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Dans une entrevue récente, que nous avons diffusée sur notre webmagazine, le professeur Denis Rancourt a posé le diagnostique des motifs profonds de cette propagande gouvernementale à la « pandémie », au confinement dément, et à l’isolement social débilitant.
La question du port du masque, de la vaccination obligatoire, des gestes barrières et de distanciation sociale (sic), de contrôle civil par puce numérique ne sont pas les questions fondamentales de cette crise économique – puis politique – devenue crise sanitaire comme par accident (!?…) Tous ces débats – et ces combats sociaux sont emblématiques de l’ensemble de l’esbroufe au coronavirus (Covid-19) qui en peu de temps s’est transformé d’un problème local (Wuhan, Lombardie, Madrid, Montréal) en une soi-disant « pandémie » virale internationale sous l’égide de l’OMS et de son président funeste.
Depuis des années, partout à travers le monde capitaliste développé et sous-développé, les gouvernements sont confrontés à des contestations radicales de la part de population sous pression – découragée – insécurisée – désorientée – et qui commence à remettre en cause l’autorité de ces États incompétents – chancelants – déviants – ces États sans autre stratégie que d’imposer leur diktat – leur autorité, sans autre tactique que de servir leur maître et de réprimer toute velléité de résistance populaire, surtout si elle est spontanée.
Voilà pourquoi après cette phase de confinement policier meurtrier – ayant soulevé tant de contestation (ce que les médias mainstream ont soigneusement dissimulé) il devient si important pour ces États menacés et menaçants de gagner ces échauffourées pour le port du masque futile, grotesque, insignifiant, ou pour imposer les gestes soi-disant barrières sous menace de «reconfinement» débilitant, démoralisant, démobilisant, infantilisant. Puis ce sera la bataille pour la vaccination et la puce obligatoires, etc. Bref, un bras de fer est mondialement engagé entre les larbins politiciens de service et les populations désespérées refusant d’être sacrifiées – formatées – matraquées – masquées – traquées – enfermées – affamées. Voilà au final la signification de cette bataille mondiale entre les peuples, dont Belgrade est un modèle de courage et de résilience, et les gouvernements arrogants – désespérants.
L’État des riches a choisi son terrain de combat et nous, Prolétaires Résistants, refusons de nous soumettre à ses diktats… et nous appelons tous les prolétaires à résister à ces mesures d’entraînement à la guerre que nous ne voulons pas. Aujourd’hui, refuser la guerre c’est refuser les diktats militaires de l’État des riches.
source:https://les7duquebec.net/archives/256395
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