@Jean Luc,
Quid des pauvres qui ne peuvent pas acheter local, quand ces dites entreprises locales pratiquent des prix plus élevés que chez amazon (sous prétexte qu’elles sont accablées de «charges», et qu’elles doivent faire des bénéfices pour entretenir le 4×4 du patron) ?
Pour ma part, j’achète là où ma bourse me le permet et j’en ai rien à faire pour parler poliment. Tout ce qui m’importe, c’est que le peuple puisse récupérer tous les outils de production vitaux, et je dis bien vitaux (tel que l’agroalimentaire, la santé, les énergie, la construction et la communication) pour le gérer par lui même et ainsi empêcher des raclures de faire du profit sur la vie d’autrui via un système marchand.
Mais bon, visiblement, cela semble compliqué à être compris par mes congénères qui préfèrent coûte que coûte vivre individuellement dans un système marchand tout en se berçant d’illusions et de croyances irréelles (par exemple croire qu’à force de manifester, le pouvoir se mettra a partager équitablement). Et dans un sens, ils n’ont pas tords lorsqu’ils se rendent par moment compte du nombre d’individus possédés par leurs névroses et autres psychoses. L’envie de côtoyer ces dégénérés s’annihile et renforce a vivre pour sa gueule.
Bref, la situation est une histoire de chat qui se mord la queue et où le message du Christ prend tout son sens, en l’occurrence « aimez vous les uns les autres ». D’ailleurs je me permet de rajouter à son message : et surtout soignez vous la psyché !
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