Que les défenseurs de la belle langue française se calment : l’expression « sous-merde bobo » vient du chroniqueur socialo-sioniste de France Inter en personne. Nous n’avons jamais insulté quiconque, ce qui n’est pas réciproque. Parfois, on peut donner des petits noms à des adversaires idéologiques, on pense à Rudy IIIe Reichstadt, Patrick Liste Noire Cohen ou Frédo frottis Haziza, mais il faut prendre ça comme une sympathique familiarité, pas une déclaration de guerre.
Le site d’Alain Soral s’appelle « Égalité et réconciliation ». À quand un groupe de skinheads avec pour devise « Tolérance et dialogue » ?
— Guillaume Meurice (@GMeurice) February 5, 2013
Ce n’est pas le cas de Guillaume Meurice, qui traduit en langage humoristique les directives de la station socialo-sioniste publique. Rien que l’expression socialo-sioniste publique est un violent oxymore, mais dans ce monde de faux semblants, tout est oxymore ou presque.
N’écoutant que son courage de crevette planquée derrière son micro, l’amuseur de France Inter se lance dans une diatribe anti-Raoult qui fleure bon les attaques à la Charlie Hebdo quand il s’en prenait au pape ou à Marine Le Pen. Bassesse, racisme social antifrançais, antibeaufs, bref, le fort en gueule qui chie sur les faibles qui n’ont pas les moyens de répondre.
Il y a 80 ans, ceux qui tenaient les médias en Allemagne ont été balayés par le vent de l’Histoire, idem en Russie pré-soviétique : les temps peuvent changer très vite, surtout quand le climat est à l’orage, et à l’orage social. Notre petit doigt nous dit que tous ceux qui ont vécu de la haine de la France et des Français, en plus avec notre argent, rendront des comptes un jour. Il s’agit d’un véritable racket qui entretient ce racisme antisocial le plus vil, le plus bas, le plus lâche.
La haine mal cachée derrière l’humour
Il n’est pas question de menacer ici physiquement Guillaume Meurice, mais la situation est telle que ceux qui pérorent sur leur branche feraient bien de s’y accrocher. Des temps incertains arrivent, et ce qui est arrivé aux députés LREM qui se sont fait harceler jusque dans leur maison ou même dans les rues devrait servir d’exemples à ceux qui vont trop loin non dans l’humour, mais dans la haine antifrançaise.
Il y a un peuple qui a beaucoup supporté, qui a du mal à s’en sortir, et qui se voit en plus raillé du matin au soir par les complices du pouvoir profond, ce qui permet d’être en opposition avec le pouvoir visible. Comme ça, les apparence sont sauves, le boulot de kapo déguisé peut perdurer. Simplement, déguisés ou pas, on sait tous comment finissent les kapos.
Un jour, des Gilets jaunes, rouges ou marrons forceront les portes de l’immeuble, monteront dans les étages de Radio France pour remettre la main sur ce qui leur appartient de droit. Ce jour-là, on pourra vraiment appeler le groupe média Radio France, ou France Radios, pour changer. Pour l’instant, c’est Radio anti-France. Mais ça ne durera pas.
« Depuis deux mois s’ajoutent à la liste [de ses insulteurs, NDLR] mes préférés, ce sont les fans du professeur Raoult, alors eux je les adore, je les adore autant que le professeur Raoult lui-même. J’aurais adoré le contacter mais là il se trouve qu’il bosse sur un remède au Covid à base de céleri rémoulade et de staphylocoque doré, donc on devrait pas tarder à le voir à la cantine de Radio France, c’est quand même la bonne nouvelle (rire féminin gauchiste) »
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