La guerre Noirs/Blancs : dernière carte d'un lobby sioniste en panique ?

La guerre Noirs/Blancs : dernière carte d'un lobby sioniste en panique ?

Soudain, juste avant le moment exact où les services de renseignement français avaient tablé sur un dégel de la contestation sociale, voire une explosion de mécontentement dû à la conjonction de quatre facteurs,
- un enfermement de toute la population dénué de fondement,
- un mensonge constant dans une crise sanitaire montée de toutes pièces,
- la fronde irréductible des Gilets jaunes,
- et une destruction économique planifiée,
voici que tombe du ciel la contestation raciale, un plan ourdi par les forces progressistes qui disposent des leviers nécessaires et suffisants dans le pouvoir visible, les médias et les relais associatifs. Le ciel serait-il sioniste ?

Le remplacement de la contestation sociale réelle par une contestation raciale préfabriquée, c’est l’ingénierie en cours actuellement : il faut être un drogué aux JT de propagande des grandes chaînes pour ne pas s’en apercevoir. Chez les pompiers, quand une forêt menace de s’embraser avec un taux d’humidité du bois dangereusement bas, on procède à des incendies préventifs qu’on appelle les feux contrôlés…

La révolte des Gilets jaunes a été neutralisée par la désinformation médiatique, la répression politico-policière, et la bonne vieille technique du pourrissement. Cependant, si elle ne saute plus aux yeux du téléspectateur moyen, la colère est toujours là. Pire, ou mieux : elle va encore augmenter, car les raisons de la colère jaune en novembre 2018 sont aujourd’hui multipliées par dix. En allant au petit supermarché du coin, on est tombé sur un jeune gars qui est allé directement voir la caissière et qui lui a demandé si ils embauchaient. Traduction : on ne passe plus par les CV, on a besoin d’argent, et vite. Toute une frange de la population va glisser dans la précarité, et les plans sociaux vont exploser.

Le régime néolibéral, qui a compté sur la destruction de valeur décidée pendant le confinement, une décision scandaleuse du niveau d’une trahison d’État, un régime qu’on ne peut plus appeler pourri mais bien meurtrier, sait depuis le premier jour de l’arnaque du Covid-19 qu’il va devoir faire face à un soulèvement plus fort encore que celui des Gilets jaunes, car la paupérisation libérale va désormais toucher la classe dite moyenne.

Le « Noir » vient donc sans le comprendre au secours du sioniste qui veut punir le Blanc, le Gilet jaune, de son insolence anti-élites, donc antisémite. S’en prendre au pouvoir visible, passe encore, les syndicats le font depuis des lustres et ça n’a pas changé grand-chose ; mais s’en prendre au pouvoir invisible, nettement plus répressif et sanglant, alors là, c’est un crime de lèse-lobby !

Le fasciste blanc, puisque c’est comme ça qu’ils doivent nous appeler, doit donc être neutralisé par l’antiraciste noir, auquel on adjoint l’antiraciste blanc, mais l’antiracisme de gauche a tellement dégénéré qu’il ne pouvait plus tenir avec la seule gauche. Il lui fallait des troupes fraîches, et elles arrivent.

 

Ainsi, la sœur d’Adama Traoré a-t-elle profondément raison – d’un point de vue sioniste – de taxer les Gilets jaunes de « fachos », ou de souligner qu’il y a parmi les Gaulois réfractaires des « Gilets jaunes fachos ». Sans le savoir, la nouvelle coqueluche de la gauche caviar attalienne a visé juste en incriminant les Blancs, les Gilets jaunes et les racistes. Alors qu’objectivement, la situation des Noirs qui se pensent discriminés en France est socialement à l’égale de celle des « petits Blancs », c’est-à-dire les Blancs des classes inférieures, puisqu’on essaye de nous obliger à penser avec ces catégories de couleur.

Chez E&R, on pense social, national et pyramidal. Avec cette révolte préfabriquée de Noirs qui ne se pensaient pas encore en communauté à part en France – mais quoi de mieux qu’une souffrance commune, le racisme, et un ennemi commun, le Blanc –, on retrouve le fameux triangle de la catégorie opprimée, du bourreau et du sauveur.

En réalité, c’est bien le bourreau qui joue au sauveur, ce que chaque Français intelligent doit comprendre. Démonstration avec le national-sioniste qui « défend » les Français contre l’antiraciste noir qu’il a contribué à fabriqué :

 

Néanmoins, dans l’opération antifrançaise en cours, après les années de sang (2015-2016), le soulèvement de la France périphérique (2018-2019), l’attentat de Notre-Dame (2019), des grains de sable grippent la machine sioniste. Raoult, qui n’est pourtant pas antisioniste ou antisémite, est l’un de ces grains de sables. C’est tout simplement un Français, comme il le dit lui-même, avec son talent, son franc-parler, qui campe sur ses positions et n’en bougera pas. Et cela suffit pour en faire la nouvelle bête noire des sionistes, qui commencent à les collectionner. Démonstration.

Attention, cette vidéo est déconseillée aux personnes sensibles à la France.

 

Une fois n’est pas coutume, l’ingénierie est la même des deux côtés de l’Atlantique. Les peuples français et américain subissent la même intoxication par les mêmes agitateurs du pouvoir profond. Les uns en appellent à la raison, les autres à l’hystérie.

 

Et pour parfaire la machinerie antiraciste, ce vieux rafiot qui peine à tenir debout, la police, qui est encore armée aux USA, est désarmée chez nous. Désarmée moralement, grâce à une opération des troupes légères sionistes, à savoir StreetPress, l’officine jeunes du CRIF qui se vante d’avoir infiltré un forum de 8000 policiers qui tiendraient des propos racistes.

 

On aimerait mettre un micro dans les réunions des sionistes en Israël ou même chez nous pour les entendre vomir sur les « Schwarzes » (en allemand ou en yiddish), comme ils les appellent, ces Nègres qu’ils assimilent à des animaux. À l’instar des goyim, d’ailleurs. Comme quoi, Noirs et Blancs, on est tous dans le même bateau, que les sionistes tentent de couler par une guerre fratricide.

Le racisme talmudiste est dans les textes juifs et dans la politique israélienne. Aux faux opposants de la guerre raciale de s’en rendre compte avant qu’il ne soit trop tard, et qu’on en vienne à une autodestruction qui ne bénéficiera qu’aux mêmes. Qui sait, la solution viendra peut-être de Chine, qui n’a aucun souvenir de la Shoah et qui du coup ne craint pas de céder à une manipulation.

 

Racisme dans la police : un commissaire dénonce un « complot »

France Info a interrogé David Le Bars, secrétaire général du SCPN, le syndicat des commissaires de la police nationale, qui s’insurge contre l’étiquette raciste de la police.

Comment réagissez-vous à l’ouverture par le parquet de Paris d’une enquête sur des messages racistes publiés par des policiers et des gendarmes sur Facebook, enquête ouverte après une saisine du ministre de l’Intérieur ?

Ma réaction est très simple, très directe : cette saisine du parquet est parfaitement normale, il y a des propos racistes tenus sur un groupe par des policiers ou des gendarmes. Si ces faits sont avérés, ils devront être sanctionnés, la justice devra passer.
Et deuxième point, quand un artiste dit que la police assassine en banlieue, et qu’il faut prendre les armes ou faire la révolution, on aimerait que le ministre fasse pareil et saisisse également la justice contre ces propos qui sont irresponsables. C’est ce qu’on a déjà demandé à Christophe Castaner, il s’est d’ailleurs exprimé dans la presse en disant qu’il avait condamné médiatiquement ces propos et que la plainte n’était pas nécessaire. On lui demande la même fermeté, puisque le racisme en France c’est un sujet de société, ça doit être partage, équitable.

Fabien Jobard, chercheur du CNRS et spécialiste des questions de justice et de police, a déclaré sur franceinfo que « dans la police on n’est pas raciste, on le devient ». Qu’en pensez-vous ?

M. Jobard, on le connaît. Il affirme que quand on rentre dans la police a priori on est à peu près normal, et qu’ensuite le métier fait qu’on devient raciste. Moi je demande à ce sociologue de nous donner des études qui nous permettent de prouver ce qu’il affirme, j’en suis moi-même choqué. Moi je suis commissaire de police, j’ai dirigé pendant 23 ans des policiers de toutes provenances, de toutes catégories sociales, j’ai eu des commissariats totalement mixtes, puisqu’on recrute à l’image de la population. Quand un chef de service a un signalement ou une information faisant état d’un fait de racisme, on ne laisse jamais passer.

Et les victimes de ce complot médiatique et politique, ce seront les citoyens qui n’auront plus de sécurité si on continue comme ça, à écouter des gens comme Matthieu Kassovitz qui demande à désarmer la police et à réduire les effectifs. Si on commence à donner écho et des suites à ce type de propos qui n’ont aucun fondement sérieux, ce sera l’ensemble de la population qui sera victime de ça, il ne faut pas en arriver là.

Pourquoi parlez-vous de complot ?

Il y a deux semaines, une artiste peut-être en mal d’audience (Camélia Jordana) a commencé le bal nauséabond en traitant les policiers d’assassins comme quoi on allait tuer des gens en banlieue. Et puis étonnamment, ça a commencé à prendre avec les mêmes personnes qui sont sur le sujet des violences policières depuis deux ans. Violence policière ça sous-entend que la police ne fait que ça. Et puis, il y a eu cette occasion de relier les violences policières au racisme, la police est violente parce qu’elle est raciste, et on est raciste donc on est violent. Ce débat n’a aucune fondement à part cet effet miroir sur l’affaire George Floyd, qui n’a strictement rien à voir avec des affaires qu’on a pu connaître en France, mais, pour certains, le raccourci est fait.

Notre conclusion

Comme aux États-Unis, cette ingénierie sociale sioniste pourra être vaincue par un travail de conscience politique sur les réseaux sociaux et par une police qui saura d’une part garder son sang-froid, d’autre part résister à toutes les manipulations, qu’elles viennent d’en bas (les insultes, voir ci-dessous) ou d’en haut (les ordres iniques du pouvoir profond). Et un jour, peut-être la police en aura marre de protéger un régime devenu dangereux pour une majorité de ses concitoyens.

 


 

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À propos de l'auteur Égalité et Réconciliation

« Association trans-courants gauche du travail et droite des valeurs, contre la gauche bobo-libertaire et la droite libérale. »Égalité et Réconciliation (E&R) est une association politique « trans-courants » créée en juin 2007 par Alain Soral. Son objectif est de rassembler les citoyens qui font de la Nation le cadre déterminant de l’action politique et de la politique sociale un fondement de la Fraternité, composante essentielle de l’unité nationale.Nous nous réclamons de « la gauche du travail et de la droite des valeurs » contre le système composé de la gauche bobo-libertaire et de la droite libérale.

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