par Jean-Dominique Michel.
La fabrication du consentement en cours (que certains n’arrivent toujours pas à voir malgré la massivité et la grossièreté des moyens de propagande mis en œuvre) emploie comme il se doit un assortiment limité de dogmes forcément infaillibles et donc inquestionnables.
Mme Samia Hurst, vice-présidente de la Task Farce (qui n’en est pas à une sortie près) a tout récemment vilipendé les manifestants de Liestal pour non-port du masque en plein air. Ceci alors qu’aucune étude sérieuse au monde n’a jamais démontré (et pour cause !) les bienfaits de cette absurdité et qu’aucun des regroupements « hyper-dangereux » comme les rave parties sauvages de la période du Nouvel-An, le carnaval en Guadeloupe, les manifestations à travers l’Europe ou les libertés restaurées au Texas en en Floride n’ont entraîné le moindre regain de contamination pour une raison très simple : se balader en plein air n’est pas source de contamination, même au sein d’un foule !
Mais pour Mme Hurst, si ! Elle sait combien le virus diffusé insidieusement par les asymptomatiques (une autre assertion douteuse au possible) reste dangereux, même si le risque est « 18 fois moins élevé qu’en espace clos » dicte-t-elle doctement au journaliste qui l’interroge. Mme Hurst connaît ainsi tout de la réalité à la virgule près, ici comme avec les PCR réglés à 40 cycles CT+ qui renseignent (si, si !) de manière fiable sur l’épidémie et tout comme avec les projections de ses collègues de la Task Force qui comme on le sait ont fait carton plein dans leurs pronostics…
Et l’on voit à nouveau ici cette « psychologie du complotisme » à l’envers : la racine de celui-ci est de trouver un sens (même faux, même absurde) à un ensemble de faits angoissants. Les pseudo-scientifiques regroupés au sein de la TF, ont ainsi la science infuse, lisent dans les astres, prévoient le futur – et qu’importent les démentis cinglants infligés à longueur de semaines par la réalité, on ne va quand même pas s’abaisser à tenir compte de celle-ci !
D’autant plus que le dogme, non content de dire la vérité « ssscientifikkk » dirait Bigard, désigne aussi l’ennemi : ces manifestant irresponsables qui « mettent en danger la vie des autres », à l’image de ces gens qui préfèrent ne pas se faire vacciner (pour des raisons qui correspondent simplement à ce qu’étaient avant le délire les bonnes pratiques médicales) et sont désormais désignés comme les responsables de l’échec futur des campagnes vaccinales.
La conclusion hélas coule de source : on ne raisonne pas les fanatiques, et il est impossible de dialoguer (avec la co-construction de pensée que cela implique, fondant toute démarche de connaissance) avec des gardiens du dogme.
Où sont la science, l’éthique, la démocratie, le débat citoyen dans tout cela ? Ne cherchez pas : les scientifiques et les politiques et les journalistes nous expliquent depuis une année que le débat est clos ab initio dès lors que des milieux scientifiques (connus par ailleurs pour leur degré sidéral de corruption et leur aptitude à produire des études scientifiques frauduleuses contre avantages de carrière sonnants et trébuchants) se sont exprimés avec force études bidouillées ! Tout en snobant superbement les meilleurs articles publiés par les meilleurs auteurs…
On fera la liste de ces dogmes et si tout ceci ne finit pas trop mal, les générations futures riront beaucoup de découvrir que des cercles d’experts ont recommandé des batteries de mesures dignes des superstition les plus farfelues – comme imposer le port de masques ne présentant aucune bénéfice probant pour se protéger (et protéger les autres) des virus et de surcroît évidemment nocifs pour la santé portés à journée longue. Nous rappellerons pour celles et ceux qui ne font que regarder la télé ou lire les journaux que même le port du masque en bloc opératoire n’a jamais eu pour but d’arrêter les virus, ce dont il est parfaitement incapable !
Las, se basant sur des modélisations aussi absurdes que les autres (mais surtout pas sur ce qu’on observe dans la réalité, la science ne s’abaisse plus dans le réel depuis que l’informatique lui a permis de s’exonérer de ce pensum…), la Task Force a une foi quasi-mystique (ou en tout cas fétichiste) dans le port du masque, les vertus du confinement (malgré qu’une année d’observation à l’échelle mondiale des effets de cette mesures abandonnée au XVIIIe siècle confirme qu’elle est aussi absurde qu’inefficace) et BIEN SÛR par les vertus d’une expérimentation génique qu’on impose au mépris de tout principe de précaution et en bidouillant – d’emblée et à chaque étape – les données pour être sûr de pouvoir l’imposer !
Alain Berset nous avait prévenu dès le mois de mars 2020 : le vaccin était d’emblée notre seule planche de salut. Tout comme la suppression des libertés, la destruction de l’économie et l’imposition de l’identité (QR Code) numérique… Autant de scénarii considérés comme complotistes il y a peu et qui figurent simplement désormais au tableau des dogmes à croire aveuglément dès lors que les autorités et la « ssssciencccce » le disent.
Pourtant, nul n’oserait considérer par exemple que la lutte contre la grippe (oui, le Covid est épidémiologiquement de l’ordre de gravité d’une grippe sévère selon l’OMS !…) doive passer par le tout vaccinal, le déni de soins, l’hystérie collective, le fascisme institutionnel (droit d’exception) ou encore la mise sous stress maximal pendant une année de toute la population avec dézingage totalitaire des voix dissidentes.
Si c’est le monde que nos compatriotes souhaitent (sachant qu’il n’y aura pas de retour en arrière, cette idée régressive est simplement le miel de tout le piège attirant tant de psychismes en lambeaux), alors fort bien.
Sinon, c’est la dernière minute pour nous extraire de cette transe mortifère, remercier les fanatiques religieux en blouse blanche, renvoyer les apprenti-dictateurs à leur potager et construire un monde qui soit sensé et digne de nous et des générations à venir.
Comme la guérison de toute cette déraison passe par l’intelligence et donc le débat (n’en déplaise aux journalistes-garde-chiourmes au service de la « vérité » totalitaire), je suis heureux de livrer ici un texte remarquable (trait coutumier de cette auteure), d’une scientifique digne de ce nom qui a longtemps travaillé pour l’industrie pharmaceutique. Mme Caroline Vandermeeren, dont toutes les productions sont à suivre avec bonheur sur un réseau social aux pratiques contestables, dénonce la mode visant à opposer les « pros » et les « antis », trait caractéristique de la pensée totalitaire, forcément binaire.
Ce qui peut nous procurer un petit exercice d’hygiène mentale : la prochaine fois que vous entendrez un(e) journaliste, scientifique ou politique parler des « PRO ou ANTI-masques » ou des « PRO ou ANTI-vaccin », il suffit de penser : « narration totalitaire » et de chercher quelque chose de plus intelligent à se mettre sous les neurones…
Bien sûr, les effets, l’utilité et les risques réels des « vaccins » sont autant des questions qui restent à ce stade ouvertes. On peut même espérer dans le meilleur des cas que l’efficacité puisse être bonne et les effets secondaires limités.
Mais baser une « politique » de santé sur un seul élément (une expérimentation à très haut risque, négociée en secret, à partir de données fournies uniquement par des fabricants qui sont des repris de justice multi-récidivistes et achètent à volonté les « scientifiques ») relève du chef d’œuvre criminologique mais certainement pas sanitaire.
Je conclus donc cet article par le résumé que m’a proposé un observateur avisé des nombreux points d’interrogations guère rassurants qui restent en suspens et – tant qu’à prendre – il vaut mieux connaître.
*
Ma position concernant les vaccins
par Caroline Vandermeeren.
Je vais écrire ceci afin que plus personne ne puisse avoir de doute sur mes opinions concernant les vaccins :
Je ne suis pas antivaccin, le simple fait qu’on puisse le penser étant pour moi un sujet d’étonnement et d’amusement parfois.
Comment pourrais-je l’être ?
J’ai travaillé pendant près de 12 ans pour un des grands groupes, dans la section vaccin.
Je l’ai quitté parce que j’étais en désaccord avec les valeurs de la société appliquées au personnel… en aucune façon parce que j’avais des inquiétudes par rapport aux produits.
Et je n’ai jamais publié aucune critique à propos de mon ancien employeur depuis que je l’ai quitté (je vous invite à chercher, vous allez chercher longtemps).
Ce que je leur reprochais, je l’ai dit en personne avant de les quitter, et par avocat interposé ensuite, et notre séparation s’est conclue définitivement au tribunal (et ça ne regarde que les parties concernées).
Je suis vaccinée avec quasiment tous les vaccins standards proposés à la population en Belgique (à l’exception de HPV, puisque celui-ci n’avait aucun intérêt pour une personne de mon âge au moment de sa mise sur le marché).
Ma fille a reçu tous les vaccins infantiles à l’exception du vaccin varicelle (parce qu’elle a contracté la maladie 2 mois avant la date de la vaccination, la rendant inutile).
Je ne suis pas une fervente militante de la vaccination grippale, ce vaccin pouvant démontrer des bénéfices pour certains, certaines années…et aucun pour d’autres et d’autres années…et je déplore profondément les informations très peu éclairantes qui sont fournies aux personnes (concernant ce vaccin et les autres, d’ailleurs ceci est une des conclusions que j’ai tiré de ces derniers mois : la plupart ne savent pas grand-chose à propos des vaccins, pas plus les médecins que les patients).
Je peux cependant être critique par rapport aux vaccins, tous sans exception.
Être critique ne signifie pas que je jette le bébé avec l’eau du bain :
- Aucun vaccin n’est parfait, ils sont tous améliorables, ils ont tous des qualités et des défauts, et nier les défauts est d’une stupidité sans nom puisque cela empêche d’envisager des améliorations qui – pour certains – vont commencer à s’avérer nécessaires.
Bien que j’aie bénéficié directement de la manne du vaccin H1N1, j’ai toujours répondu à chaque personne qui me demandait mon avis à l’époque avec la même intégrité qu’aujourd’hui (comprenez que je ne me souviens pas avoir dit à qui que ce soit qu’il y avait un bénéfice à en attendre, considérant le profil de la personne et la situation au moment de la vaccination).
En écoutant les anti-vaccins, j’ai d’ailleurs pris conscience de faits qui mériteraient d’être analysés (sans pour autant être d’accord avec les conclusions, il y a des faits qu’ils remontent et qui sont parfaitement recevables).
À propos des vaccins Covid, je peux en même temps :
- Être parfaitement opposée au fait qu’on vaccine massivement les populations mondiales avec des vaccins qui n’ont pas terminé le cycle d’évaluation clinique, qui ont été développés trop rapidement pour pouvoir prétendre être des standards du genre, et qui n’ont pas démontré une utilité à grande échelle ET parce qu’il y a de nombreux risques (tant en terme de santé que de situation épidémiologiques) qui sont niés ALORS qu’ils pourraient transformer cette stratégie en catastrophe planétaire (qu’il sera impossible d’annihiler, les vaccins étant des produits sans retour en arrière possible).
Être choquée de la campagne de propagande (c’est encore plus choquant de voir comment des médecins et états se prêtent à ce qui est – à juste titre – interdit aux entreprises parce que c’est ce que les médecins et états ont revendiqués pendant des années).
Considérer que ces vaccins pourraient cependant être des outils intéressant dans une stratégie réfléchie de sortie de crise, SI on pondérait de façon opportune la balance risques/bénéfices globale, ET si on assurait une surveillance active optimale pour assurer une adaptation agile des recommandations sur base des faits.
Tout ceci, c’est probablement bien plus subtil qu’un discours PRO ou ANTI vaccins… et c’est sûr qu’il semble être difficile aujourd’hui pour tout le monde d’accepter les nuances.
C’est pourtant – je pense – une position beaucoup plus sensée que celles qui sont prônées par la majorité (qu’ils aient décidé de lutter contre cette vaccination ou pour cette vaccination, dans les deux cas ils ont décidé de négliger les faits qui ne collent pas avec leurs opinions, ce qui n’en fait pas des exemples d’intégrité scientifique, éthique ou médicale – je n’excuse aucun, ils sont tous dans la même logique délétère).
Voilà, je ne retiens personne qui ne soit pas capable d’entendre un avis qui n’est probablement jamais parfaitement aligné avec sa propre opinion.
Je ne cherche pas à faire plaisir ou à accumuler des adhérents.
J’essaie simplement de ramener du bon sens et du dialogue, et je peux entendre et accepter toutes les opinions (pour autant qu’elles soient formulées de façon respectueuses).
Je suis une farouche opposante aux PRO/ANTI n’importe quoi…si vous aviez besoin de me classer dans une catégorie.
Bonne journée
Caroline Vandermeeren, docteure en biotechnologie, conseillère en gestion des changements et des risques en pharma et biotech.
*
Quelques données* pouvant inciter à la prudence vis à vis des « thérapies géniques prophylactiques » à base d’ARN messager
- presque toutes vérifiées par l’auteur à la source
1. Dans la documentation officielle de Pfizer : 3 paramètres clé NON ÉVALUÉS par leur étude :
- Pharmacocinétique (absorption, distribution, transformation et élimination)
- Pharmacodynamique (effets biochimiques et physiologiques dans le corps)
- Génétique (analyses génétiques spécifiques)
2. Calendrier des essais cliniques du vaccin PfizerBioNtech. Date estimée de fin d’étude : 31 janvier 2023.
3. L’ATU (Autorisation Temporaire d’Utilisation), comme son nom l’indique, est temporaire, a été accordée dans l’urgence par le Gouvernement Américain, comme expérimentale (« investigational » selon les propres termes de Pfizer dans leur demande d’autorisation ; source : document de la FDA). Cette autorisation a permis de sauter plusieurs étapes ordinairement imposées avant autorisation d’utilisation de tout médicament.
4. Pfizer (et d’autres) ont imposé par contrat une exemption totale de toute responsabilité judiciaire et financière concernant tout effet secondaire de leur produit.
- source : diverses sources officielles faciles à trouver
5. La société Pfizer a été condamnée à 2,3 MILLIARDS de Dollars d’amende en 2009 pour « informations falsifiées » et fraudes diverses (la plus forte amende de l’histoire judiciaire).
6. A regarder pour une explication simple et claire des différents vaccins : vidéo du Professeur C. Velot (Génétique Moléculaire, Université de Paris Sud). Aux alentours de la minute 29:30 ou 29:45, il décrit plus en détail les risques potentiels
7. 11 Mars 2021 : le Danemark, la Norvège, l’Italie, l’Islande, l’Autriche, l’Estonie, la Lituanie, le Luxembourg et la Lettonie suspendent l’utilisation du vaccin AstraZeneca, en raison de « cas graves de caillots sanguins chez les personnes vaccinées », disant cependant qu’il n’est pas établi qu’il y ait un lien direct entre le vaccin et les caillots sanguins, « pour le moment ».
« Il n’est actuellement pas possible de conclure s’il y a un lien. Nous agissons tôt, il faut une enquête approfondie » [Il a été exigé que l’EMA – L’Agence européenne du Médicament – fasse une enquête.] « Nous et l’Agence Danoise des médicaments devons réagir aux rapports faisant état d’effets secondaires graves possibles, à la fois du Danemark et dans d’autres pays européens », a déclaré le directeur de l’autorité sanitaire Danoise, Soren Brostrom, dans un communiqué.
8. Alexandra Henrion Caude (généticienne, ancienne directrice de recherches à l’INSERM) – 2 interviews différentes février/mars 2021 :
« Les conséquences de l’utilisation de vaccins à ARN sont impossibles à prédire [l’ARN est une molécule tellement polyvalente qu’elle peut se lier à pratiquement n’importe quelle autre molécule]. Parce que l’ARNm peut interagir avec un nombre énorme de molécules différentes, s’il rencontre un nouveau ou le même pathogène, cela peut entraîner une amplification de la gravité de la maladie causée. Une fois injecté, il est impossible de le contrôler ».
« Le rapport Pfizer montre que dans les essais : parmi les personnes vaccinées, une sur 8 de celles qui ont malgré tout contracté le virus, a développé une forme sévère ; parmi les personnes non-vaccinées, une sur 16 a développé une forme sévère (deux fois plus ont développé une forme sévère parmi les personnes vaccinées, par rapport aux non-vaccinées) ».
- Rudolf Jaenisch (du MIT, considéré par beaucoup dans le monde scientifique comme le « père » de la science transgénique) vient de publier un article en pré-impression (décembre 2020), soumettant des preuves que – au moins in vitro – l’ARN du SARS-CoV-2 serait capable d’intégrer le génome humain contrairement à ce que beaucoup affirmaient jusqu’ici. Quelles implications possibles concernant les vaccins à ARN messager qui semblent contenir une part d’ARN du SARS-CoV-2 ?…
Extrait du résumé : « … Nous proposons des preuves que les ARN du SRAS-CoV-2 peuvent être transcrits à l’inverse dans les cellules humaines par transcriptase inverse (RT – reverse transcriptase) à partir d’éléments de LIGNE-1, ou par RT du VIH-1, et que ces séquences d’ADN peuvent être intégrées dans le génome cellulaire et transcrites par la suite. … / Cette nouvelle caractéristique de l’infection par le SRAS-CoV-2 peut expliquer pourquoi les patients peuvent continuer à produire de l’ARN viral après guérison et suggère un nouvel aspect de la réplication du virus à ARN… »
10. Le vaccin Pfizer contient du PEG (« polyéthylène glycol »). Un Américain sur sept peut, sans le savoir, être allergique au PEG.
- source : FDA, American Food & Drug Administration
« Au minimum, tout le monde devrait subir un dépistage d’anticorps anti-PEG avant de recevoir les vaccins Pfizer et Moderna. C’est un simple test sanguin. Tous ceux qui envisagent de se faire vacciner devraient demander à leur médecin de faire un test sanguin pour exclure la présence d’anticorps anti-PEG avant de recevoir le vaccin ».
11. Il paraît également prudent, avant de se faire vacciner, de vérifier si on a déjà eu ou non la Covid (symptomatique ou pas) car Pfizer eux-mêmes semblent déconseiller aux personnes qui ont eu la maladie, de se faire vacciner.
(Risques de réactions encore plus sévères que la maladie elle-même en raison de possibilité d’infection virale « recombinante ».) Sources : Vidéos de A. H Caude et de C. Velot)
12. Le SARS-CoV-2 est un NOUVEAU VIRUS, que la science connaît et comprend encore très peu. La technologie ARNm est AUSSI NOUVELLE : jamais utilisée sur l’humain auparavant. Est-il raisonnable de combiner les risques : utilisation d’une toute nouvelle technologie prophylactique contre un virus également nouveau ?
13. De manière totalement imprévisible, à court ou à long terme, la technologie ARNm comporte un risque d’interférer avec le système immunitaire inné.
- source : A. Henrion Caude + d’autres experts en immunologie, diverses interviews ou articles
14. Nadav Davidovitch, (Professeur, Université Ben Gourion de Tel Aviv et Directeur du Syndicat des médecins Israéliens) :
« Si les vaccins ont jusqu’à présent été efficaces contre certains variants, nous ne pouvons pas affirmer que les individus vaccinés sont définitivement protégés. On ne sait pas encore si les personnes vaccinées sont ou non capables de transmettre le virus, même sans être malades. »
- source : The Times of Israel, 11 mars 21.
15. Vaccinations et rappels (ou nouveaux vaccins) pourraient-ils devenir une boucle sans fin, en tout cas pour un bon bout de temps ? avec de graves risques potentiels d’amplification du processus de mutation…?
Citation :
« … l’émergence duVOC-202012/1 et de ses mutations (y compris E484K), combinée à d’autres variants préoccupants [« variants of concern »], y compris ceux du Brésil et d’Afrique du Sud, met en évidence la capacité du SRAS-CoV-2 à développer rapidement de nouveaux variants phénotypiques ; ainsi la résistance aux vaccins de ces mutants devient une sérieuse et réelle possibilité ».
source : https://jdmichel.blog.tdg.ch
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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