par Sébastien Renault
« Avouer qu’on s’était trompé, c’est rendre le plus éclatant hommage à la perspicacité de son esprit. » (Gaston Bachelard)
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Les enjeux de la nouvelle guerre civile étasunienne
À la suite de remarques de personnes peu informées quant à la réalité américaine et à l’étendue des fraudes électorales survenues outre-Atlantique pour éconduire à tous prix Donald Trump lors des dernières présidentielles, nous voudrions ici apporter quelques brefs éléments de contradiction face aux mantras de la haine anti-trumpienne conditionnée et à la chape de plomb de censure médiatique qui continue de peser sur nombre d’esprits. De fait, le véritable virus qui affecte aujourd’hui l’humanité est bien de type intellectuel en ce qu’il s’attaque à la pensée rationnelle, pour en contrecarrer d’abord les défenses naturelles, pour l’assommer ensuite à coups de mensonges stupéfiants et systématiques, et finalement la faire disparaître…
Le vol de l’élection américaine, perpétré au milieu de la nuit dans plusieurs États décisifs au Collège électoral, ne s’est pas seulement produit avec le concours direct de milliers de tricheurs sur le terrain et de machines à voter piratées via internet, depuis l’étranger. En amont de ces activités criminelles aujourd’hui attestées , cela n’a pu effectivement se produire qu’avec l’assistance acharnée du covidisme médiatique, sous le contrôle de l’influence presque infrangible des technocrates de la désinformation numérique et de leurs toujours fidèles laquais médiatiques.
Les classes dirigeantes et leurs alliés médiatiques américains (la « Pravda » du parti démocrate) savent pertinemment qu’il ne faut pas tant « diviser » que divertir pour mieux régner. Divertir et par-là néantiser toute réflexion, faciliter la manipulation psycho-subliminale de l’opinion et s’assurer un contrôle mental en fin de compte très efficace des masses subjuguées à leur insu—par distillation programmée de divertissements conçus pour capter l’attention des gens, encore plus aujourd’hui sous régime covidique à peu près universel de confinements prolongés.
La peur covidique a donc été parfaitement exploitée aux États-Unis comme arme de campagne électorale tirée du carquois des grands médias dominants, en vue d’en finir avec Trump. Des millions de voix américaines ont en conséquence été supprimées… Le leurre du suffrage universel en démocratie électoraliste, avec l’assistance opportune de la grippe chinoise mondialiste, ne pouvait certes que l’emporter sur la raison, le droit, et le pauvre peuple américain. Impossible d’empêcher Trump d’être réélu sans réunir tous les ingrédients de l’appareil de parti et de pensée unique washingtonien. Il ne restait plus aux associations criminelles de lobbyistes, d’acteurs privés et internationaux à la solde de l’anti-trumpisme institutionnel, qu’à former une coalition idéologique et financière pour arranger et garantir la défaite de leur ennemi public numéro un (« l’abominable homme orange »). À en rester à la surface strictement médiatique des choses, ils ont d’abord gagné la bataille (du moins l’une des batailles). Mais ils n’ont certainement pas gagné la guerre. D’où l’accumulation d’audiences et de témoignages assermentés, pour ouvrir la voie à des procédures légales constitutionnelles, à commencer par la dé-certification des résultats officiels au niveau des Assemblées législatives, compte tenu de l’abondance des preuves d’activités criminelles et de bulletins de vote falsifiés dans tous les États litigieux.
Ce qu’ils n’ont certainement pas vu venir, dans leur obsession haineuse envers Trump, c’est l’ampleur du soulèvement d’un mouvement de contestation populaire aussi informé que déterminé à démanteler leur usurpation par la triche électorale en faveur de Joe Biden et de « Kabbalah » Harris. L’élan croissant de ce mouvement repose sur la cohérence interne de sa résistance patriotique, laquelle s’organise en ligne, sous forme de rassemblements publics, et devant les organes judiciaires et législatifs institués par la Constitution américaine.
On peut simplifier l’antagonisme fondamental de la nouvelle guerre civile psycho-civilisationnelle qui sévit aujourd’hui aux États-Unis sur la base du schéma conventionnel « droite/gauche » :
– D’un côté, la gauche libérale et « sociale-globaliste » de Biden caractérisée par une idéologie écologique exorbitante (selon le projet d’investissement et de refonte globale connu sous le nom de « nouvelle donne verte »), par la lutte identitaire ethno-genrée, par l’immigration sauvage et l’abolissement progressif des forces policières, par la dénaturation LGBTQ-iste de l’ordre sociétal-familial, et par le Veau d’Or du matérialisme financier adoré à Wall Street…
– De l’autre, la droite conservatrice et « populiste » de Trump caractérisée par la réinstauration d’un ordre sociétal fondé sur la loi naturelle, par l’indépendance énergétique, par une philosophie de contre-ingérence militaro-industrielle, par son engagement à sécuriser les frontières étasuniennes (contre l’immigration clandestine, le trafic de drogue et d’êtres humains), par la résistance à la libre-circulation illimitée des capitaux, des marchandises (y compris humaines, vivantes et/ou en pièces détachées ) et des travailleurs en fonction des dictats des marchés transatlantique et transpacifique…
Fort de ces quelques attributs en guise d’arrière-plan de confrontation idéologique bien définie, les dernières élections américaines ont offert au monde une véritable démonstration de collusion de ploutocrates sans scrupules (Big Tech), de propagandistes médiatiques spécialisés dans le mensonge éhonté (Big Media), de groupes et lobbies sorosiens (BLM-istes, ANTIFA-istes), de l’empire médico-technocratique (Big Pharma), et de traîtres en tous genres—notamment ces acteurs politiques qu’on appelle « républicains de nom uniquement », ou « RINO » selon l’acronyme anglais. C’est un fait objectif, vérifiable, que les colporteurs habituels de fausses nouvelles ne peuvent bien sûr que feindre d’ignorer (ce qui va être de moins en moins possible). L’ordre établi par les élites washingtoniennes tente d’écraser le mouvement populiste initié en 2016 par l’accession d’un non-politicien à la présidence des États-Unis. Le canular de la « collusion » entre Trump et la Russie sert toujours de fondation à l’effort médiatique dirigé jour et nuit contre lui depuis plus de 4 ans. Le dinosaure Biden, politicien professionnel depuis 47 ans et soi-disant « catholique », est soutenu par le parti communiste génocidaire chinois. Corrompu jusqu’à la moelle, il n’est qu’une marionnette du système et un caméléon sans substance. Il menace, entre autres fléaux socio-économiques, de reconduire le confinement criminel s’il est élu.
Tout le monde, ou presque, comprend bien que Biden est l’incarnation politique inodore et incolore de la bourgeoisie marchande globaliste, le candidat de l’empire bancaire par excellence. Par conséquent Wall Street, Bill Gates et Jeff Bezos, entre autres milliardaires sans foi ni loi, soutiennent naturellement Biden et haïssent Trump.
La fausse « victoire » électorale de Biden sert donc désormais de vecteur à la violence oligarchique de la globalisation libérale, que le populisme trumpiste était parvenu à endiguer, ne serait-ce que partiellement.
À l’encontre des prédictions superficielles de certains observateurs enclins à analyser les enjeux des évolutions géopolitiques d’un point de vue a priori anti-américain, Trump est parvenu à freiner, neutraliser, et finalement enrayer au moins trois guerres potentielles en quatre ans de mandat—contre la Corée du nord, la Russie et le Venezuela. La persistance d’une idéologie messianique et guerrière sur fond de culture judéo-protestante en Amérique n’a pu avoir raison du magnat newyorkais, un « street fighter » de l’immobilier et des débats houleux, mais certainement pas le « va-t-en-guerre » inculte, irréfléchi et impulsif de l’imaginaire européen s’inspirant de clichés grossiers du libéralisme progressiste à l’américaine. Trump est en réalité un personnage très intelligent et stratégiquement rusé, tout-à-fait conscient des dangers de l’influence néoconservatrice, particulièrement en termes d’ingérence et d’invasion militaire.
Sans chercher l’exhaustivité, rappelons simplement, en toute objectivité factuelle, quelques hauts faits du premier mandat du 45e président américain, pour bannir les inepties populaires de l’anti-trumpisme conditionné.
Des réussites économiques
D’un point de vue économique, l’honnêteté intellectuelle nous force à reconnaître les progrès significatifs accomplis par l’administration Trump.
Comme il l’avait annoncé durant sa campagne électorale en 2016, Trump a décidé judicieusement, dès 2017, de retirer les États-Unis de l’Accord de Paris, cette fédération internationaliste dispendieuse vouée à la promotion d’ « actions climatiques menées au niveau mondial ». Cet Accord aurait porté un coup particulièrement ruineux à l’économie étasunienne en entraînant la perte de millions d’emplois… Tout cela pour du vent idéologique s’appuyant sur une conception défectueuse de l’atmosphère et de son CO2 (voir ici notre article préconisant quelques repères non-exhaustifs pour s’extraire de la confusion et du fondamentalisme climato-alarmiste) et donnant lieu à une espèce de complexe néo-messianique vis-à-vis de la Natura naturans idolâtrée (une erreur théologique des plus funestes, sur laquelle nous ne pouvons revenir ici). Comme si les gouvernements de ce triste monde pouvaient contrôler le climat…
Les États-Unis ont recouvré leur indépendance énergétique courant 2018, pour devenir le premier producteur mondial de pétrole brut—devant la Russie et l’Arabie saoudite. L’administration Trump a depuis conclu un accord avec l’Union européenne pour augmenter les exportations d’énergie étasunienne vers l’Europe. Elle a en outre signé plusieurs permis pour assurer l’exportation des produits pétroliers étasuniens vers le Mexique.
Des réussites sociales
Le fait d’enregistrer un taux de chômage national inférieur à 4 % à plusieurs reprises au cours de l’année 2019 a donné le signe d’une résurrection économique particulièrement spectaculaire à l’approche de la dernière année du premier mandat de Trump.
Début 2020, avant la mise en œuvre complète du covidisme, le taux de chômage national aux États-Unis était de 3,5 %, le plus bas depuis 1969. Celui des femmes adultes était tombé à 3,2 %, le taux le plus bas en 65 ans (pour un « phallocrate » présumé, ce n’est pas un si mauvais bilan) ! Le nombre de chômeurs par groupe ethnique (noirs, hispaniques et américains d’origine asiatique) a lui aussi été un des plus bas de ces derniers 50 ans. Au total, les États-Unis ont vu, début 2020, près de 261 000 000 de ses citoyens occuper un emploi, le plus grand nombre jamais atteint.
En 2019, plus de 6 millions de travailleurs étasuniens ont bénéficié de réductions fiscales, de primes et de compensations financières…
Trump est régulièrement qualifié de « raciste ». Mais les faits contredisent cette invective stéréotypée de l’ultra-gauche anti-Trump (et de ses chambres d’écho pavloviennes aux quatre coins du monde).
Avant l’instauration de la grande réinitialisation covidique début 2020, le chômage des citoyens noirs américains était à son niveau le plus bas de l’histoire étasunienne.
Les réformes trumpiennes de la loi First Step Act (FSA), entérinées en décembre 2018, ont permis de remédier aux inégalités persistantes dans l’administration de peines disproportionnées appliquées aux citoyens américains noirs de peau. Les principaux bénéficiaires de réductions de peine en vertu de la FSA sont des noirs américains. L’administration Obama n’avait rien fait qui puisse favoriser la réforme du système judiciaire américain et améliorer la vie des noirs incarcérés, à commencer par l’application de peines équitables dépourvues de discrimination ethnique. Les médias ont choisi de ne pas souligner l’engagement de Trump à réparer ces injustices contre les noirs en prenant des mesures concrètes. Par conséquent, la plupart des gens en Europe et ailleurs considèrent injustement Trump comme un chef de file de la « suprématie blanche », déterminé à ramener l’Amérique au temps des plantations… Aucun exemple ne pourrait mieux illustrer à quel point nous sommes devenus inintelligents, en raison de la tyrannie intellectuelle à laquelle nous nous soumettons nous-mêmes en donnant notre assentiment quotidien plus ou moins complet aux grands médias.
Les affaires étrangères
L’approche de Trump en matière de politique étrangère est fortement influencée par son expérience aguerrie d’homme d’affaires, particulièrement en qualité de magnat de l’immobilier. Cela s’avère être significatif, et l’on a les preuves de son efficacité géopolitique iconoclaste. Trump refuse résolument de s’aligner sur les manières de faire des politiciens professionnels qui l’ont devancé à la Maison Blanche. Et dès lors de gaspiller sa présidence dans des objectifs militaristes s’inspirant des philosophies géopolitiques à tendances impérialistes des administrations précédentes. Ses nombreux détracteurs semblent l’oublier, pour justifier leur paresse malveillante à son égard et se contenter d’en faire un guignol « expansionniste » et « guerrier » à l’étranger—« raciste », « homophobe » et « xénophobe » de retour en territoire étasunien…
Trump a participé à plusieurs sommets historiques avec le « dirigeant suprême » nord-coréen Kim Jong-un, en vue de promouvoir la dénucléarisation de la péninsule coréenne. Nous soulignons à dessein l’importance de ces rencontres entre les deux chefs d’États, pour faire de nouveau ressortir le contraste entre la réalité de l’approche trumpienne des relations internationales et l’imaginaire anti-trumpiste réactionnaire (conditionné par une haine et une sottise aveuglante).
Plus que toute autre administration américaine, l’administration Trump a favorisé le développement de relations ouvertes d’investissements et de partenariats nouveaux avec le monde indopacifique. Nous pourrions continuer…
La liberté religieuse
Trump s’est engagé à plusieurs reprises en faveur de la protection de la liberté religieuse. L’un des points forts à cet égard aura été sa décision de mettre fin aux poursuites juridiques particulièrement abjectes de l’administration Obama à l’encontre de la Congrégation des Petites Sœurs des Pauvres , forcées par le gouvernement précédent à souscrire aux plans d’assurance maladie de la Loi sur la Protection des Patients et les Soins Abordables (la fameuse « Obamacare ») couvrant l’utilisation de contraceptifs, dont certains abortifs.
Il a en outre signé de nombreuses mesures en faveur de la protection du caractère sacré de la vie humaine in utero. Son administration a promulgué de nouvelles régulations visant à restreindre les fonds fédéraux alloués au programme de planning familial Title X et à s’assurer qu’ils ne soient plus impartis à quelques programmes corrélatifs ou à des initiatives qui faciliteraient en pratique ou encourageraient de quelque manière l’avortement. Elle a encore promulgué de nouvelles réglementations destinées à étendre les exemptions des travailleurs dans le domaine de la santé et par-là les protéger du mandat contraceptif imposé par l’Obamacare, sous couvert (auto-contradictoire) de soins de santé publique et « reproductive ».
Depuis son accession au pouvoir en novembre 2016, Trump est notamment parvenu à améliorer l’économie et à faire reculer les stratégies géopolitiques traditionnelles du complexe militaro-industriel étasunien. Mais non sans devoir faire face à de nombreuses attaques fomentées contre lui en coulisse par ses ennemis les plus acharnés au sein de l’administration Obama, assistés du département de la Justice des États-Unis et du FBI : une enquête bidon menée par l’équipe du procureur spécial Robert Mueller sous prétexte d’abord d’intrusion russe dans les élections américaines de 2016, puis d’ « obstruction à la justice » par Trump ; l’hostilité constante d’une cabale journalistique unanime dans sa haine déclarée contre lui ; une tentative de destitution sous prétexte de faux quid pro quo ; et, pour finir en cette année 2020 des plus chargées, une fausse pandémie orchestrée par le Parti communiste chinois et les élites mondiales…
Avec la nouvelle guerre civile étasunienne organisée sur fond de double tricherie, covidique et électorale, on discerne sans grande difficulté les intentions du système de domination globaliste vaccinale : l’heure est venue d’implanter un nouveau programme, un virus comportemental fonctionnel pour une humanité déjà masquée et mentalement algorithmisée par ses maîtres à penser. Le message des tricheurs démocrates est clair : bouchez cette trompette « trumpienne » qui nous casse les oreilles ! Car elle pourrait certes encore en réveiller quelques-uns.
Cinquante États de fraude : un « thriller » américain en temps réel…
Nous jouons ici sur les mots, à partir du titre original du navet érotique hollywoodien Fifty Shades of Grey | »Cinquante nuances de Grey« , titre comportant déjà un jeu de mots],film obscène s’il en est, mais malheureusement populaire et clairement destiné à la corruption des mœurs, particulièrement des adolescents. Le film américain nauséabond auquel nous assistons en temps réel est d’une autre nature, il porte involontairement témoignage de la corruption par trop réelle des mécanismes électoraux sur lesquels repose l’archétype de la démocratie occidentale moderne— vaste supercherie s’il en est.
Le film du plus grand piratage de l’histoire des élections étasuniennes, mettant en vedette les oligarques de la Silicon Valley et la classe dirigeante illégitime (entre autres « stars » de connivence que nous énumérerons en conclusion), peut s’expliquer selon deux objectifs diamétralement opposés : 1) destituer criminellement Donald Trump de son poste légitime de président américain (une entreprise d’envergure globaliste) ; 2) mettre en lumière, sur le terrain de la constitutionalité américaine, l’étendue de la conjuration anti-trumpienne. À ce jour, ses auteurs persistent à rabâcher leur mantra préféré, à savoir qu’ « il n’existe aucune preuve de fraude électorale », jouant ici sur le terrain subliminal de la répétition stratégique d’un mensonge en soi criant.
Le dévoilement en direct de l’intrigue du film auquel nous assistons, Cinquante États de fraude, permet de faire apparaître au quotidien l’étendue de plus en plus vaste des preuves incontestables de la réélection de Trump. Si les dernières élections outre-Atlantique avaient été menées dans le respect des lois étasuniennes en vigueur, donc en soustrayant la prise en compte frauduleuse de millions de votes illégaux fabriqués électroniquement et physiquement par les démocrates, le résultat serait sans équivoque.
Avec la multiplication des preuves manifestes d’un coup monté impliquant les réseaux sociaux, des ingénieurs informatiques à l’étranger, les élus démocrates de haut rang, et bien sûr une foule de bénévoles chargés sur le terrain de collecter les bulletins de vote et de faire le dépouillement, les forces de la censure s’organisent pour passer à la vitesse supérieure. Prétexte : les « opinions dissidentes » portent atteinte à la « légitimité » du colportage journalistique officiel, que tous sont tenus de croire.
Le mercredi 9 décembre, la chaîne YouTube a annoncé qu’elle était en train de retirer des milliers de vidéos qui mettent en doute, sans fondement, la « victoire » électorale de Biden . L’opération réprimande de tout contenu susceptible de promouvoir la notion de « fraude généralisée » lors des dernières élections étasuniennes a donc commencé. La prétention d’une société où règne la « liberté d’expression » est donc désormais ouvertement congédiée. Sous le régime de la gouvernance mondiale covidisée et covidisante, faire taire la dissidence est désormais la nouvelle norme de ce que nous appelons encore, pour faire joli, « nos sociétés libres ».
Pour autant, malgré les efforts médiatiques habituels de détournement cognitif, signalons que les contre-efforts de la lutte sur le plan de la légalité constitutionnelle s’organisent et se consolident de plus en plus. L’État du Texas est désormais en train d’entreprendre une action en justice, au nom des États-Unis eux-mêmes, contre quatre des cinq États impliqués dans des activités attestées de fraude électorale à grande échelle.
Rappelons en outre que la Constitution américaine donne à la Cour suprême une compétence exclusive sur les actions intentées par les États contre d’autres États en cas de violation du droit et de fraude électorale corroborée. Les comportements illégaux mis en évidence ces dernières semaines en Pennsylvanie, en Géorgie, dans le Michigan et dans le Wisconsin justifient amplement les poursuites judiciaires désormais intentées par le Texas contre ces États [efn_noteVoir ici l’acte de plainte officiel soumis le 9 décembre 2020 à la Cour suprême : State of Texas v. Commonwealth of Pennsylvania, State of Georgia, State of Michigan, and State of Wisconsin.][/efn_note].
Le rapt de l’élection présidentielle
Revenons maintenant sommairement sur quelques-unes des principales caractéristiques du rapt électoral du mois dernier, telles qu’elles ressortent clairement des litiges en cours dans les États concernés—l’Arizona, la Pennsylvanie, la Géorgie, le Michigan, et le Wisconsin.
La « victoire » électorale de Joe Biden repose sur un processus de comptage frauduleux survenu au beau milieu de la nuit, ce que confirment des centaines d’affidavits ainsi que la résultante statistique des analyses numériques dans tous les États susmentionnés.
Les systèmes électoraux du Dominion Voting System ont été mis en place pour permettre la tricherie électorale à très grande échelle. Certaines clés USB volées et utilisées pour pirater les machines à voter ont dernièrement été récupérées. Elles vont permettre de faire la lumière sur un certain nombre d’anomalies inexplicables, telles que la détection de votes préchargés pour Biden avant le début des élections, d’après les dates indiquées sur les serveurs reliés en ligne au machines du Dominion— même si l’accès direct à ces machines s’avère toujours difficile en raison de leur statut prétendument « privé » (ce qui constitue bien sûr une atteinte des plus flagrantes à la transparence et au fair-play théorique de tout système électoral démocratique, dont le fonctionnement, par définition public, repose sur l’argent des contribuables). Les responsables du groupe Dominion opèrent donc à la fois en tant que juge et partie. La gestion digitale des votes leur appartient entièrement. Et ils sont encore les seuls à pouvoir examiner, après les élections, leur logiciel de « tabulation ».
La manipulation électronique est d’autant plus évidente que les algorithmes du Smartmatic utilisés par les machines du Dominion dans tous les États disputés ont calculé les votes au moyen de nombres fractionnaires décimalisés. La tabulation des votes n’a donc jamais eu lieu en tant que telle, car cela impliquerait à juste titre le comptage de nombres entiers. Le calcul algorithmique a remplacé la comptabilisation, pour augmenter ou diminuer les votes de tel ou tel candidat…
Outre l’altération de la chaîne de contrôle dans le traitement des votes par correspondance depuis déjà plusieurs mois et la tricherie algorithmique « dominionique » le soir des élections, des centaines de milliers de bulletins ont été illégalement déposés dans toutes les circonscriptions importantes de toutes les villes d’obédience démocrate. Des millions de votes frauduleux, électroniques ou autres, ont dès lors été comptés en faveur de Biden. Sans la mise en œuvre d’une telle opération de dépouillement et de décompte truqué sur le terrain, Trump aurait pu facilement récolter près de 100 millions de votes !
Le segment vidéo suivant, tiré de l’audience électorale qui s’est tenue la semaine dernière en Géorgie, n’est qu’un exemple parmi d’autres du type de fraude physique qui a eu lieu dans la nuit du 3 au 4 novembre dans d’innombrables circonscriptions américaines. Pendant deux heures, les tricheurs ont fait transiter des bulletins de vote illégaux, assurant un gain frauduleux de quelques 24 000 voix pour Biden, suffisamment pour faire pencher la Géorgie en sa faveur :
[in: Audience sur l’intégrité des élections en Géorgie, jeudi 3 décembre 2020 | NTD. On observe (en jaune sur le graphique) un décrochement brutal, en marche d’escalier.]
À 3 h 42 du matin le 4 novembre 2020, Trump était encore en tête, jusqu’à ce qu’une énorme décharge de votes « Biden » apparaisse sans explication, entraînant la mise à jour arithmétique survenue vers 4 h du matin, comme l’indique le graphique ci-dessus.
On observe un phénomène identique dans tous les États disputés. Par exemple dans le Michigan où, à 6 h 31 du matin le 4 novembre 2020, 149 778 bulletins sont soudainement apparus, tous pour Biden…
Dans tous les États litigieux, le décompte a été interrompu pour couvrir la fraude électorale à l’échelle de centaines de milliers de bulletins de papier livrés au milieu de la nuit. Les « pics » de courbes statistiques donnant leur forme aux valeurs maximales officialisées en faveur de Biden se sont tous produits au cours de la même période d’environ quatre heures. En Pennsylvanie et en Géorgie, le décompte a duré plusieurs jours. Le décompte des nouveaux bulletins apportés par le « miracle » de l’opération de « mise à jour » nocturne dans le Wisconsin et le Michigan n’a quant à lui duré que quelques heures.
En l’état actuel des choses, le thriller américain Cinquante États de fraude n’implique qu’une poignée d’États litigieux. Ce qui est suffisant pour obtenir l’annulation des résultats frauduleux revendiqués par les bidenistes.
Il suffirait, par exemple, de légiférer sur le fait avéré qu’il y a plus de 500 000 morts sur les listes électorales des États en question et près de deux millions d’« électeurs fantômes ». Les listes électorales démocrates sont en effet truffées d’électeurs décédés, ayant déménagé, de mineurs, et même d’étrangers…
Dans certains États, comme en Pennsylvanie, les tribunaux et diverses véroles politicardes d’obédience démocrate et républicaine ont procédé à divers changements des systèmes électoraux en contournant les Assemblées législatives. Il s’agit d’une infraction. Les Assemblées législatives sont seules habilitées par la Constitution des États-Unis à intervenir dans de tels amendements des réglements en vigueur.
En Pennsylvanie toujours, le secrétaire d’État (un démocrate) et la Cour suprême ont « aboli », là aussi de manière inconstitutionnelle, les exigences de vérification des signatures.
Les démocrates se sont battus mordicus en 2020 pour amoindrir autant que possible, sous couvert de « pandémie », les procédures de vérification légale d’identité des électeurs.
On a par ailleurs expliqué à de nombreux électeurs trumpiens qu’ils avaient « déjà voté » par courrier, à leur insu… Quelques 250 000 électeurs du Wisconsin ont été classés comme « gravement handicapés » pour éviter de procéder à quelque forme de vérification postale des signatures. Des milliers de bulletins portant le nom de « Biden » ont été comptés plusieurs fois… Des centaines de milliers de bulletins de vote par correspondance sont arrivés par vagues et sans enveloppes… Dans le Wisconsin encore, quelques 70 000 bulletins de vote notés « absents » ont été générés comme par magie (sans correspondre à la moindre requête d’abstention des titulaires inscrits sur les listes électorales de cet État). Dans le Nevada, les machines à voter ont été réglées de manière à ce qu’il ne soit pas nécessaire de faire correspondre signatures et électeurs.
L’équipe juridique de Trump a tenu une audience des plus explosives devant la législature républicaine du ministère de la Justice de l’Arizona au cours de laquelle une douzaine de témoins et de spécialistes en cybersécurité ont rendu compte des différentes formes d’activités digitales frauduleuses identifiées dans différentes circonscriptions de l’Arizona.
Les machines à voter étaient connectées via internet et gérées depuis l’étranger par des employés du Dominion, sans aucune chaîne de contrôle, pour modifier en temps réel le « comptage » des scrutins électroniques. Cette supercherie digitale a notamment été financée par le milliardaire juif américain Mark Zuckerberg, cofondateur de Fakebook.
Plus de 400 000 bulletins illégaux ont été convoyés dans les comtés arizoniens de Maricopa (le plus vaste de l’Arizona) et de Pima. En outre, quelques 1,9 millions de votes en Arizona ont été comptabilisés, sans surveillance ni vérification de signature des électeurs. Des témoins ont certifié avoir assisté aux allées et venues de nombreux camions chargés de cartons de bulletins pendant une bonne partie de la nuit, jusqu’aux premières lueurs du jour. À l’heure d’aujourd’hui, le différentiel entre Trump et Biden en Arizona, à l’avantage de ce dernier, est de quelques 10 000 voix…
Nous pourrions continuer, mais cela n’est pas nécessaire ici. Le film Cinquante États de fraude continue en direct, et la tricherie va devenir encore plus criante aux yeux du monde. Faisons quant à nous, pour finir, le point sur les tricheurs impliqués. Bas les masques !
Remarques conclusives : les tricheurs sont démasqués
Voici, pour le moment, la somme des forces collusoires impliquées dans l’élaboration du résultat officiel, , des élections présidentielles américaines de 2020 :
Les concepteurs et auteurs humains de la SRAS-CoV-2 (dans différents laboratoires de biologie moléculaire mondialistes, pour finir à Wuhan, l’ « épicentre » officiel)
- COVID-19 lui-même, résultante épidémique de SRAS-CoV-2 (-> donnant lieu à la gigantesque logistique de la tricherie électorale « à l’ancienne » moyennant la fabrication, la falsification et le convoyage de millions de bulletins de vote par correspondance)
le Parti communiste chinois (PCC) et la famille Biden
Google, Facebook, Twitter
l’argent privé des principaux milliardaires contrôlant les médias sociaux, Mark Zuckerberg et George Soros (NB : Zuckerberg et Soros ont également injecté leurs ressources privées dans le système judiciaire, ce qui constitue bien entendu un crime)
les démocrates du totalitarisme libéraliste, de l’identitarisme ethnique, de l’émasculation des hommes, et de la grande finance internationaliste
les « républicains de nom uniquement » (ou « RINOS »)
le vote « dominionisé » (phase électronique de l’opération « grande triche 2020 »), en gardant à l’esprit le lien qui existe entre le développement de programmes de modification de scrutins alternatifs, tels que Hammer & Scorecard, et la CIA (la CIA les a en effet exploités pour interférer avec certaines élections à l’étranger )
…
En l’état actuel des choses, les politiciens et bureaucrates professionnels du Parti républicain se contentent des résultats officiels issus du rapt des élections et s’inclinent honteusement devant les groupes de pression organisés et parrainés par l’ultra-gauche globaliste. Ses principales voix « conservatrices », complices du statu quo washingtonien, veulent en effet revenir au Parti des Bush, John McCain, Mit Romney et Goldman Sachs. Ils forment un Parti en mal de « business as usual… »
De leur côté, les démocrates sont déterminés à dénaturer autant qu’il leur sera possible les règles en place, voire à réécrire la Constitution des États-Unis—le but avoué étant de s’assurer que les républicains n’aient plus jamais la possibilité électorale de reprendre le contrôle de l’une ou l’autre des branches du gouvernement étasunien.
Tels sont les enjeux à la fois domestiques et méta-américains de cette nouvelle guerre civile outre-Atlantique. La grande opération « étatico-covidique » universelle de restrictions des libertés ne pouvait espérer se prolonger aussi drastiquement que prévu par ses architectes mondialistes, avec la reconduction de Donald Trump pour un second mandat présidentiel. Démocrates et « républicains de nom uniquement » devaient donc l’arrêter à tout prix, ce qui ne pouvait s’accomplir sans la mise en place (préparée de longue date) de l’opération « grande triche 2020 ».
Mais cette bataille ne se limite pas à la sauvegarde de la République américaine , aussi imparfaits que soient ses principes fondateurs (déistes-maçonniques). Si la raison et la désobéissance civile ne s’unissent pas sans plus tarder pour résister aux fraudes covidiennes et électorales, les confinements, les masques et la censure à tire-larigot deviendront la norme universelle en vigueur des « démocraties » contemporaines.
Trump est le vainqueur légitime indéniable de la derrière élection présidentielle étasunienne en date. Il incombe désormais aux législateurs républicains des États litigieux du Michigan, du Wisconsin et de la Géorgie d’utiliser pleinement leur pouvoir constitutionnel (cela vaut également en Pennsylvanie et dans l’Arizona), où la résistance des « républicains de nom uniquement » continue malheureusement à contrecarrer les efforts de justice déployés aussi bien par les avocats de l’équipe juridique de Trump que par des millions d’électeurs américains, résidents de ces États). Une session extraordinaire des Assemblés législatives des dits États s’impose donc désormais, et il va falloir les convoquer sans plus tarder, en vue de porter l’affaire devant la Cour suprême des États-Unis, dernière étape.
Pour finir, revenons brièvement sur le spectre du virus des élites globalistes malthusiennes élaboré en laboratoire, avant d’être imputé aux Chinois. Comme continuent de le démontrer les modèles des CDC, SRAS-CoV-2 n’est pas plus mortel que d’autres maladies respiratoires saisonnières. Une analyse de John Hopkins a été récemment publiée en ligne (avant d’être immédiatement censurée) montrant que la COVID-19 n’a aucun effet significatif sur le nombre total de décès aux États-Unis . En ce moment, en pleine période pré-hivernale de retour saisonnier de la grippe, les cas et les décès naturellement imputables à celle-ci sont recensés comme des cas et des décès covidiques, afin bien sûr de faire de nouveau grimper les statistiques et de maintenir ainsi les populations dans la peur et sous contrôle inexorable.
En revanche le covidisme s’avère extrêmement dangereux, capable, en l’espace de tout juste quelques semaines, de soumettre une civilisation tout entière au despotisme d’un nouvel ordre mondial sanitaire. L’intelligence en prend un coup terrible, au point de céder à toutes sortes de folies, de mesures arbitraires (port obligatoire de masque et distanciation sociale sans justification scientifique), de répression et de représailles policières, d’irrationalités et de peurs diverses et variées… Rappelons par ailleurs que la transmission de la « COVID-19 » se fait principalement par la diffusion répétée de fausses nouvelles, phénomène aujourd’hui omniprésent sous l’empire numérique du nouvel ordre mondial dés-informationnel.
Les gens qui réfléchissent un tant soit peu savent très bien qu’il n’y a donc aucune légitimité (scientifique ou autre) à toutes ces mesures qui constituent le phénomène que nous appelons le covidisme ». La distanciation sociale, les masques, les tests, les restrictions imposées aux églises, les confinements massifs, le développement de vaccins… Toute cette mascarade n’est pas un seul instant destinée à la protection des peuples, que les élites malthusiennes « écolos » ne cherchent en effet qu’à subjuguer, à soumettre et à réduire autant que possible. Il s’agit de nous conditionner à accepter, « pour notre bien », davantage de contrôle gouvernemental, c’est-à-dire davantage de régulations arbitraires—avec, comme étape ultime du mensonge « pandémique » universel, la vaccination (obligatoire) pour tous…
Projet cher aux élites financières et technocratiques, la vaccination obligatoire de masse est en cours de réalisation depuis des lustres (bien avant la conception de Bill Gates et consorts dans le sein maternel). Dans le cadre de la fausse pandémie covidique, il va de toute façon s’agir de faux « vaccins » à ARN et munis de nanomatériaux manufacturés, tels qu’ils sont aujourd’hui développés par différentes sociétés pharmaceutiques et de biotechnologies . Derrière des façades humanitaires d’apparence toujours salutaires, les véritables intentions de la « bonne nouvelle » vaccinale se résument à deux grands objectifs corrélatifs de fond : la réduction de la population mondiale et son contrôle globalisé.
Ce qui est d’autant plus clairement luciférien derrière le grand mensonge du « vaccin salvateur », c’est de promouvoir un « antidote » anti-covidique dont la composition contient en outre des dérivés de lignées cellulaires de fœtus mâles avortés—merci à la Chine abortive-génocidaire (un leader mondial en la matière) ; mais plus encore, comme toujours, dû aux globalistes malthusiens les plus répugnants (basés en France, aux États-Unis et ailleurs).
En tant qu’entités organisatrices de révolutions colorées, les États-Unis washingtoniens et la Chine du PCC ne peuvent se concevoir sans le concours des banques centrales juives (Rothschild & Co.), qui en sont donc les véritables propriétaires…
L’empire de la fausseté systématique joue aujourd’hui sur tous les terrains. Le seul remède à la folie totalitaire qu’il incite chez les gouvernants comme chez les gouvernés, est de continuer à se battre résolument avec les armes du courage (intellectuel et moral) et de la saine rationalité, pour présenter des preuves raisonnées et intelligentes, à temps et à contretemps
« Avouer qu’on s’était trompé, » comme le disait si bien Gaston Bachelard, serait certes ici une marque d’intelligence… Mais, sans la raison illuminée par la syndérèse , l’intelligence fait ici défaut, comme le dictent ces temps de suffisance aveugle, de désorientation morale, et de bêtise journalistique profondément inoculée en l’homme contemporain (par ailleurs « covidisé » à souhait). Les Pères du désert disaient quant à eux que « le cœur est cette tombe où nos pensées et notre intellect sont enterrés » . Le Christ ressuscité y descend, comme il est descendu aux Enfers, pour libérer les facultés de l’âme, en particulier notre intellect, « de sa prison sans lumière ». C’est Lui qui, soulevant la lourde pierre du faux totalitaire qui opprime l’âme spirituellement nécrosée, ouvre le tombeau de l’ignorance et de la mystification théâtrale mondaine.
En dépit de l’avertissement d’Alan Turing selon lequel « si une machine est censée être infaillible, elle ne peut pas en même temps être intelligente », nous voici socialement conditionnés pour nous comporter comme des machines (mais sans être infaillibles à quelque égard que ce soit), par ceux qui programment notre comportement. Si, au contraire, nous écoutions la voix du Christ pour que l’intelligence syndérétique soit restaurée en nous, sous serions du même coup libérés du pouvoir qu’exerce sur nous le piratage intellectuel induit en nous par la pensée dominante. Non, nous ne sommes pas des machines programmables entre les mains de nos faux maîtres à penser !
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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