On savait un peu que la plupart des masques étaient nocifs à la santé et plus particulièrement ceux traités avec des substances chimiques toxiques. Ils ont néanmoins été imposés à la majorité des populations en guise de panacée contre le COVID-19.
Certains masques anti-COVID-19 sont traités avec des substances chimiques cancérigènes avérées et des perturbateurs endocriniens susceptibles d’affecter l’équilibre hormonal et avoir un impact sur la reproduction humaine.
Dans certains pays, des masques non homologués sont traités avec des substances chimiques tératogènes interdites par des Conventions internationales.
Ce type d’information est censuré par les grands Manitous des réseaux sociaux pour une raison bien simple: le profit. Mais également par choix lié à l’idéologie diffuse et dominante.
Le port du masque est donc non seulement inutile vu la taille du virus, bien inférieure aux micro pores des tissus composant la muselière humaine, mais également dangereux car il implique, outre la difficulté de respiration, une inhalation de produits chimiques potentiellement nocives pour la santé.
Le port du masque est donc un enjeu de santé publique mais pas dans le sens voulu par des pouvoirs publics totalement soumis au diktat des lobbies. Comme tout produit manufacturé, l’usage du masque en permanence est plus dangereux pour la santé que le COVID-19.
Vouloir l’imposer à tout prix comme une nouvelle muselière physique et distinctive au cheptel humain aurait du nous interpeller. Le bâillonnement était symbolique, abstrait et conceptuel jusqu’à ce qu’il se matérialise à la faveur d’une opération de guerre hybride impliquant un élément biologique de faible latence mais persistant et changeant. Le spectacle devient terne et monotone, la narration officielle inconsistante, il faudra bien continuer à divertir la masse par divers petits stratagèmes ou inventer de nouveaux ennemis imaginaires pour oublier les risques réels induits par des choix systémiques destructeurs.
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