Le truculent MC Jean Gab’1 remet les pendules à l’heure sur les faux chasseurs de skinheads dans les années 80-90, Jo Dalton (Jérémie Maradas-Nado, de bonne famille bourgeoise en Centrafrique) et sa bande de « black dragons ».
« Le combat des black dragons, c’est l’un des plus grands faux débats au monde… Quand eux ils sont descendus, il n’y avait plus de skins dans Paname ! »
Et voici la réponse, en 2017, du faux dur Jo Dalton, qui dirige un club de taekwondo à Ivry-sur-Seine (94), le Cercle des Archers. On est, vous allez le voir, dans le très haut niveau conceptuel…
À propos, on se demande comment la mairie d’Ivry (dirigée par l’édile Philippe Bouyssou, du PCF) peut laisser un escroc à l’origine d’agressions sexuelles et crapuleuses à la tête d’un club qui voit passer de nombreux enfants. Une incongruité de plus dans ce dossier où trop de délinquants semblent avoir les faveurs de la justice ou des autorités politiques.
Dans cette affaire, qui nous force malheureusement à nous plonger dans la médiocre délinquance soi-disant antiraciste (une maigre protection), celle des petits trafics, des viols et des arnaques sur personnes fragiles, le lumpenprolétariat de la truande, on comprend mieux, par extension, pourquoi le pouvoir profond a besoin de ce genre de relais. Ici, on est vraiment tout au fond, au niveau des balances rémunérées par de l’impunité et des business minables.
Une nouvelle mouture de l’esclavage
Il s’agit, à l’instar des antifas intoxiqués par le gauchisme, d’une petite armée de réserve du Capital qui, contre une certaine impunité judiciaire (qui finit toujours mal), monte les sales coups qu’une police politique ne peut assumer. C’est ainsi, aux États-Unis avec la mafia italienne (ou même juive), à un tout autre niveau, que la CIA déléguait ses éliminations politiques ou crapuleuses ciblées.
Nous n’en sommes pas encore là, mais la sous-truanderie incarnée par l’axe Cardet-Dalton, qui se disent maintenant « cousins » (alors qu’ils ne sont pas originaires du même pays), tenue par les relais du pouvoir profond, sort aujourd’hui de l’ombre pour tenter de faire plier les dissidents. Comme tous les proxies de la dominance, ceux qui servent pour les basses œuvres finiront dans les poubelles de l’histoire, mais pas de la grande.
Et puis, le vent peut tourner un jour, on l’a vu en Europe au XXe siècle… Les premiers sont devenus les derniers, et les derniers sont devenus les premiers, comme l’annonçait le Christ. De plus en plus de Français attendent ce moment, celui de la justice, divine et humaine.
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