ÉPISODE I: La vérité sur les Antifas, Jaggi Singh et la Corruption de l’Université Concordia

ÉPISODE I: La vérité sur les Antifas, Jaggi Singh et la Corruption de l’Université Concordia

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L’anarchie et le communisme sont deux idéologies politiques historiquement reconnues pour ne pas avoir fonctionné. L’une d’entre elle mène à l’abolition des forces de l’ordre et de la propriété privé, créant un monde ou le danger et l’insécurité sont omniprésents. Et l’autre mène à un monde autoritaire où l’élite possède toute les ressources et où la population est exploitée à leurs guise. De leur côté, les antifas se caractérisent comme un

Il serait quand même biaisé de cacher le fait que les anarchistes peuvent parfois défendre de bonnes causes.

En effet, en s’opposant contre l’élite gouvernementale et au capitalisme, les anarchistes furent parmi les premiers groupes à fortement dénoncer la déstabilisation du moyen-orient par les États-Unis, l’établissement de contrats d’échanges internationaux comme le TPP et même la corruption flagrante de la famille Clinton.

Par contre, lorsque qu’une personne se présente aux élections américaines et dénonce les guerres au moyen-orient, dénonce la corruption de la famille Clinton et se débarrasse du TPP, ils agissent comme s’il s’agissait du diable en personne.

Si les antifas semblent si actifs depuis 2016 à vouloir pousser l’immigration de masse et l’abolition les gouvernements ce n’est pas à cause qu’il se battent contre Donald Trump ou contre le fascisme. C’est parce que ces groupes sont beaucoup plus financés depuis l’année 2016.

Alors, pendant que nos politiciens ont du plaisirs à célébrer la sodomie et la mutilation devant des milliers d’enfants dans une parade financé par des banques et des multinationales, les citoyens québecois doivent eux-même prendre congé de leurs travail et de leur vie privée pour aller dénoncer l’afflux d’immigrants dépendants au Québec qui risque de coûter 30 millions de dollars en dette au gouvernement malgré que ces gens ne proviennent même pas de pays en guerre.

Évidemment, les justicier sociaux québecois, ces fameux hurluberlus diplômés de l’UQÀM d’un cours qui ne vaut pas un sous pour la société ne vont jamais se gêner de vous dire qu’il n’y a aucun problème avec cela pour ensuite vous imposer leur vision utopique du monde.

Il est clair aujourd’hui que les antifas ont des comportements plus semblables à ceux d’une secte que n’importe quel autre type de groupe. Dans son entrevue à TVA, le porte voix des manifestant. Jaggi Singh, a affirmé qu’il ne souhaitait même pas divulguer publiquement les idéologies de son groupe ni affirmer publiquement s’il considérait que leur contre-manifestation avait été un succès. Il préféraient en discuter simplement avec son groupe. Après ça, ces gens se décrivent comme un mouvement social.

Maintenant, d’après vous, qui parmi ces deux groupes présente les opinions les moins extrêmes et les plus pertinentes. Les antifas ou les membres de La Meute?

Si vous avez répondu cet homme à la question. Mauvaise réponse. En effet, selon Herman Deparice-Okomba, le directeur d’un centre annuellement financé de 2 millions de dollars par nos taxes pour contrer la radicalisation au Québec, le problème c’est cet homme.

Lorsque des centaines de personnes commettent des crime qui devraient être pénalisé de prison et que même un ex-policier est surpris qu’il n’est eu aucune arrestation, ça veut dire qu’il y a quelque chose qui cloche.

Lorsque tu réalise que Jaggi Singh, malgré toutes les dizaines de fois qu’il s’est fait arrêter, ne s’est fait emprisonner pour crime qu’une seule fois en 2010, ça veut dire qu’il y a quelque chose qui cloche.

Lorsque tu réalise qu’il s’est même fait libéré de prison par nul autre qu’Amir Khadir, qui s’est même porté garant de payer une sommes de 75,000 dollars si Jaggi ne respectait pas ses conditions, ça veut dire qu’il y a quelque chose qui cloche.

Pour ceux qui penseraient que le soutient de la part de Khadir ne serait qu’une coïncidence détrompez vous. En effet Jaggi et Amir semblent être deux personnes qui se tiennent ensemble depuis bien plus souvent que l’on pourrait penser.

Plusieurs personnes doivent avoir déjà vu cette photo viral de 2008 où l’on voit Amir Khadir lancer ses souliers sur une image du président américain George Bush.

Imaginez ma suprise. Devinez avec qui il se faisait accompagner cette journée là.

Il est assez surprenant de voir une personne qui n’est même pas d’origine québécoise et qui est sans travail fixe causer autant de turbulence au Québec. D’où est-ce qu’elle sort son argent d’abord? Jaggi Singh qui jusqu’à présent est probablement allé un vingtaine de fois en cour pour les multiples crimes qu’il a commis à l’air de bien s’en tiré judiciairement pour quelqu’un qui ne devrait pas pouvoir subvenir à ses besoin de base.

C’est quand même intéressant puisque de 2007 à 2015 Jaggi Singh a même eu assez de temps et de ressources pour pouvoir poursuivre la ville de Montréal pour 15,000 dollars après s’être fait arrêté pour ne pas avoir respecté certaines conditions de la cour.

Ces situations de corruption deviennent hors de contrôle.

Il est temps de mettre une fin à cette folie à sa source avant que le Québec ne devienne comme les États-Unis, et ce n’est malheureusement pas en dénonçant la violence des antifas que les choses vont changer puisque la police ne semble pas arrêter qui que se soit ces derniers commentent des crimes

Voici donc la vrai source de financement et d’influence des antifascistes fascistes du Québec, leur quartier général, et vraisemblablement l’endroit où tous leurs attentats sont orchestrés et organisés: L’université de Concordia de Montréal.

Depuis longtemps, l’université Concordia, comme de nombreuses universités offre la possibilité aux élèves de pouvoir créer des unions étudiantes. Ces dernières qui auraient comme objectif de valoriser la vie étudiante seraient financées par les élèves eux-même. Les élèvent qui souhaitent aider au financement d’une union n’avaient qu’à contacter l’union en question dans le but de donner des dons.

En 1989, une des plus grande association étudiante de l’époque nommé « Le Groupe de Recherche pour l’Intérêt Publique du Québec » ou QPIRG, majoritairement composé de féministes, de membres de l’alphabet magique du fétichisme sexuel et d’autres justiciers sociaux qui n’étudient pas à temps plein ont déclarés la mise en place d’un référendum.

Le résultat de ce dernier visait à décider si le QPIRG seraient financé ou non à travers les frais d’étudiants de Concordia. Malgré le fait que le taux de participation de ce référendum était loin de représenter l’ensemble des étudiants de l’université — puisque les autres élèves travaillent à temps plein et d’autre choses à faire que de s’occuper de la politique d’une banale université — le oui est tout de même passé, signifiant qu’un frais additionnel pour QPIRG serait rajouter par défaut sur les factures des étudiant. Pour enlever ce montant, il fallait et faut encore manuellement contacter le groupe en question et espérer un réponse de leur part.

Savez-vous combien de référendums étudiants à Concordia ont passer de même manière? 88 pourcent du temps des justiciers sociaux de Concordia ont réussi à obtenir le monopole de décision sur les décision monétaire et politique de Concordia de cette manière. Malgré tout, les choses on encore plus grandement dégénéré.

Avec le temps, puisque les étudiants ne prenaient pas la peine de se désinscrire des frais additionnels, QPIRG a grandit extrêmement rapidement et a un jour commencer à encourager d’autres étudiants de former d’autre unions étudiantes dont ils s’associeraient en échange de services et de financement.

À travers le temps, puisque leurs tache étaient minimes et leur financement énormes, les unions étudiantes se sont tranquillement transformé en groupes, les groupes se sont transformé en cercles d’amis et les cercles d’amis se sont transformé en sectes extrémistes qui se croient tout permis puisque peut importe se qu’il font, l’argent rentre pareil.

Ces gens détachés de la réalité agissent comme s’il étaient des sages. Ils pensent de jour en jour qu’il se battent pour le bien commun et la justice sociales malgré qu’en réalité, tout ce qu’il font c’est alimenter leur égo. Ils organisent presque constamment des réunion, comités, rencontres dans le but de pousser leurs illusions utopiques.

Ils dépensent leur argent et passent leur temps;

  • à victimiser les autochtone;
  • à pousser l’idéologie de la femme oppressée à des féministes et des pseudo-musulmanes frustrés;
  • à pousser l’idéologie du genre;
  • à valoriser l’immigration de masse;
  • à s’inventer des histoire de racisme et pousser les rhétoriques de groupes violents comme Black Lives Matter;
  • à parler d’eux-même dans leurs chaînes radios;
  • à vendre des produits végans en pensant qu’ils sauvent le monde;
  • à donner une image négative du peuple québecois aux nouveaux arrivants en nous étiquetant de racistes;
  • à vandaliser le milieu scolaire qui les finance en collant sur toutes les portes et tous les murs des collants indétachables qui eux-même ont été payés à l’aide de frais de l’université;
  • à acheter des litières de chat et
  • à constamment organiser des réunions d’amis pour se jaser, manger et projeter des Powerpoints pour alimenter leur propre narratif.

QPIRG, et tout les groupes qui y sont associés, sont des sectes d’endoctrinement libéral gauchiste communiste marxiste-léninistes anti-québecois anti-canadiens-français, toutes basées à Concordia.

Concordia est une Université accueillant présentement 45000 élèves à temps plein et à temps partiel. Pour les raisons mentionnées précédemment, les associations étudiantes ont la capacité de charger à chacun de ces 45000 étudiants des frais dépendamment de leur nombre de crédit par session.

Voici donc des captures d’écran de mes propres factures lorsque j’étais étudiant à temps plein à l’université Concordia.

Des frais d’environ 5 dollars dans le but de « soutenir » l’association étudiante QPIRG ont été appliqués à ma facture pour chaque session. Comme je l’ai mentionné, il est impossible de désélectionner ces frais. Pour désactiver ces frais, chaque étudiant doivent manuellement se rendre à chaque bureau de chaque groupes étudiants — qu’ils ne connaissent pas au départ et qui sont étendus sur 2 campus à travers Montréal — pour remplir une demande pour chacun des groupes, déposer la demande pour chacun et espérer que les bénévoles extrémistes transfèrent correctement les formulaires au département des factures de l’université. Et ce, chaque session.

45000 étudiants donnant 5 dollars donne déjà 225,000 dollars. Puisque qu’en moyenne le quart des étudiants d’université sont à temps partiel au Canada, on pourrait estimer le revenu de QPIRG à 200,000 par session.

Qui est le coordonnateur et représentant de QPIRG, le Groupe de Recherche pour l’Intérêt Publique du Québec, depuis maintenant plus de 10 ans? Jaggi Singh.

Vous ne me croyez pas? Vérifier par vous même! En effet, si vous avez des questions sur QPIRG, vous pouvez toujours rejoindre Jaggi au jaggi@qpirgconcordia.org ou juste le contacter par téléphone.

C’est pas assez pour vous? Allez sur leur page Facebook où QPIRG est fier de vous présenter leurs employés pour l’été 2017.

Il y en a qui doivent se demander où va tout cet argent? La réponse est assez frustrante.

Ce qu’il faut comprendre c’est que les associations étudiantes de Concordia sont tous reliées entre elles d’une façon ou d’une autre.

Ce qui se passe présentement c’est que ces associations, pour obtenir du financement, essaient de donner l’impression qu’ils ont des objectifs différents, mais en vérité ce n’est pas du tout le cas. Ce n’est qu’une tactique pour qu’ils puissent continuer de grossir, puisque le plus d’organisations étudiantes qu’ils créent, le plus de chances qu’ils ont d’obtenir des subventions des frais étudiants de Concordia. C’est exactement ce que fait QPIRG.

En effet, selon leur propre fiche d’inscription, QPIRG offrent gratuitement 250 dollars à n’importe quelle personne souhaitant ouvrir une association étudiante à Concordia. De plus, ils offrent gratuitement 1,750 dollars aux associations étudiantes qui existent depuis plus d’un an. Évidemment, tu es refusé si tu présentes la moindre opinion légèrement inclinée vers la droite des valeurs.

Au fur des années, cette technique a poussé la mise sur pied d’autres groupes étudiants gauchistes radicaux financées par les élèves des universités, l’un des plus proéminent après QPIRQ est Gender Advocacy qui milite avec le même salaire que QPIRG pour, vous savez, essayer de vous faire croire qu’il existe plus de 2 sexes, mis à part leur support pour les antifas, Black Lives Matter, le féminisme et les membres de l’alphabet magique du fétichisme sexuel.

Ces groupes déclarent ouvertement d’être capable d’offrir à leur membre absolument tous ce qu’ils ont besoin pour être confortable dans leur groupe extrémiste.

Dans leur fiches d’inscription QPIRG, l’association de Jaggi, affirme pouvoir offrir à leurs membres;

  • l’accès à des projecteurs;
  • l’accès à des écrans;
  • des mégaphones;
  • des systèmes de son;
  • des remorques et même
  • du gardiennage d’enfants.

De plus, en étant membre de QPIRG, ces gens se font donner accès à;

  • des photocopieurs privés;
  • des salles de classes privées;
  • des salons;
  • des tableaux de travail;
  • des bibliothèques;
  • des équipements de painture;
  • des équipements de poste;
  • du matériel offert par l’université;
  • des achats en ligne payés par la carte de crédit de QPIRG et
  • un réseaux informatique interne privé pour leur membres hébergé par l’université.

Il est important de rappeler qu’il n’est pas obligatoire d’avoir des cours pour être membre de ces organismes et, tout de même, ces gens trouvent les moyens d’avoir plus de ressources que les étudiants à temps plein.

La part de Jaggi Singh dans tout cela est de 37000 dollars plus les bénéfices mentionnées précédemment.

Il est temps que les citoyens du Québec se réveillent et commencent à réaliser avant qu’il ne soit trop tard que la cause de la montée de l’extrême gauche possède la majorité de ses fondations dans nos universités corrompus.

Le Québec est tranquillement en train de vivre la même situation que le Canada et les États-Unis vivent en ce moment même.

La ville de Québec n’a pas été attaqué par n’importe quel groupe terroriste domestique. La ville de Québec a été attaquées par le groupe QPIRG de Montréal.

C’est officiel maintenant qu’il y a environ une centaines de criminels masquées venu directement de Montréal qui ont fait du trouble à Québec. e groupe Facebook Alerta qui a publiquement annoncé l’évènement de Québec a même publié la journée d’avant des images faisant la promotion d’un évènement en association avec QPIRG où l’on peut clairement voir Jaggi, l’un de ses complice et même les banderole appartenant à ces groupes de Concordia qui ont été repérés à Québec la journée d’après.

Une grande quantité d’affiches qui ont été utilisées par d’autres manifestations organisées par QPIRG et ses associés furent repérées à Québec le 20 août. Ceci inclus la manifestation du 20 janvier 2017 et du 13 août 2017.

C’est clairement étiqueté sur le mégaphone de Jaggi Singh que cette manifestation était sponsorisée par Concordia. Les éditeurs du journal étudiant de Concordia admettent eux-même que c’est Jaggi et son groupe qui sont allé faire le bordel à Québec.

Non seulement QPIRG commet et organise des actes terroriste domestique, mais on même le culot de s’associer ouvertement avec d’autres groupes similaires.

Dans leur page web, QPIRG se vente ouvertement d’être associé a la chaîne webtélé antifa la plus radicale de tout le Canada: SubMedia, un groupe ayant même participé à la manifestation à Washington D.C. durant l’inauguration de Trump. Ce groupe, géré par un extrémiste nommé Franklin Lopez, a célébré en janvier dernier dans l’une de leur vidéo le fait que j’ai été tabassé en plein milieu de rue.

Cette corruption de la part des universités doit cesser avant qu’elle ne devienne un cauchemar comme ce qu’à vécu Berkeley aux États-Unis.

Le seul groupe de gens, en presque 10 ans, à s’être opposé à cette corruption flagrante fut le groupe « Concordia Opt-Out » qui était composé d’étudiants à temps plein qui étaient épuisés de voir des frais être rajoutés sur leurs factures. L’université n’a jamais répondu à leurs demandes.

La seule raison pourquoi Jaggi Singh et ses associés veulent valoriser l’ouverture des frontières, c’est simplement parce que c’est plus rentable puisque cela leur emmène plus de migrants qui pourront potentiellement rejoindre leur mouvement gauchiste corrompu.

Les seule fois que les groupes de pression ont réussi à forcer les administration des unions étudiantes à organiser des séances de remboursement de frais, Jaggi s’est présenté à son comptoir et remboursait les élèves qui demandaient justice à l’aide de 5 sous et de 10 sous. Et ce, malgré qu’il devait parfois rembourser des frais de 5 dollars.

Évidemment, presque personne ne se présente à ces séances puisque l’administration de Concordia ne met jamais ses élèves au courant qu’elles existent.

La seule chose qui pourra régler cela, c’est que les québecois commencent à mettre de la pression au gouvernement pour mettre sur place un loi forçant les universités à travers le Québec à ne pas appliquer des frais par défaut pour les organisations étudiantes.

Au pire des cas, si un étudiant est vraiment intéressé à faire des dons à ces groupes, il pourra le faire manuellement.

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