La Médecine, la Science, la Politique et l’Économie

La Médecine, la Science, la Politique et l’Économie

par Marie-France de Meuron.

Laquelle de ces sphères d’influence et d’action est prioritaire actuellement ? Il semblerait que chacune ait gonflé telle une bulle qui prend de l’ampleur et se détache du centre commun à toutes, de la source de leurs existences : les êtres humains. Il est temps de tourner notre regard à l’intérieur de nous et de prendre conscience des multiples dimensions que nous habitons, que nous animons, afin de respecter notre élan ontologique de croissance et d’évolution.

Je suis impressionnée de constater à quel point les individus sont considérés voire utilisés, réduits à des numéros comme des objets par l’une ou l’autre des sphères mentionnées qui s’en approprient le droit de préemption. Elles nous englobent, s’incrustent dans nos quotidiens et manipulent nos existences. N’est-ce pas comme le virus qui s’infiltre là où il trouve le terrain adéquat ? Et si nous ne sommes pas présents à ce que nous vivons et ressentons, le virus persiste jusqu’à ce que notre organisme réagisse de plus en plus fort, en mettant toujours davantage en évidence nos fragilités préalables.

La médecine moderne a pris beaucoup d’ampleur dans le monde technoscientifique et attire l’attention sur ses progrès très pointus, du moins dans certaines spécialités. Mais les recherches coûtent très cher et focalisent sur des nouveautés susceptibles d’être formidablement rentables. Ainsi elles peuvent se développer là où l’économie vient prêter main forte, où les gouvernements gèrent l’esprit – ou les émotions – de la population et organise la distribution des produits obtenus.

La situation coronavirale actuelle illustre de manière patente les stratégies des unes et des autres, leurs coopérations ou, à l’inverse, leurs divorces.

Il est évident que nous sommes confrontés à un devant de la scène – notre gouvernement – qui lui-même dépend, se soumet ou jongle avec une arrière-scène. Selon le pays où nous vivons, les interactions entre nous et les deux parties de la scène peuvent être variables selon le degré de démocratie et la souplesse des dirigeants. Les régimes d’exception ont paralysé maintes de nos libertés. Nous vivons une forme de  « Stratégie du choc », titre de l’étude développée par une journaliste canadienne, qui met en évidence comment les gouvernements imposent,  à l’occasion des désastres, des réformes économiques que Naomi Klein qualifie d’ultra-libérales telles que la privatisation de l’Énergie ou de la Sécurité Sociale. Ainsi, cette stratégie du choc, appliquée à tous les pays où la gouvernance mondiale a castré les démocraties n’est plus que de la gestion des masses ; les individus perdent leurs dignités humaines et deviennent des moutons ou des animaux prêts à mordre mais qui demeurent pour la plupart quand même soumis.

J’ai ressenti profondément l’équivalence des effets d’un raz de marée envahissant tout sur son passage lorsque j’ai appris le 6 décembre que « Jusqu’à 70 000 vaccinations quotidiennes en Suisse dès janvier ». Celles-ci devraient durer six mois et toucher au total six millions de personnes (sur plus de 8 600 000 habitants). Ainsi, quand quelques personnes s’octroient le droit d’une pareille décision face à toute une population. comment considèrent-elles la démocratie ? De plus lorsque les sondages montrent que la population est bien dubitative.

On connaît le dicton : « Quand on n’a pas de tête, il faut avoir des jambes ! » Qu’est-ce à dire dans le cas présent ? Quand on n’écoute pas les médecins de souche qui soignent selon leurs expériences, on s’appuie sur des sommes colossales pour proposer une solution, qui n’est même pas un remède puisqu’il ne soigne pas mais un vaccin sensé nous protéger d’un virus peu mortel chez les bien-portants. Quand l’OFSP décide la vaccination de masse, en fait avec l’illusion du pouvoir, alors que l’argent provient de la communauté, elle use de l’argument que cette vaccination sera gratuite en escamotant grandement les raisons réelles des vaccinosceptiques.

Quelle est la place des médecins dans une telle situation ? L’OFSP compte sur eux pour que la vaccination aille plus vite et aussi parce que les gens leur font confiance ! Ainsi, les médecins sont utilisés comme une armée de bons soldats, pour appliquer une injection plutôt que de soigner selon leurs âmes et consciences. D’un autre côté, les décideurs se gardent bien de tenir compte des avis des médecins de divers pays qui alertent sur ce que contiennent réellement les produits vaccinaux et qui ne se contentent pas du concept : « le vaccin sauve des vies » ou « le vaccin éradique la maladie ».

La logistique permet des projets qui se répandent plus vite que leurs ombres. Mais la numérisation permet aussi que les témoignages de médecins fidèles à leurs postes puissent s’exprimer, eux qui sont éradiqués des courants officiels.

En voici quelques-uns :

  • Deux pneumologues : Les docteurs Wodarg et Yeadon demandent l’ARRÊT immédiat de toutes les études vaccinales anti-Covid-19 qu’ils considèrent dangereuses.
  • Le Pr Eric Caumes, chef de service des maladies infectieuses dans un hôpital français s’exprime de façon limpide en 2’40 sur les dangers du vaccin expérimental ARN qui arrive.

« Dangers sur un vaccin expérimental, dont les scientifiques n’ont aucun recul.

On n’a même pas encore les études, le vaccin pour décembre, je ne comprends pas, s’il y a des pépins, on va nous reprocher d’être allé trop vite, il y a un excès de précipitation, et je n’ai pas encore vu les études des vaccins américains ; Il n’y a aucun vaccin de ce type dans le monde, ce vaccin va servir d’expérimentation, il y a une sur-communication des laboratoires qui ont engrangé des millions d’euros ».

*

Question de base : Qui est responsable de notre santé ? L’État, les médecins ou soi-même ?

On sait bien que lorsqu’il s’agit des individus, « autant d’hommes, autant d’avis ».

En ce qui concerne les médecins, c’est déjà plus difficile à définir : « Responsabilité médicale des médecins qui s’impliqueraient dans la vaccination anti-Covid ».

Quelle est la place de l’État, que doit-il assumer ? Que décider entre obligation et liberté ?

Qu’en est-il des labos ? Voici des éléments de réflexion.

Que reste-t-il de la Science rigoureuse ? Une généticienne se désole : « On est dans une science archaïque au moment de la science la plus moderne ». Dans cette vidéo, elle reprend point par point les 4 problèmes soulevés par « Monsieur Vaccin » en France.

Dans les situations difficiles, il est d’usage de « se serrer les coudes ». Ici, tout est mis en action pour que les gens se méfient les uns des autres, se dénoncent, se distancient et accusent de responsables d’une nouvelle épidémie (que l’on préfère qualifiée de « rebond ») ceux qui suivent d’autres moyens, conscients que l’état de santé de la population dépend de plusieurs paramètres. De plus, il est regrettable que les gouvernements rejettent sur un certain type de personnes leurs propres incapacités à régler la dynamique de l’épidémie. Ainsi, un journal titre : « Coronavirus : les anti-vaccins peuvent menacer la possibilité d’un retour à la normale ». « Si un vaccin contre le coronavirus semble à portée de main, son succès dépendra aussi de la capacité collective à dépasser « l’infodémie » de désinformation ». En limitant le regard sur une mesure sanitaire, les États amplifient les carences dans des domaines importants et ne développent pas parmi la population les moyens d’améliorer son énergie vitale, la connaissance de ses organes et leurs impacts sur le système immunitaire. De plus, un tel développement permettrait d’améliorer l’état de santé global et non pas de viser simplement l’éviction d’un coronavirus déterminé, d’autant plus que d’autres sont prêts à se développer en temps voulu, selon les lois de la nature, comme cela a toujours existé.

En outre, si les États tenaient compte de toutes les expériences faites parmi les malades du covid et non pas seulement celles limitées au choix d’un « comité d’experts », la population serait amenée à participer à une démarche collective de création de solutions au lieu d’être contrainte de se refermer sur elle-même et de se restreindre d’activités favorables à la santé. Comment faire confiance à un gouvernement dont les mesures édictées aux effets très approximatifs affaiblissent beaucoup de personnes et peuvent aggraver fortement des symptômes déjà connus ? Revenir au bon sens serait profitable pour tous. Un bel exemple nous est donné par un médecin africain.

Ce qui est très restrictif aussi c’est de limiter les bilans de la situation à des chiffres de cas contaminés ou de tests positifs qui ne reflètent pas la façon dont les personnes concernées se défendent contre la maladie. Quant au décompte des hospitalisés ou des morts, il faudrait tenir compte de toutes les causes qui ont conduit à cet état déficient, de même les comparer aux autres années, aux saisons similaires, en rajoutant aussi les facteurs qui se sont modifiés entre les différentes années. Ainsi, en brandissant des chiffres, on s’éloigne de l’existence réelle des êtres humains. En fait, je vois là une similitude avec les chiffres des vaccins commandés qui ne tiennent pas compte du réel besoin des habitants dans leurs globalités ni de la capacité financière de la nation, là où la dette publique aurait aussi besoin d’améliorer sa santé !

Pour faire face à l’épidémie de coronavirus qui sévit en France, le gouvernement aurait déjà réservé pour 202 190 000 doses pour un coût de 1,5 milliard d’euros.

Maintenant, les gouvernements font le décompte des gens à vacciner, sans tenir compte de leurs états de santé ni de tout l’impact que peut avoir sur eux l’injection de produits peu expérimentés. Une situation parmi d’autres est illustré par cette question cruciale : « Vaccins en Ehpad : mission impossible ? » Les patients très âgés en EHPAD sont-ils vraiment les meilleurs candidats à un vaccin contre la Covid » ?

La politique brandit le chiffre des morts dans le monde pour impressionner la population, sans tenir compte de la réalité existentielle des trépassés et de toutes les causes de décès dont le coronavirus n’a été que le révélateur et trop souvent le prétexte aux statistiques.

Face à une situation économique très problématique, les économistes s’accrochent au concept : « La reprise économique suspendue au vaccin contre le coronavirus ». Ainsi, ils utilisent le conditionnel, ce qui relève peu de la science rigoureuse : « L’arrivée d’un vaccin devrait permettre de contrôler la propagation du virus et relancera ainsi une économie lourdement affectée par la « pandémie », affirment plusieurs économistes suisses ». Et ils martèlent que c’est la « pandémie » qui a lourdement affecté l’économie alors qu’il serait temps de reconnaître que ce sont les mesures dites sanitaires qui ont mené beaucoup d’entreprises à la faillite ou à devoir attendre les subventions qui, à leurs tours, mettent l’économie du pays à mal.

On peut dire qu’il n’est plus d’actualité d’avoir la foi en un être tout-puissant mais l’humain a une propension innée à se tourner vers des croyances, ce qui semble être le cas vis-à-vis d’un vaccin ! Autrefois, on érigeait des cathédrales, aujourd’hui on investit des sommes colossales dans l’espoir de vaincre un microorganisme que l’on nous montre couronné. Les temps changent mais il reste à l’être humain son libre-arbitre pour décider s’il veut se tourner vers l’immensément grand ou l’infiniment petit…

Marie-France de Meuron

source : https://mfmeuron.blog.tdg.ch/

Source : Lire l'article complet par Réseau International

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À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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