité politique actuelle.

Il faut redescendre sur terre. Les faits, rien que les faits : rien qu’en trois jours, que nous disent-ils ?

-Décret visant à faire des non vaccinés des citoyens d’importance secondaire.

-Décret réglementant la déontologie de praticiens médicaux comme Christian Perronne : en clair, notre professeur de médecine préféré avec Didier Raoult et Nicole Délépine, doit se taire, et je suis polie.

-Loi assignant en justice les lanceurs d’alerte, qui auront sorti quelques vérités : c’est à dire nous tous, sur Médiazone, Facebook et sur Tweeter.

Autant de lois et décrets s’ajoutant à la mise à mort de notre droit constitutionnel de manifester, devenu peau de chagrin. Dans l’indifférence générale de la « gôche » parlementarisée. Corrompue. Et alors que les télés au ordres nous parlent de « troisième confinement » (sic).

Nous vivons une dictature très sévère. Une mise au pas. Globale. Car il n’y a pas que la dictature sanitaire à se mettre en place. La mise à mort du droit de manifester, l’assignation en justice des lanceurs d’alertes portent atteinte au champ intellectuel proprement dit. Et à la liberté d’opinion, une liberté que Victor Hugo mettait très haut dans son Panthéon personnel. Un lessivage incroyable des têtes et des coeurs.

Une « nouvelle page blanche. » En ce moment, je pense beaucoup aux cambodgiens de 1975. L’arrivée des Khmers rouges à Phnom Pen. Quand la ville fut complètement vidée de ses habitants en deux heures. Les petits citadins, secrétaires manucurées, condamnés à remuer la terre. Résultat : trois millions de morts.

Mais « le grand reset », qu’est-ce que c’est au fond, sinon un projet dictatorial aussi effrayant que celui des khmers rouges. Le grand reset a été annoncé dans un document du Commissariat Général au Plan de Bayrou. Mais l’accueil sur les réseaux sociaux a été glacial. Tout le monde a crié au complotisme. Pratiqué le déni de réalité. On préfère palabrer sur Macron et son oubli de nous souhaiter « Joyeux Noël ». L’essentiel mis au rancart. L’insignifiant sacré Roi. Nos facebookiens préférés roupillent au lieu de sonner le tocsin.

Ceux qui disent que nous ne sommes pas en dictature feraient bien de se souvenir de leur enfance et de leur adolescence dans la France post-68 arde : jamais, on aurait trainé devant les tribunaux une seule personne pour avoir tenu des propos anti-Giscard : deux poids, deux mesures !

Source : Lire l'article complet par Réseau International

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À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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