Marcos Ancelovici : un professeur de l’UQÀM lié à un crime haineux de l’extrême gauche

Marcos Ancelovici : un professeur de l’UQÀM lié à un crime haineux de l’extrême gauche

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Le 23 juin 2020, M. Marcos Ancelovici. professeur à l’UQÀM et proche de la mouvance radicale antifa dont il fait ouvertement la promotion, a relayé un article diffamatoire du site montreal-antifasciste.info dénonçant un groupe de jeunes dont certains sont étudiants de l’UQÀM. Dès le lendemain de la publication de cet article, un crime haineux a été perpétré à l’adresse supposée de l’un des étudiants, M. Alexi Larose. Il s’agit probablement de l’un des pires scandales du milieu universitaire montréalais.

Écoutez l’entrevue de M. Larose à l’émission d’Éric Duhaime sur le FM93 : ALEXI LAROSE, étudiant à l’UQAM : Le jeune homme dénonce la violence et le vandalisme des antifas.

Qui est Marcos Ancelovici ?

Marcos Ancelovici, docteur en science politique du Massachusetts Institute of Technology (MIT), professeur au département de sociologie de l’UQÀM, spécialiste des conflits sociaux, a un côté sombre.

En réalité ce professeur, a priori bien sous tous rapports, est en parallèle de ses activités professorales un militant d’extrême-gauche de la mouvance Antifa. Qu’est-ce que le mouvement « Antifa » ?

Gatestone Institute :

Le mouvement Antifa est un mouvement insurrectionnel transnational qui, au moyen d’actions d’une extrême violence, s’efforce de renverser la démocratie libérale. (…) La lutte des Antifas contre les extrémistes de droite est un écran de fumée. Leur véritable cible est « l’État démocratique bourgeois » qui, dans leur vision du monde gauchiste, accepte et promeut le « fascisme » comme une forme possible de gouvernement. A en croire les Antifas, le « fascisme » demeurerait enraciné dans les structures sociales et politiques du « capitalisme », ce qui les amène tout naturellement à lutter pour l’élimination du « système capitaliste ».

Ancelovici passe son temps sur les réseaux sociaux à partager du contenu du mouvement Antifa, dont il fait l’apologie.

Il en est même parfois en pâmoison devant les symboles des Antifas, démonstration classique du fanatisme idéologique du personnage.

Professeur payé par l’État et appelant au vandalisme ?!

Son activité de militant ne se limite pas seulement à des partages innocents de photos de graffitis et de publications théoriques sur les Antifas, il fait aussi l’apologie d’actes de vandalisme sur des bâtiments d’administration publique.

Son militantisme semble donc ne même plus se préoccuper de la loi.

S’il n’était pas lui-même sur place, comment aurait-il eu accès à ces images d’un délit pris sur le vif ?

Ancelovici appelle à financer les antifas

En réalité, le soutien de M. Ancelovici va plus loin. Ce professeur à l’UQÀM, payé par l’État québécois, appelle au soutien manifeste et au financement de mouvements anti-État et connus pour pratiquer la violence politique.

Un professeur d’université qui pratique le doxing

Qu’est-ce que le doxing ?

Il s’agit d’une pratique développée sur Internet consistant à rechercher et publier des informations personnelles sur une personne afin de lui nuire. Le but recherché est d’entraîner une humiliation publique, et éventuellement de faire perdre son emploi à la personne, voire pire de générer des violences et crimes haineux contre celle-ci.

Sur Facebook, publiquement, M. Ancelovici fait la promotion du doxing et des meilleures méthodes pour être un bon « doxeur ».

Mais, pire que cela, non content de donner des conseils pour mieux « doxer », Ancelovici pratique lui-même le doxing.

Partage d’informations résultant en un crime haineux

En effet, ce professeur universitaire a partagé un texte publié sur le site « montreal-antifasciste.info » le jour même de sa publication en date du 23 juin 2020, et ce dans l’heure suivant la publication par ce site Antifa.

Cet article expose publiquement de jeunes étudiants catholiques à la vindicte Antifa, avec photos de leurs visages, noms de famille, leurs comptes sur les réseaux sociaux, etc., les diffamant en les assimilant à des fascistes.
Pour un de ces étudiants, M. Alexi Larose étudiant à l’UQÀM, l’article va même jusqu’à mettre un hyperlien amenant à une photo depuis son balcon supposé trouvée sur un de ses comptes privés.

Quel était le but de cette manœuvre si ce n’est aboutir à un crime haineux ?

On en a eu la démonstration factuelle dès le lendemain de la publication, avec un graffiti menaçant sur la porte de la supposée résidence de l’étudiant.

Un professeur de l’UQÀM n’hésite pas à publier un article où on « doxe » des étudiants de la même université où il enseigne et dont l’un est directement visé, dès le lendemain de la publication de l’article, par un crime haineux (nous savons par ailleurs qu’une plainte a été déposée pour crime haineux au SPVM) en raison de ses orientations politique et confessionnelle.

De plus, plusieurs éléments nous incitent à croire que Marcos Ancelovici est l’auteur de cet article de doxing : en effet, le style d’écriture est universitaire et ressemble fortement au sien, avec de nombreuses références conceptuelles et académiques relevant de son champ de recherche. Ajoutons à cela qu’il a été le premier à partager cet article sur plusieurs médias, dans l’heure suivant la publication.

Que font les institutions ?

Un professeur fanatisé par son idéologie extrémiste Antifa n’hésite pas à soutenir des démarches mettant en danger des étudiants de sa propre université en poussant au crime haineux à leur égard.

Derrière les publications prétendant relever de la « justice sociale » et de la défense des « opprimés », nous avons un professeur se rendant complice de crime haineux contre des étudiants en raison principalement de leur orientation confessionnelle et de leurs options politiques souverainistes.

Imaginons un seul instant un professeur de droite partageant des publications de groupes d’extrême-droite faisant l’apologie de la violence, jugée nécessaire à leur cause politique, contre l’État de droit, et incitant à des crimes haineux contre des étudiants de gauche, et que ces crimes se fassent, quelle serait alors la réaction des autorités universitaires, des médias, de la classe politique ?

Craignant pour sa sécurité, une plainte par Alexi Larose serait en cours auprès de l’Ombudsman de l’UQÀM pour « inconduite portant atteinte à la sécurité d’un étudiant ». Des poursuites judiciaires seraient aussi envisagées.

Il serait grand temps que la direction de cette université, ainsi que les ministres de l’Éducation et de la Sécurité publique, prennent conscience de la gravité de la menace que fait peser sur la liberté d’expression, la liberté de conscience, et sur la sécurité intérieure, ce groupe dénommé les Antifas présents jusqu’au cœur de l’enseignement supérieur, groupe désormais considéré comme organisation terroriste par les autorités américaines.

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Source: Lire l'article complet de Horizon Québec Actuel

À propos de l'auteur Horizon Québec Actuel

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