

En avril, mai et juin, les signalements à la DPJ ont chuté de 20,5 % au Québec. Ce qui pourrait sembler une bonne nouvelle n’en est pas une et témoigne probablement du grand isolement de jeunes vulnérables dans les premiers mois de la pandémie.
En avril, mai et juin, les signalements à la DPJ ont chuté de 20,5 % au Québec. Ce qui pourrait sembler une bonne nouvelle n’en est pas une et témoigne probablement du grand isolement de jeunes vulnérables dans les premiers mois de la pandémie.