On le savait, mais on a désormais les preuves : le coronavirus, échappé par « mégarde » d’un laboratoire P4 de Wuhan, est bien l’œuvre de l’hyperclasse mondialisée qui a les moyens de décoller (dans des jets privés) et de se planquer (sur des îles désertes) en laissant les peuples du monde, interdits de chloroquine, crever à petit feu.
« “Je constate depuis une dizaine de jours une hausse de 30 % des demandes de renseignements en vue d’achats d’îles privées”, explique au Figaro Chris Krolow, PDG de Private Islands Inc., la seule agence immobilière exclusivement dédiée à l’achat d’îles privées. “Pour les locations, la hausse est de 50 %. Ces personnes souhaitent spécifiquement passer le prochain mois à l’abri sur une île. » Prix de départ : 69.500 dollars pour un caillou non-développé de 0,1 hectare au large du Belize. Joyau de la couronne : Spectabilis Island et ses 168 hectares de splendeur caribéenne pour 62 millions de dollars”.
Le but ? Récupérer la Terre entre milliardaires et se débarrasser de peuples qui ne servent plus à rien : fortune faite, les milliardaires n’ont que faire de centaines de millions de larbins laborieux, sales et déprimés. Il faut donc les éliminer, et quoi de plus efficace qu’une « petite » grippe avec complications respiratoires ? Une sorte de gazage mondial qui ne vise que les petits, les sans grade, les gens de peu, les Morlocks, les Indigènes, les enracinés qui ne savent pas sauter d’un pays à l’autre en classe affaires.
Ce n’est plus une théorie, mais la vérité crue. Les complotistes et les survivalistes nous avertissaient, mais ils criaient dans le désert : ils vont nous éliminer dans la plus grande opération génocidaire que l’humanité a connue. Il s’agit d’un peuplicide, du peuplicide, du prolétaricide final. Pourquoi, à votre avis, on nous confine en nous disant qu’on n’a pas de quoi nous tester et nous guérir ? Pourquoi, petit à petit, en attendant le Grand Soir, nos élites ont réduit jusqu’à rien la quantité de lits avec respirateurs ? Parce qu’ils savaient, tout simplement, et ils préparaient le grand nettoyage. Le Grand Soir aura bien lieu, pauvre Mélenchon, mais dans l’autre sens ! Le haut va se débarrasser du bas ! Et en douce, progressivement, avec un alibi en béton armé : oh, la malchance, un virus peuplicide s’est échappé, vous allez tous mourir, merde c’est con.
Ils nous ont baisés, on l’avait pourtant deviné que c’était des ordures, des meurtriers, mais on n’arrivait pas à penser le génocide des pauvres, des non-milliardaires pour être précis. Eux en avaient les moyens, ils l’ont fait, tout bêtement, mais avec intelligence, à coups d’ingénieries sociales successives et bien senties. Oh, il y a bien eu une petite révolte, mais les Gilets jaunes n’ont pas osé attaquer le palais présidentiel début décembre 2018 : c’était le moment, il fallait y croire jusqu’au bout, et maintenant l’occasion historique est passée. Après, ça a été une lente dégringolade, en haut lieu ils ont repris la main, et n’ont plus lâché le manche. Les révoltés se sont fait tabasser, puis on leur a envoyé le virus, par pulvérisation dans l’air.
Que vont faire les milliardaires ? Eh bien ils vont recréer un paradis, le paradis sur Terre, sans nous, sans les Inutiles, alors qu’on a tout construit de nos mains et qu’on a fait pousser le grain qui les nourrit avec notre sueur. Maintenant qu’ils se sont constitué des stocks de tout, ils n’ont plus besoin de nous. Fallait y penser avant ! On a scié la branche sur laquelle on était assis, sur laquelle on bossait dur, pour des nèfles, pour de la merde, parce que ces ordures nous payaient de moins en moins grâce au chantage du chômage mondialisé : t’es pas jouasse, on refile ton job à un plus pauvre, connard. Et ça a marché, on nous a dit que la mondialisation était inévitable, et par mondialisation il fallait comprendre appauvrissement et invasion par de plus miséreux encore, histoire de neutraliser toute tentative de révolte.
On s’est fait baiser mais dans des largeurs intersidérantes, y a pas de mots. Ils nous ont eus, des années d’Évolution pour se la faire mettre bien profond par George Soros et ses amis, Bill Gates, Jacques Attali, tous ces marchands de Bien, tous ces producteurs de couleuvres humanistes, ah ce qu’on a pu être cons ! À chaque fois qu’un pauvre pressentait le coup fourré, avait un éclair de lucidité sur ce funeste destin, ils le faisaient passer pour un fou, pour un complotiste, pour un antisémite, pour un haineux. Et ça marchait, puisque la grande majorité des pauvres obéit au doigt et à l’œil à des milliardaires qui ne pensaient qu’à une chose : les éliminer. Et les éliminer tièdement, à petit feu.
C’est regrettable, mais il ne nous reste plus beaucoup à vivre, peut-être quelques jours, quelques semaines, Connard 2 vient de nous l’annoncer, ce 1er avril 2020 :
« Bref, il est absolument certain que la crise sanitaire est susceptible de s’ajouter une crise économique et peut être demain, une crise financière. Mais en tout cas, une crise économique qu’il va falloir là aussi traverser. »
Quand on décode, le discours est très clair : on va traverser le fleuve mortel parce qu’on a tout prévu, nous les nantis, mais vous, vous allez tous vous noyer parce que vous n’avez pas de bouée. Et ceux qui croient avoir une bouée sont encore plus baisés, puisqu’on leur a refilé, à ces bouffons qui se croyaient malins, une bouée de plomb. La messe est dite, Notre-Dame a brûlé, les assassins mondialistes ont gagné, il ne nous reste plus qu’à nous finir en beauté, mais avec quoi ? Il n’y a plus rien à bouffer, on ne peut même plus mettre un pied dehors, on est Gros-Jean comme devant.
Ils ont pensé à tout les saligauds ! Faut reconnaître qu’ils étaient plus intelligents que nous et que, peut-être, on est les sacrifiés naturels de l’Évolution darwinienne, la grosse branche morte du fatum. Dans ce cas, même si ça semble injuste, il est bon de savoir que nos maîtres vont désormais se la couler douce dans un paradis mondial qui n’aura plus de surpopulation, plus de forêts déforestées, plus d’océans dépoissonnés, plus de savanes délionnisées, tout redeviendra beau, propre, magnifique.
Et si nos maîtres avaient raison ?
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