Les populations d’un grand nombre de pays auront cette année été soumises à un véritable déluge de leçons oubliées depuis des générations sur la manière dont s’exerce sur eux le pouvoir et le contrôle. Je pense que la majorité des Occidentaux, en particulier, se croient depuis longtemps « à l’abri » des gouvernements totalitaires, de la micro-gestion collectiviste et de la culture communiste. Ils étaient convaincus que nous avions dépassé les cauchemars du XXe siècle. Ils imaginaient que le « nouveau monde » serait plus utopique, et que les progrès technologiques nous feraient la grâce d’une liberté accrue.
Bien sûr, dans le subconscient de chacun, la crainte que les bons moments soient une illusion et que la dystopie ne soit qu’un mince vernis de stabilité économique et de faux optimisme existe, mais la plupart ne pensent pas vraiment que de telles catastrophes se produiront au cours de leur vie. Nous sommes aujourd’hui au milieu d’une pandémie délibérément sur-médiatisée, d’un confinement national strict, de troubles civils, d’émeutes, d’une censure technologique agressive, d’une censure gouvernementale intrusive, d’un endettement sans précédent des entreprises et du Trésor, d’une relance des banques centrales stagflationniste [mot valise pour définir une croissance économique lente associée à un taux d’inflation et de chômage élevé – NdT] et de l’effondrement de bulles financières massives. Pourtant, je n’ai toujours pas l’impression que de nombreux citoyens saisissent réellement l’ampleur du danger ; ils croient toujours que la situation va se résoudre d’elle-même sans aucun effort ni aucun sacrifice de leur part.
C’est la première leçon du pouvoir : des sociétés entières peuvent être facilement influencées lorsqu’elles souffrent de l’illusion que les mauvais moments seront éphémères et que les gouvernements les garderont en sécurité quoi qu’il arrive.
Il est historiquement prouvé que les gouvernements ont tendance à CRÉER les problèmes plutôt qu’à les résoudre, et ce parce que la dynamique du pouvoir du gouvernement ne change jamais. Les hommes politiques pour lesquels nous « votons » ne contrôlent pas, ce sont plutôt les élites qui financent leurs campagnes et qui imprègnent leurs cabinets qui contrôlent. Les représentants politiques vont et viennent, mais les élites de l’establishment ne partent jamais. Par conséquent, les problèmes auxquels notre société est confrontée demeureront ; ils sont le résultat direct de la structure de pouvoir subversive et perpétuelle qui sert les intérêts d’une élite minoritaire plutôt que ceux du public. Le déclin de notre société vers la tyrannie ne s’arrêtera pas tant que cette structure de pouvoir et les personnes qui la sous-tendent n’auront pas disparues.
Ce serait en fait une chose simple à réaliser si suffisamment de personnes acceptaient la vérité et passaient à l’action. Les élites, les mondialistes, l’establishment, le « nouvel ordre mondial » — quel que soit le nom que l’on donne à cette organisation constituée de puissants avides de pouvoirs tyranniques — ne sont qu’une collection de psychopathes et de parasites, pour la plupart médiocres et faibles. Ils opèrent carrément au vu et au su de tout le monde ; ils proclament fièrement et régulièrement leurs affiliations et leurs intentions par l’intermédiaire de leurs institutions hôtes, du Council on Foreign Relations à Tavistock en passant par Bilderberg et le Forum économique mondial, le FMI, la Banque des règlements internationaux, la Fondation Ford, la Fondation Rockefeller, la Fondation Open Society, etc. Désormais, peu de choses sont encore secrètes les concernant.
Note du traducteur : On ne le répétera jamais assez : la plupart des hommes politiques de haut niveau sont d’authentiques malades mentaux. Il ne s’agit pas là d’une boutade, et l’on comprendra mieux le phénomène en lisant ce très bon livre, aux éditions Pilule Rouge : La ponérologie politique : étude de la genèse du mal, appliqué à des fins politiques.
Extrait :
« Il a toujours existé, dans toutes les sociétés, sur cette Terre des gens atteints de déviances psychologiques. Leur style de vie inclut une forme de prédation sur la créativité économique de la société, parce que leur propre créativité est en général en dessous de la moyenne. Quiconque se branche sur ce système de parasitisme organisé perd graduellement toute capacité de travail légal. »
~ Andrzej Lobaczewski, 2006, La ponérologie politique : Étude de la genèse du mal, appliqué à des fins politiques, p. 298Ailleurs :
« Mais que sait-on au juste des motivations qui incitent les gens au silence et les poussent à n’être que des observateurs passifs de la dégénérescence de notre société, voire de la « banalisation du mal » qui s’y développe ? Comment comprendre les mécanismes psychiques qui sous-tendent la passivité de la grande majorité de la population face aux nombreuses décisions absurdes[1] que prennent nos dirigeants, car comme le souligne André Sirota, chercheur en psychologie sociale : « On échappe difficilement à la prison de l’histoire collective quand celle-ci sédimente les haines absurdes de plusieurs systèmes et cultures publiques et politiques, excitées par de grands délirants pervers qui sont pourtant portés puis laissés au pouvoir[2]. »
Les constats pleuvent à l’envi et se résument à ceci : tout va mal partout. On a beau réfléchir au problème, le tourner dans tous les sens, la conclusion reste la même : tout empire. Les systèmes politiques aux noms interchangeables ne semblent-ils pas tous fonctionner de façon similaire ? Proposant aux populations un idéal de vie aux « thèmes » tout à fait restreints ? Ce que l’on peut faire, ce que l’on ne peut pas faire ; ce que l’on possède, ce que l’on voudrait posséder ; ce que l’on aime, ce que l’on n’aime pas.
Si l’on admet l’idée que le mode de pensée subordonnant le fonctionnement de toutes nos institutions est pathologique et que c’est un état définitivement incurable, tout s’éclaire. On comprend pourquoi les plus belles théories philosophiques, politiques et sociales ne peuvent œuvrer dans le sens souhaité. On comprend pourquoi les nouveaux partis, les nouvelles tendances et les soi-disant « dissidences » sont si peu efficients. Peut-être est-il plus important de connaître la nature réelle de ce à quoi nous sommes véritablement confronté ? Pour mieux prendre conscience de l’ampleur du phénomène, nous renvoyons le lecteur aux articles suivants :
Malheureusement, la plupart des gens doit toucher le fond avant d’accepter l’idée de ne pas pouvoir compter sur le système corrompu pour les sauver. Et tant que les populations continueront à croire aveuglément que le système se corrigera de lui-même, elles n’agiront jamais. Les élites agissent ouvertement en toute impunité parce qu’elles savent que les êtres humains sont plus susceptibles de demander de l’aide au système que de régler par eux-mêmes un problème. Si quelqu’un parvenait à mettre fin à ce seul fantasme des masses, les élites disparaîtraient demain.
Voici la deuxième leçon du pouvoir : la perception du consentement crée un consentement légitime. En d’autres termes, lorsque des personnes sont convaincues que leurs collègues, leurs amis et leurs voisins ont accepté un certain niveau de tyrannie, ils ont tendance à eux aussi l’accepter pour ne pas se distinguer ou attirer sur eux l’attention ; pour ne pas sembler être « aberrants ». Les personnes en quête de pouvoir n’ont qu’à créer l’illusion d’un consentement de masse. Même lorsque la majorité des individus est contre eux, la perception de conformité peut parfois éclipser la logique.
Le contrôle s’effectue généralement de manière passive, sans recours à la force. Parfois, il n’est même pas nécessaire de recourir à la menace de la force ; parfois, il suffit d’inspirer la peur que représente le fait de se démarquer de la foule.
Par exemple, la pandémie a ces six derniers mois été utilisée comme un moyen d’élaborer un tel récit. Les « règles » imposées quant au port du masque sont particulièrement insidieuses en ce qu’elles font naître des illusions de respect et de soumission. « Tout le monde » porte un masque, donc tout le monde doit soutenir la tyrannie médicale. Si l’on s’en tient concrètement à la science de la virologie et de la propagation viral, le port du masque est une véritable farce. Le CDC ne recommande toujours pas les masques en tissu à ses propres employés et les autorise uniquement à utiliser des masques munis de filtre de type N95. Une étude danoise récente et censurée confirme la réalité, à savoir que les masques sont pour la plupart inutiles.
La stricte application des règles relatives aux masques en tissu n’a rien fait pour empêcher la recrudescence des infections dans de nombreux pays et États américains. Le fait que, dans de nombreux endroits, les masques soient exigés à l’EXTÉRIEUR malgré les innombrables preuves scientifiques démontrant que la lumière UV et l’air libre tuent les micro-organismes, y compris les virus, montre que les mesures de confinement n’ont rien à voir avec la science ou le fait de sauver des vies. Il s’agit de contrôle.
Note du traducteur : L’objectif viscéral des gouvernements visant à encourager l’utilisation continue des masques faciaux est de renforcer la peur afin que leurs propres programmes de gestion des risques puissent être intensifiés. En termes purs, il ne s’agit de rien d’autre que de manipulation psychologique et cela n’a rien à voir avec la santé ou la sécurité des personnes. Voir nos article sur l’inutilité des masques :
Quant à l’étude danoise mentionnée par l’auteur ci-dessus, les résultats ont été publiés il y a deux semaines dans Annals of Internal Medicine. Voici leurs conclusions :
« La recommandation de porter des masques chirurgicaux en complément d’autres mesures de santé publique n’a pas réduit le taux d’infection par le Sras-CoV-2 de plus de 50 % chez les porteurs [du masque] dans une communauté où le taux d’infection est modeste, où il existe un certain degré de distanciation sociale et où le port général du masque est peu fréquent. Les données étaient compatibles avec un degré moindre d’autoprotection. »
Il n’existe donc pas suffisamment de preuves pour suggérer que le port d’un masque lors de vos sorties quotidiennes vous protégera de l’infection !
Nous pouvons tenir compte de tous les facteurs logiques, mais, et simplement parce qu’elles ont peur d’être jugées par ce qu’elles perçoivent comme étant la majorité, nombre de personnes porteront un masque si elles en voient d’autres le faire. En réalité, la majorité des individus portent leur masque avec réticence, et ils les enlèveraient demain s’ils étaient certains que d’autres personnes feraient de même.
C’est la raison pour laquelle les grands médias prônent le port du masque dans leur propagande quotidienne, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Les journalistes se tiennent au coin des rues ou dans les parcs en plein air et portent des masques devant les caméras. Les politiciens portent des masques même lorsqu’ils sont filmés chez eux. Des célébrités et des entreprises essaient de vendre l’idée que porter le masque, c’est « cool ». Après tout, si vous ne portez pas de masque, vous pourriez mettre en danger des centaines ou des milliers d’autres personnes voire même tuer leurs grands-mères, n’est-ce pas ?
Les masques ne font rien. Ils ne permettent pas d’arrêter la propagation du virus ni de sauver des vies. C’est un fait qui ressort clairement des chiffres du nombre d’infections données par les mêmes autorités qui les brandissent pour justifier de la nécessité de porter un masque. Mais si par le biais de la propagande les élites de l’establishment peuvent vous convaincre de porter un masque tous les jours, alors elles ont devant elles un boulevard grand ouvert pour dicter de nombreux autres aspects de votre vie. Les masques ne sont qu’une porte d’entrée vers des obligations plus destructrices.
La solution à ce type de tyrannie est de cesser de se préoccuper de ce que pensent les autres, surtout lorsque les faits sont de votre côté. Dans la ville où je vis, la grande majorité des gens ont dit non aux directives sur les masques. Si quelqu’un veut porter un masque parce qu’il croit qu’il le protégera, c’est très bien. Mais personne ne va nous dire que nous devons les porter « pour notre propre bien ». Cela dit, même si j’étais la SEULE personne à ne pas porter de masque en ville, je me ficherais de savoir si cela dérange les autres. Votre credo doit être « essayez de me forcer à porter un masque, et on verra ce qu’il se passe… »
Voici la troisième leçon du pouvoir : la force ne mène au contrôle que si vous répondez par la soumission. Un groupe de personnes peut vous battre ou même vous tuer, mais il ne peut pas vous forcer à vous soumettre si vous ne craignez pas pour votre propre vie.
Note du traducteur : Il existe sans doute une prédisposition naturelle, ou apparaissant comme telle chez l’être humain, à la soumission, notamment aux figures de l’autorité, mais cela fonctionne aussi face à une majorité : de façon générale, un enfant obéit instinctivement à ses parents. Une tendance à l’obéissance mise à profit, depuis des siècles, par ceux que le pouvoir attire, ceux qui ont donc construit le système que nous connaissons actuellement et qui voit chaque être humain de la planète assujetti aux conventions morales, sociales et politiques de son pays, où l’autorité de l’État se substitue finalement à l’autorité parentale.
On réalise ici qu’une structure sociale de type pyramidale est une configuration idéale. Elle favorise la dissémination des comportements pathologiques : les personnes qui se situent au sommet de l’édifice ont tout loisir d’infecter les personnes sous leur autorité. Ainsi une personne ordinaire peut voir son « capital bonté » corrompu, diminué, disparu, sous l’effet d’une pression quelconque venant d’un individu qu’elle aura considéré comme « hiérarchiquement supérieure », d’une quelconque manière.
Je constate que l’utilisation de la force par les tyrans est fondée sur l’hypothèse que les individus qu’ils cherchent à contrôler n’opposeront pas vraiment de résistance. Dès que les gens ripostent efficacement, le tyran est choqué. La plupart des tyrans accèdent au pouvoir, non pas parce qu’ils ont gagné de multiples batailles et ont soumis leurs adversaires, mais parce qu’ils n’ont tout d’abord jamais eu besoin de se battre. Ou alors, ils gagnent une petite série de batailles faciles — souvent mises en scène pour paraître plus victorieux qu’ils ne l’étaient en réalité — et utilisent ensuite ces médiocres victoires comme un moyen de terrifier toute opposition future pour la dissuader de riposter. Les tyrans se mettent à croire leurs propres mensonges et à présumer de leur propre invincibilité.
Les prédateurs ne recherchent pas des cibles indociles, ils recherchent des cibles vulnérables. Pour lutter contre les tyrans, il faut que les cibles indociles les recherchent et les frappent pour affaiblir leur confiance. Lorsqu’ils sont touchés, les prédateurs ont pour habitude de s’enfuir.
Mais cela exige l’existence d’individus qui ne vivent pas dans la crainte de ce qui pourrait advenir s’ils ripostent. Le concept de sacrifice du confort — ou bien pire — ne peut pas être un problème. La peur s’efface lorsqu’une personne se bat pour quelque chose de plus grand qu’elle. Il ne s’agit pas toujours de sa propre survie, parfois il s’agit de la survie des générations futures ou de la survie d’un ensemble de principes. À mesure que cette peur disparaît, l’illusion de contrôle sur laquelle s’appuient les tyrans disparaît également.
Voici la quatrième leçon du pouvoir : soit les idéaux découlent de la conscience humaine, soit ils n’en découlent pas. Et s’ils n’en découlent pas, alors ces idéaux ne méritent pas d’être adoptés ou défendus. La conscience de l’homme moyen n’est pas aussi ambiguë et changeante que l’establishment voudrait vous le faire croire. Une grande partie des êtres humains fonctionnent sur la base d’un certain ensemble de morales et de principes inhérents qui sont partagés de manière universelle ; ils n’ont pas besoin qu’on leur enseigne ces principes, ils les connaissaient déjà à leur naissance. Si ces règles n’étaient pas ancrées dans notre psychisme, notre espèce se serait autodétruite il y a des milliers d’années.
Les élites de l’establishment voudraient vous faire croire que tous les idéaux sont un produit de l’environnement, et que ceux qui contrôlent l’environnement contrôlent par extension la morale de la population. C’est un mensonge. Des valeurs telles que la liberté existent même dans les environnements les plus oppressants, et même lorsque le risque est écrasant, elle constitue dans les populations une quête fondamentale. L’empathie est également inhérente à la plupart d’entre nous, mais un certain pourcentage de personnes en sont à la naissance complètement dépourvue. Au milieu de toute lutte de pouvoir, le VRAI combat se situe entre ceux qui sont nés avec une conscience, des valeurs et de l’empathie, et ceux qui sont nés sans ces caractéristiques de base.
Les tyrans psychopathes veulent désespérément prouver que tout un chacun sur Terre est aussi dépourvu d’humanité et d’âme qu’eux. Ils veulent prouver que la voix de la conscience qui nous guide est un masque que nous portons pour prétendre qu’au fond de nous-mêmes nous ne sommes pas malfaisants. Le contrôle vient du sophisme selon lequel nous sommes dépendants de notre environnement pour nous dire qui nous sommes en tant qu’individus. Le contrôle vient de l’idée que la morale est relative, et que les principes sont des constructions sociales.
La conscience est inhérente, mais c’est aussi un choix. Vous disposez du libre arbitre pour décider de l’écouter ou de l’ignorer. Si un tyran peut vous convaincre d’ignorer la voix de votre propre conscience, alors le seul guide qu’il vous reste dans la vie est votre environnement. Et, si ce tyran domine tous les aspects de votre environnement, il a alors le pouvoir de réécrire — au moins temporairement — votre code moral. Ce qui pourrait vous amener à commettre des actes terribles que vous n’auriez autrement pas commis, ou à soutenir des causes et des idéologies destructrices que vous n’auriez autrement pas soutenues.
Note du traducteur : Le constat est critique, quasi désespérant. On pourra cependant garder à l’esprit que sans la multitude pour accepter et cautionner le Mensonge, l’influence des forces mentionnées plus haut, qui s’expriment au mieux à travers la psychologie dérangée des hommes de pouvoir, est vouée à disparaître ou diminuer fortement. N’est-ce donc pas là le plus formidable des talon d’Achille que de dépendre d’un accord, celui donné par notre conscience et notre cœur d’être humain, pour élaborer cette réalité commune qui nous emprisonne tant ? N’est-ce pas là notre porte de sortie ?
À propos de la servitude volontaire :
Le pouvoir de faire oublier aux gens leur propre voix intérieure constitue le pouvoir totalitaire ultime. Écouter cette voix et ne pas avoir peur des conséquences supposées constitue l’outil ultime contre le mal.
La question de la façade du pouvoir est sur le point de devenir la question déterminante de notre époque en raison de l’accélération du programme de l’establishment élitiste pour un plus grand contrôle centralisé de nos vies.
La vérité qu’ils ne veulent pas que vous compreniez c’est qu’ils n’ont pas de pouvoir. Ils n’ont rien. Nous pourrions à tout moment décider de faire fi de toutes leurs directives. Si nous le voulions, nous pourrions dès demain en finir avec eux. Ils ne sont d’aucune utilité pour l’humanité, ils ne servent aucun objectif qui nous soit bénéfique. Seul le désir de vampiriser les populations et de réaliser leurs fantasmes de conquête les anime. Tôt ou tard, il faudra s’occuper d’eux — Le plus tôt sera le mieux.
Note du traducteur : Selon un schéma qui ne semble jamais devoir cesser de se répéter, nous avons là une poignée d’individus, au plus hauts sommets des gouvernements, qui ont développé la capacité d’en imposer à la multitude. Incapables en tout, sauf à prendre des décisions inévitablement nuisibles pour le reste du monde, leur point faible, entre autres points faibles, est celui de devoir se faire obéir : faire faire aux autres ce qu’ils ne désirent ou ne peuvent pas réaliser eux-mêmes, pour cause d’incompétence, de nullité, d’inaptitude ; de maladie mentale et de perversion, également.
Totalement dépendants du citoyen ordinaire, dont la seule faiblesse est celle de l’inconscience liée au manque de connaissance, ils sont hautement vulnérables : à la vérité, à l’exposition inlassable de leur faits et gestes, de leurs paroles et de leurs véritables intentions. Voir notre Focus : L’ère du Covid — Décryptage des « techniques de manipulation mentale dignes des régimes totalitaires » servies par une technologie diaboliquement efficace
Articles supplémentaires :
Quelques ouvrages :
- Neuro-esclaves – Techniques et psychopathologies de la manipulation politique, économique et religieuse, Marco Della Luna & Paolo Cioni
- Un si fragile vernis d’humanité – Banalité du mal, banalité du bien, Michel Terestchenko
- La culture du narcissisme, Christopher Lasch
- Le gouvernement du désir, Hervé Juvin
- L‘enseignement de l’ignorance, Jean-Claude Michéa
Source de l’article initialement publié en anglais le 25 novembre 2020 : Alt-Market
Traduction : Sott.net
Source: Lire l'article complet de Signes des Temps (SOTT)