par Jean-Dominique Michel.
Le moins que l’on puisse dire est que la sortie, en ligne, du documentaire de Pierre Barnérias a mis le feu à la toile. Et à vrai dire tant mieux puisqu’il permet l’irruption dans le débat public de questions qui étaient restées soigneusement tues jusque-là dans les médias établis et les discours politiques.
Posons tout de suite une clarification : suis-je en accord avec l’entier des thèses ou propositions du film ? Non.
J’y interviens comme expert interviewé sur mon propre domaine de compétences – l’anthropologie de la santé publique. Pierre Barnérias déroule son propos de réalisateur d’une manière qui correspond à ses convictions, et c’est bien là toute la liberté qu’on puisse et doive accorder inconditionnellement à un cinéaste ! Si j’avais moi-même réalisé ce documentaire, j’aurais assurément partagé nombre des questionnements, interpellations et critiques qu’il énonce mais pas d’autres.
Je reste fondamentalement un agnostique et un sceptique, surtout sur les nombreuses questions qui n’ont pas trouvé réponse à ce stade – l’affaire est complexe. Il n’empêche que les options de Pierre ont le mérite -immense mais surtout collectivement vital- d’ouvrir certains sujets et de poser de vraies questions.
Cette adhésion au débat et à sa provocation (et pas forcément à l’ensemble des thèses d’un auteur), je vois qu’elle semble poser aussi problème sur les réseaux sociaux. Quand je partage l’article d’un auteur par exemple, il m’arrive d’être pris à partie par certains lecteurs comme si chacun des propos exprimés étaient les miens et que j’avais à m’en justifier.
Bien sûr, je ne posterais pas plus que quiconque des productions qui seraient par trop contraires à mes idées ou mes valeurs. Mais il peut arriver que je sois en accord avec 60%, 80% ou 90% des propos tenus tout en considérant que ceux avec lesquels ce n’est pas le cas ont malgré tout vocation à nourrir utilement le débat.
En ce qui concerne HOLD-UP, il est une vérité que personne n’a sérieusement prise en considération à ce jour dans les médias et les responsables politiques : il y a bel et bien des intérêts cachés qui organisent toute une partie -majeure- des réponses sanitaires apportées depuis mars.
Il est amusant d’observer que dans le concert de hurlements et d’injures qu’a déclenché la diffusion de HOLD-UP, comme dans les critiques des « débunkeurs » (et rappelons que débunker est vital donc certes : débunkons, débunkons !) personne n’ait réellement mis en lumière le FOND de la perspective développée. On a préféré -comme de coutume avec le détournement d’attention idoine- focaliser sur de possibles erreurs de détails.
La question de fond est donc bien qu’au-delà de l’origine du coronavirus (et quoi qu’il en soit de celle-ci), il y a bel et bien une orchestration mondiale des mesures visant avant tout à garantir et à optimiser le marché pharmaco-vaccinal.
De manière très pertinente, Pierre Barnérias reprend les principales observations de l’analyse post-mortem de la crise H1N1 par la commission d’enquête du Sénat français. Quoique d’une ampleur limitée, cette épidémie avait permis à Roche de fourguer aux états pour des milliards de dollars d’un médicament inutile (le Tamiflu) et à ces mêmes états d’acheter en masse (90 millions de doses pour la France) un vaccin fait à la vite et qui aura provoqué de terribles effets secondaires (200 enfants sacrifiés et des milliers d’adultes atteints de narcolepsie chez nos voisins).
Dans son analyse, le Sénat français identifiait les principaux leviers de cette mauvaise gestion : dramatisation des chiffres et de la pandémie par l’OMS, conflits d’intérêts majeurs au sein de cette organisation, mauvaises décisions des autorités sanitaires françaises, conflits d’intérêts (bis) au sein des comités d’experts, etc.
Les rapports servent en général à corriger les choses. L’aviation nous en donne une belle illustration puisque chaque accident est mis à profit pour réduire les risques en tirant les bons enseignements permettant de faire évoluer les équipements, les dispositifs ou les procédures.
Ici, c’est un peu l’inverse : H1N1 aura montré comment l’on peut faire les meilleurs profits d’une épidémie (en en fournissant le business modèle en quelque sorte). Onze ans plus tard, c’est une opération à plusieurs centaines de milliards qui est mise en œuvre sous nos yeux d’une manière aussi méticuleuse qu’implacable.
Hystérie et censure
Le déchaînement de la presse et d’une certaine classe politique devrait aussi nous questionner. Tout comme la censure qui s’est immédiatement abattue sur le film et ses canaux de diffusion. On peut contester les thèses de Hold-Up, on peut critiquer les propos des intervenants, mais tout de même : il n’y a rien qui relève d’une quelconque qualification problématique en-dehors du délit d’opinion ! L’équipe de production a fait un excellent travail et nul ne pourrait sérieusement prétendre qu’il y ait quoi que ce soit de répréhensible dans ce film.
Reste donc la transgression du consensus (au sens de Chomsky) soigneusement fabriqué par une machine de propagande depuis des mois. Barnérias montre la réalité de cette « machine de guerre », avec la dominance mondiale de trois grandes agences (Agence France Presses, Reuter et Associated Press) dont l’ensemble des médias nationaux reprennent aujourd’hui docilement (et même servilement) les contenus.
Le métier de journaliste s’est étiolé jusqu’à ne plus constituer pour l’essentiel qu’un copier-coller des nouvelles de ces agences, que l’on ne prend plus la peine de vérifier dès lors qu’elles émanent d’elles. Ô coïncidence, ce sont les mêmes qui passent maintenant au peigne fin les réseaux sociaux pour faire œuvre de police de la pensée, entraînant (c’est une nouveauté) la censure de contenus pouvant aller jusqu’à des articles publiés dans des revues scientifiques (s’ils montrent le résultat positif d’une molécule dont on ne veut pas)… ou des films documentaires !
Que cette surveillance et cette censure ne fassent pas hurler (bien plus que Hold-Up, qui à ce que je sache relève de la liberté d’opinion et d’expression) me questionne passablement.
Le mot a bien sûr été utilisé à toutes les sauces : « complotistes » !
Je pense sincèrement que ceux qui l’utilisent devraient avoir honte. D’abord parce qu’il s’agit d’une injure, passible d’une condamnation pénale. Ensuite parce que ce vocable a une longue histoire associée à des dictatures, l’utilisant pour disqualifier a priori ceux qui entreprenaient de révéler au grand jour leurs crimes. Enfin parce que selon l’adage il convient d’être mesuré : croire que tout est complot ou que rien ne l’est sont des positions aussi déraisonnables l’une que l’autre.
Et c’est là que les choses deviennent franchement intéressantes !
On a vu sur les réseaux sociaux et les chaînes de télévision des choses passionnantes. Comme la réaction furibarde d’une députée LREM sur LCI, reprochant aux journalistes d’avoir parlé du film tout en assénant sa qualité de « spécialiste de la liberté d’expression ». Je ne résiste pas au plaisir de vous indiquer le lien : il s’agit d’un des meilleurs sketches qu’il m’ait été donné de voir (à cela près que ce n’en est pas un… mais c’est vraiment hilarant).
La réaction de la femme d‘Olivier Véran (visé par la justice à divers titres pénaux) vaut aussi son pesant de cacahuètes -au moins pourra-t-on le mettre sur le compte de la passion et lui trouver une vague saveur romantique -malgré le fiel qui en suinte.
Inutile de dire par ailleurs que l’ensemble des participants (comme experts interviewés) du film en prennent pour leur grade : les plis de dénigrement et de disqualification de la presse établie (dont le point commun réside dans les subsides touchés par l’état et pour nombre d’entre eux par Bill Gates – sorry guys, it’s a fact !?) sont systématiquement les mêmes et rappellent la presse des pays totalitaires : « douteux » « prétendu » « contesté » « déviant » « autoproclamé » « dénoncé par la communauté scientifique ».
Un Conseiller d’État genevois s’est même permis de me qualifier « d’anthropologue autoproclamé » (selon la diffamation à mon endroit d’un groupe sectaire), alors qu’il m’a entendu intervenir lors de la séance inaugurale du Congrès européen de psychiatrie sociale (où il était venu prononcer une allocution de circonstance) au cours de laquelle j’avais nommé la corruption systémique du domaine de la santé ! Et que j’ai assumé dans le département qu’il dirige (bien avant qu’il soit là, sous la magistrature du regretté Guy-Olivier Segond) deux mandats d’expertise méthodologiques dans le cadre de la planification sanitaire qualitative du canton de Genève ! Sans même parler de toute ma carrière mais bon, ce genre d’anathème n’a pas vocation au réalisme de toute manière.
Ce qui rappelle vraiment les pays totalitaires : vous êtes quelqu’un de respectable, puis tout-à-coup, par fait de dissidence d’opinions, vous devenez le dernier des gredins… avant éventuellement d’être réhabilité et de redevenir quelqu’un de respectable, parfois même auréolé de la mésaventure subie ! Une observatrice m’a rappelé avec chaleur que les gouvernants passent, les penseurs restent !
Ô miracle !
Dans un registre plus sérieux, cette apoplexie politico-médiatique a aussi un étonnant effet quasi-surnaturel.
Parmi mes différents domaines d’expertise avérés (nul n’est jamais venu me chercher sur ce terrain -et pour cause !) figure l’analyse systémique des dispositifs de santé et notamment de la corruption systémique qui y sévit.
Voyez-vous arriver le miracle ? Si non, commençons d’abord par la schizophrénie : c’est un motif extrêmement étonnant dans ce domaine que d’une part la massivité et la gravité de cette corruption structurelle sont parfaitement connues, reconnues et même énoncées par les acteurs eux-mêmes.
Je les ai abondamment cités au long des mois donc je m’excuse par avance des redites, mais les constats de la putritude des dérives mercantiles et immorales (au point d’en être criminelles) sévissant dans le domaine de la santé abondent : la science est largement corrompue, les autorités de santé sont largement corrompues, les agences de surveillance du médicament sont largement corrompues -et la finalité de tout ce « système » n’est plus depuis longtemps la santé de la population. Les complotisss affirmant cela ? Et bien par exemple la brochette de suspects qui suit :
« Le secteur de la santé dans lequel la vulnérabilité à la corruption est généralisée, en ce qui concerne notamment les marchés publics et l’industrie pharmaceutique, a donné lieu à une étude plus détaillée dans plusieurs États membres. Ces pays élaborent actuellement des stratégies et des réformes pour tenter de venir à bout de la corruption dans le secteur de la santé. Les résultats tangibles sont toutefois maigres jusqu’à présent. Les commissions occultes et la corruption dans les marchés publics et le secteur pharmaceutique demeurent préoccupants. »
Rapport de la commission au conseil et au parlement européen (rapport anticorruption de l’UE 03.02.2014)
Dans de nombreux pays, la santé est l’un des secteurs les plus corrompus (…)
La corruption est généralement définie comme « l’utilisation abusive d’un pouvoir public ou d’un pouvoir confié à des fins privées ». Une distinction est souvent faite entre la « grande » et la « petite » corruption. D’autres définitions font la distinction entre les types de corruption, qui comprennent entre autres la corruption politique et institutionnelle. Par exemple, la « corruption institutionnelle » résulte de la normalisation des comportements qui compromettent la recherche de la vérité et conduisent à la formation de structures d’incitation perverses, et concerne donc le comportement des acteurs qui exploitent leur position institutionnelle pour influencer les processus et les actions des institutions.
Trois caractéristiques principales rendent le secteur de la santé particulièrement vulnérable à la corruption : les asymétries de pouvoir et le déséquilibre des informations, l’incertitude inhérente à la sélection, au suivi, à la mesure et à la fourniture des services de santé et la complexité des systèmes de santé.
Dans mon rapport, j’ai mis l’accent non seulement sur les formes de corruption qui sont légalement définies comme des infractions à la loi, mais aussi sur les pratiques qui sapent les principes d’éthique médicale et de justice sociale, ainsi que l’efficacité et la transparence de la prestation des soins de santé.
(…)
En termes d’obligations légales, la corruption sape l’obligation de l’État de réaliser le droit à la santé « au maximum de ses ressources ».
La corruption, dans la société en général et dans le secteur de la santé en particulier, affecte l’environnement réglementaire et l’efficacité des institutions de l’État. Elle entrave la croissance économique et le développement durable ainsi que la distribution équitable des ressources. Elle sape la confiance du public dans l’État et entrave la réalisation des engagements pris dans le cadre des objectifs de développement durable, en particulier l’objectif 16 visant à créer des institutions efficaces et responsables. »
Déclaration de Dainius Pūras, rapporteur spécial sur le droit qu’a toute personne de jouir du meilleur état de santé physique et mentale possible, lors de la 72e session de l’Assemblée générale des Nations-Unies (2017). Lien vers le texte original (en anglais).
« La plupart des études scientifiques sont erronées, et elles le sont parce que les scientifiques s’intéressent au financement et à leurs carrières plutôt qu’à la vérité. »
« Il est en effet effrayant de voir combien de similitudes il y a entre cette industrie et la mafia. La mafia gagne des sommes d’argent obscènes, tout comme cette industrie. Les effets secondaires du crime organisé sont des meurtres et des morts, et les effets secondaires sont les mêmes dans cette industrie. La mafia corrompt les politiciens et autres, tout comme l’industrie du médicament… »
Dr Richard Smith, ancien rédacteur en chef du British Medical Journal
« Il n’est tout simplement plus possible de croire une grande partie des recherches cliniques qui sont publiées, ni de se fier au jugement de médecins de confiance ou à des directives médicales faisant autorité. Je ne prends aucun plaisir à cette conclusion, à laquelle je suis parvenu lentement et à contrecœur au cours de mes deux décennies de travail de rédactrice en chef. »
Dr Marcia Angell, ancienne rédactrice en chef du New England Journal of Medicine
« L’industrie pharmaceutique trahit systématiquement ses responsabilités à l’égard de la population et des institutions. Les grandes firmes se sont de plus en plus focalisées sur le marketing, bien plus que sur la recherche, et elles exercent une influence omniprésente et persistante, non seulement sur la médecine et la recherche, mais sur les patients, les médias, les administrations, les agences de régulation et les politiques. (…)
Elle s’est infiltrée dans tout le système, à tous les niveaux. C’est elle qui définit les programmes et la pratique médicale. Elle définit aussi les objectifs de recherche de médicaments sur d’autres priorités que celles de la santé publique, uniquement en fonction des marchés qu’elle peut s’ouvrir. Elle détermine non seulement ce qui est à rechercher, mais comment le rechercher et surtout comment les résultats en seront interprétés et publiés. Elle est maintenant hors de tout contrôle. Ses tentacules s’infiltrent à tous les niveaux. Il faut lui imposer de profonds changements. »
Rapport de la Chambre des Communes du Royaume-Uni, 2005
« Au cours des 35 dernières années, les patients ont souffert d’une épidémie largement cachée d’effets secondaires de médicaments qui ont généralement peu de bénéfices compensatoires. L’industrie pharmaceutique a corrompu la pratique de la médecine par son influence sur le développement des médicaments, la manière dont ils sont testés et la création de connaissances médicales »
Centre d’éthique de l’Université de Harvard
« Aujourd’hui, les objectifs de la politique pharmaceutique et de la pratique médicale sont souvent sapés par la corruption institutionnelle – c’est-à-dire des pratiques répandues ou systémiques, généralement légales, qui sapent les objectifs ou l’intégrité d’une institution. Nous verrons que les objectifs propres de l’industrie pharmaceutique sont souvent pervertis. En outre, le financement des campagnes électorales et du lobbying par l’industrie pharmaceutique fausse le processus législatif qui définit la politique pharmaceutique. »
Journal of Law, Medicine and Ethics, Vol. 41, p, 544, 2013 & Suffolk University Law School Research Paper No. 13-25
« Il est clair (…) que l’industrie pharmaceutique fait un travail biaisé de diffusion des données probantes – être surpris par cela serait absurde – que ce soit par le biais de la publicité, des représentants de médicaments, de l’écriture fantôme, de la dissimulation de données, de la corruption des gens ou de la mise en place de programmes éducatifs pour les médecins. »
Pr Ben Goldacre, Nuttfield College, Oxford et auteur de Bad Pharma: How Drug Companies Mislead Doctors and Harm Patients
Bref, il paraîtrait difficile de trouver une reconnaissance plus établie d’un problème ! Et c’est là que le miracle du Covid apparaît : alors même que même des médias comme Le Temps et la RTS (pourtant serviles de ces intérêts en diable) ont osé aborder le sujet dans un passé pas si lointain, voici que dans cette crise plus rien de cette nature n’existe ou n’existerait qui justifierait le moindre travail journalistique ou d’investigation !
Ceci alors qu’il est ÉVIDENT -simplement parce que dès lors qu’il s’agit d’un problème systémique il ne saurait en être autrement et que nous en avons de surcroît une montagne d’indices sous les yeux !- voici que ce paramètre fondamental n’est (tout à coup et oui, comme par miracle) plus du tout à l’ordre du jour !
On a même vu une journaliste « scientifique » sur LCI faire une déclaration de foi enflammée (rappelant les fanatiques religieux ou politiques) en faveur des probes pharmas et leurs salvateurs médicaments ! Soit cette dame truande à dessein son public, soit elle ignore tout de cette question pourtant de notoriété publique et la porte de sortie semble la seule destination adéquate à son incompétence !
Complot, oui !
Il y a dans toute cette sinistre affaire au moins un complot dont je suis convaincu : celui mené à l’échelle planétaire contre l’hydroxychloroquine. Nous avons quand même tous pu voir (sauf à avoir de la purée de marron devant les yeux) en temps réel et sous nos yeux les énormes manipulations qui se sont succédé :
Comme celle consistant à prétendre d’emblée qu’il s’agissait d’une solution douteuse ou ridicule, alors que l’efficacité in vitro de l’HCQ sur le Sars-CoV-1 avait été démontrée, et que les Chinois comme les Coréens dès le mois de mars attestaient d’une efficacité observée in vivo.
Nous eûmes ensuite droit à un mois de propagande à tout crin (relayée abondamment par Le Temps et la RTS) pour faire passer un des remèdes les plus sûrs et les plus utilisés de la pharmacopée pour une substance dangereuse ! Allégations complètement démenties depuis mais qui auront obtenu le résultat escompté de renoncer à soigner les patients avant qu’ils soient au bord de la mort !
Une fois cette folie passée, on a prétendu que les études observationnelles n’étaient pas probantes (faux !) et que des études randomisées devaient donc être conduites pour tirer l’affaire au clair. Seulement voilà : AUCUNE des grandes études construites soi-disant à cette fin n’évaluaient l’HCQ en prescription précoce, avec des filouteries odieuses (comme dans l’étude britannique Recovery, prescrivant l’HCQ en surdosage toxique à des patients intubés en réanimation).
Nous avons ensuite tous assisté à la truanderie criminelle du Lancet, publiant un papier de m… qu’il n’aura fallu que 10 minutes au Collectif citoyen de France Soir, à Philippe Douste Blazy (selon son témoignage) ou à votre serviteur pour identifier comme un faux grossier !
Comment ce torchon a-t-il pu être publié dans la « meilleure revue médicale au monde », la veille de l’Ascension (tablant sur quatre jours sans réactions) pour faire (grâce à l’AFP) les gros titres mondiaux, conduisant à des prises de position illico presto de l’OMS et du gouvernement français sur la base d’un papier que tout étudiant en première année aurait été capable d’identifier comme une escroquerie.
Or que vit-on ?! Une complaisance invraisemblable (notamment, bien tiens, dans Le Temps et la RST) expliquant d’abord que cela enterrait définitivement l’HCQ contre remède contre la Covid-19 (propos tenus par Samia Hurst et Alexandra Calmy des HUG sur la RSTS ) puis de manière scandaleuse que, ma foi, « la science c’est compliqué, il peut y avoir des erreurs, ça fait partie des risques » alors que nous étions face à un FAUX GROSSIER et une action dont tout porte à croire qu’elle était délibérée à des fins criminelles.
Quels journalistes sont ensuite allés enquêter sur les auteurs de cette monstrueuse arnaque ?! En Suisse, aucun ! En France, aucun ! En Belgique, aucun !
On a vus ensuite des dizaines et des dizaines d’études aboutissant à la conclusion que l’HCQ réduisait bel et bien le risque d’hospitalisation ou de mortalité de 305 à 70% , réalisées dans différents pays, publiées dans des revues médicales sans jamais que la presse généraliste s’en fasse l’écho d’une quelconque manière !
Jusqu’à une nouvelle truanderie, une « méta-analyse » complètement falsifiée elle aussi, publiée par une équipe franco-suisse au mois d’août avec le même traitement de faveur enthousiaste de médias comme Le Temps et la RTS ! Faisant le buzz pendant des jours pour marteler la même conclusion fausse. Une « étude » qui mériterait elle aussi une enquête pénale.
Pour celles et ceux que cela intéresse, M. Patrick-Yves Badillo, professeur et directeur du Medi@Lab à l’Université de Genève, a réalisé une recherche édifiante sur les parti-pris de deux des principaux journaux français contre l’hydroxychloriquine. Là encore, il faut vraiment être sourd muet et aveugle pour nier l’évidence d’un parti-pris scandaleux, ce dont ne s’embarrassent aucunement nos pitoyables médias francophones.
Pendant ce temps-là, le laboratoire GILEAD, finançant le monde de la « santé » de la cave au grenier avec une « générosité » rappelant celle de Bill Gates, parvenait sans encombres à faire valider (oui, par la Suisse, l’Europe et les États-Unis entre autres) son Remdesivir toxique, inefficace et hors de prix ($3’500.- par traitement pour un coût de production d’une dizaine de dollars…) tout en se préparant à fourguer son futur vaccin, produit avec Astrazeneca.
Silence on dort ?!
Comment et pourquoi tous ces faits avérés n’ont-ils pas fait bondir les rédactions, les ministères, les facultés de médecine, les populations ?! Eh bien c’est exactement à cela que HOLD-UP s’attaque. Et l’on ose espérer qu’il y aura quand même un certain nombre de citoyennes et de citoyens pour ne pas se laisser arrêter par les vociférations lapidatrices des médias enragés à l’unisson !
Je crois même que rares sont celles et ceux aujourd’hui à ne pas se douter qu’il y autre chose que ce qu’on leur dit derrière ce qui organise les choses.
Et j’aimerais bien que des responsables comme Mauro Poggia (ministre genevois de la santé), Alain Berset et Olivier Véran nous disent comment ils composent avec cette corruption systémique connue et avérée dès lors que la santé de la population est en jeu !
Ce qu’on a vu pour l’instant, c’est ce beau monde bloquer l’hydroxychloroquine et tous les autres remèdes utiles en prescription précoce pour favoriser systématiquement le honteux Remdesivir et plaider d’emblée la cause unique d’un vaccin à venir… sachant au passage qu’aucun vaccin n’a jamais été réalisé contre un coronavirus, que la forte mutabilité de celui-ci rend la perspective très douteuse, que les vaccins à l’étude utilisent une biotechnologie transgénique qui va impacter sans aucune garantie de sécurité l’ADN de nos cellules, avec une procédure de mise sur le marché accélérée (et donc plus risquée) et d’ores et déjà une impunité accordée aux laboratoires pour tous dommages éventuels… le tout assorti d’une obligation vaccinale que certains commencent à réclamer à cor et à cris.
Transhumanisme et autres
Sur les autres thèses ou hypothèses du film je ne m’aventurerai pas, y étant hors de mon domaine de compétences. On me trouvera malgré tout très soupçonneux de la place insensée prise par Bill et Melinda Gates (et leurs lobbies vaccinaux) à tous niveaux puisqu’ils financent l’ensemble des organisations internationales, nationales et scientifiques impliquées dans cette histoire, de l’OMS au tristement fameux Imperial College et au Centre John Hopkins, de Swissmedics au Monde et de nombreux titres de presse en passant bien sûr par les HUG et le CHUV.
Est-ce normal ? Est-ce sain ? Est-ce disproportionné au regard de la souveraineté actuelle des États ? Autant de questions où l’on aimerait aussi entendre nos responsables politiques -ou sur lesquelles un débat démocratique et citoyen pourrait faire sens.
Sachant -et c’est la pointe du film- que Gates (comme Bezos ou Musk) est bel et bien un transhumaniste délirant rêvant d’améliorer l’espèce humaine grâce à des manipulations transgéniques : il voit (et le dit ouvertement) le vaccin contre le Covid comme un premier pas majeur dans cette direction !
Entends-tu, ami, la « presse » et les politiciens hurler au fond des bois ?
On aimerait surtout qu’ils reviennent sur terre, se remettent au service de la population et se mettent à enquêter sur les vraies questions, cruciales et sanglantes, qui se posent à nous. Plutôt que de rester dans cette nouvelle dérive toute-puissante de jouer à la police de la pensée, d’imposer des mesures totalitaires les unes après les autres et de jouer les larbins de service détournements d’attention et lynchages médiatiques à l’appui- au profit des vrais dangers dans toute cette histoire !
source : https://jdmichel.blog.tdg.ch
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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« La question de fond est donc bien qu’au-delà de l’origine du coronavirus (et quoi qu’il en soit de celle-ci), il y a bel et bien une orchestration mondiale des mesures visant avant tout à garantir et à optimiser le marché pharmaco-vaccinal. »