2020, un bilan du dressage maçonnique et mondial

2020, un bilan du dressage maçonnique et mondial

par Nicolas Bonnal

Cette année sinistre, cauchemardesque même se termine sur un vol électoral en Amérique, une privation totale de liberté ici, et surtout sur une célébration de victoire de l’ONU, où Michèle Bachelet déclare que les hommes doivent se tenir comme une famille, tels les maçons. L’occasion pour moi de revenir sur le dressage maçonnique (masque, gants, agenouillements, nombres, distanciation) en cours. Tout est évident sauf pour les imbéciles, comme dirait Avic, qui crieront au délire complotiste. D’ailleurs comme dit mon ami Blondet en Italie, on n’a plus besoin d’être complotiste ni même de complotiste. Tout est dit fièrement à la télé maintenant. Le système a trop gagné pour se couvrir (encore un terme maçonnique). Alors expliquons notre passage maçonnique à la Lumière (cf. Jack Lang en 1981).

Je revoyais le film de Peter Bogdanovitch sur John Ford et je tombais sur cette juste observation de Spielberg : le cinéma de John Ford est un cinéma de rituel. Ayant écrit un livre sur le folklore au cinéma et un autre sur les westerns, je ne peux que souscrire à cette assertion (les bals, les chants irlandais, les marches militaires, la hiérarchie, la courtoisie, le monde indien, la cavalerie, etc.). Revoyant aussi Eyes Wide Shut, je suis resté étonné par la force des images de masques dans le château des Rothschild (Mentmore Towers – Polanski a tourné la neuvième porte à Ferrières, autre demeure Rothschild)  et celle, dans la salle de billard, où Tom Cruise se couvre la partie inférieure du visage de sa main, éminent signe de rituel maçonnique. Il montre sa soumission au moment où Ziegler confesse ses crimes d’un air ennuyé et entendu – en lui offrant une caisse de whisky, la Wise key de nos initiés de Seagram (les Bronfman-ADL) qui dirigent le monde avec une poignée de milliardaires et de vaccinateurs branchés mineures et rituels.

C’est pour cela que j’écris des livres sur le cinéma, pour montrer que comme les hexagrammes de mon Yi King, les films trouvent souvent dans la réalité une manifestation grossière, matérielle, massifiée et bien sûr politique. Revoyons donc ce que nous avons vécu depuis peu, et qui va à une vitesse extraordinaire – même si les protocoles ont été écrits il y a cent-vingt ans – et que l’on peut se demander ce que les Elders ont fait depuis. Tout n’était-il pas nécrosé, hiérarchisé et bloqué depuis la fin du dix-neuvième siècle ? Relisez Drumont, Hobson, Eco, Dostoïevski pour le comprendre. Nos tout-puissants n’avancent pas si vite qu’ils le croient. Ils patinent.

Mais voyons la symbolique de ce qui nous arrive, qui a été recensée par Henry Makow sur son site.

On a donc commencé par un grand confinement et on s’est tous retrouvés coincés devant un écran. Cette opération maçonnique se nomme cabinet de réflexion et elle précède la grande sortie vers la lumière pour le futur initié (pensez à Jack Lang et à Mitterrand au Panthéon, voyez mon livre sur ce maître en manipulation de symboles). On est entouré d’objets comme le sablier, le crâne (vanité, symbole de la mort, via le terrorisant virus), le miroir (l’écran, comme dans la Belle et la Bête de Cocteau), et on se prépare.

Ensuite on sort et on doit être équipé et surtout briefé. L’espace est compartimenté et réglementé et nos maîtres de cérémonie nous expliquent comme nous nous disposons dans cet espace que l’on nommait la terre et qui devient un temple maçonnique, une simple loge où l’on s’exécute avant de livrer ses enfants. Dans cet espace on porte un masque, qui couvre la partie inférieure du visage, nouvelle marque de soumission (cf. Tom Cruise). Le bal masqué au dix-neuvième siècle (voyez le bal Rothschild – toujours eux, mais qu’y faire ? –  avec Audrey Hepburn) a des connotations symboliques et contre-initiatiques très fortes, que j’ai recensées dans mon livre sur le maître des maîtres Kubrick. On trouve aussi dans la légendaire série le Prisonnier (d’actualité puisqu’on ne peut plus sortir du village et que les masqués nous font la chasse) un épisode sur un bal masqué (Dance of dead) et un autre sur le harcèlement (Change of mind).  Dans le film de Kubrick le masque est aussi un signe d’appartenance à la communauté des censeurs et des maîtres. Dans mon bled en Espagne les masqués sont de plus en plus autoritaires, arrogants, haineux, et je présume que ce fanatisme démasqué procède ainsi partout. J’oubliais que les maçons comme les masqués portent des gants (revoyez  la Belle et la Bête, c’est une mine ce film/conte) et qu’ils ont la manie des nombres : 6, 7 ou 12…

Le tout sert évidemment à accéder à une nouvelle réalité : une réalité avec plus de lumière, moins de pollution, et aussi moins de gens –les non-initiés – car on veut les exterminer ces gens et ils ont été tellement hypnotisés depuis si longtemps qu’ils ne s’en rendront même pas compte (voyez la bande au colonel Kurz dans Apocalypse now qui finit noyée sous les bombes tout de même). J’ai évoqué ailleurs le film de Don Siegel l’invasion des profanateurs de sépulture qui montre le grand remplacement de nos âmes et de nos corps par des entités extraterrestres qui passent par des pods (cosses en anglais). Aujourd’hui la smart (douleur, mort) faune a permis de vider ce qui pouvait rester d’esprit aux gens, et fissa (vite, en arabe) en plus, comme on dit chez moi.

Et puis sont arrivées les émeutes. Je m’y attendais car on aime en haut lieu appliquer la formule : ordo ab chaos. Elles ne sont pas antigouvernementales – ils sont tous bien soumis nos « mutins de Panurge ») mais racistes anti-blanches. Détruire ce qui reste d’ordre blanc, de classe moyenne de fond chrétien (avec ce pape maçon, déiste et je-m’en-foutiste, comme c’est facile) et amener un chaos mondialiste qui permettra de promouvoir l’ordre nouveau voulu par Gates, Soros et tous nos susnommés. C’est ce que j’appelle la théorie de la constatation.

Henry Makow a admirablement montré le contenu maçonnique des grotesques manifestations planétaires d’agenouillement. Le kneeling est expliqué et commenté dans tous les dictionnaires maçonniques et il a été imposé comme par enchantement à tous les crétins de la planète (chez lesquels on trouve comme chez nos médecins plastifiés du virus pas mal d’acteurs tout de même). Le kneeling a été ritualisé comme les cérémonies de pardon, comme aussi les tas de briques au beau symbolisme maçonnique (revoyez les dix commandements pour vous amuser avec ces histoires de briques) soigneusement préparés pour détruire ce qui reste de petits et moyens commerces, ces symboles des blancs, invités à disparaître dans la propagande maoïste du frère Biden. Ce n’est pas que le Trump vaille mieux, il est leur idiot utile, leur faire-valoir, et si la sorcière Hilary n’avait pas été volée de son élection et avait été élue on n’en serait certainement pas là, mais à des années-lumière – sic. Trump a servi à bloquer, anesthésier notre résistance.

Tout de même ce qui m’émerveille –et je m’arrête là, sachant que le smart faune empêche de se concentrer plus de neuf secondes, faisant de nos cervelles celles de poissons rouges), c’est la facilité avec laquelle 90% des gens, comme dans le test de Milgram, vont se soumettre et coopérer. Des kapos et des zombis, comme a dit un lecteur.

Nicolas Bonnal

Source : Lire l'article complet par Réseau International

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À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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